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Projet conventionnel du 7 mai 2018
14/05/2018 à 16h39
carident écrivait:
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> Au final, ça ne leur coutera pas plus cher qu'aujourd'hui...
>
>
Si le projet coutait plus chère aux mutuels, on les aurait entendu râler. Et expliquer que les cotisations allaient augmenter à cause des dentistes et de la sécu.
Avec des pleines pages de pub dans les journaux.
Elles ne disent rien, le projet doit aller dans leur sens. On ne rembourse pas plus et personne ne vient voir comment on gère nos frais.
Et pendant ce temps là, l'avenir des dentistes (et donc des dents des français) se joue à bas bruit.
Communication entre dentiste par mail et réseau sociaux.... et c'est tout.
Nos concitoyens découvriront trop tard que la prothèse Rac0 est une sombre merde made in china.
Et nous serons coupable car nous aurons signé.
Merci la CNSD et l'UD
14/05/2018 à 17h08
Et au pire du pire, si ça venait à leur coûter quoique que ce soit, ils pourront augmenter les cotisations et la clause de revoyure sera activée... Bref, ceinture et bretelles !
Clause de revoyure qui a certainement été demandé par les mutuelles en amont, car pour ce que rembourse la sécu pour les prothèses dentaires...
14/05/2018 à 18h40
sans plafond ça va leur couter un max. rattrapage patient ( soins prothétiques "en attentes") + rattrapage praticiens ( volume pour compenser la baisse des tarifs)
donc certainement un plafond à la revoyure vu qu'il va être difficile de baisser plus les tarifs sans couler leur centres.
l'attente pour le simple DET risque de faire un sacré bon avec toute ces quenottes à moudre.
14/05/2018 à 18h46
surtout qu 'il n'y aura meme plus de devis , comme la cmu , enfin je suppose .
14/05/2018 à 18h55
enlaye écrivait:
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> surtout qu 'il n'y aura meme plus de devis , comme la cmu , enfin je suppose .
Toujours les devis et en plus on garde même le devis conventionnel qui n'a plus aucun sens avec des tarifs imposés.
14/05/2018 à 19h03
1 devis pour du gratos ? mais alors , ce n'est plus 1 devis ç est 1 demande d'accord ( entente ) préalable déguisée .!
dans ce cas , les mut se substituraient à la secu comme je le pensais ?
14/05/2018 à 19h03
1 devis pour du gratos ? mais alors , ce n'est plus 1 devis ç est 1 demande d'accord ( entente ) préalable déguisée .!
dans ce cas , les mut se substituraient à la secu comme je le pensais ?
14/05/2018 à 19h07
enlaye écrivait:
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> surtout qu 'il n'y aura meme plus de devis , comme la cmu , enfin je suppose .
Toujours les devis et en plus on garde même le devis conventionnel qui n'a plus aucun sens avec des tarifs imposés.
14/05/2018 à 19h45
enlaye écrivait:
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> 1 devis pour du gratos ? mais alors , ce n'est plus 1 devis ç est 1 demande
> d'accord ( entente ) préalable déguisée .!
> dans ce cas , les mut se substituraient à la secu comme je le pensais ?
1 devis pour le tarif libre ou modéré et à chaque fois une alternative en RAC0
14/05/2018 à 20h26
17% de renoncement à se faire soigner en dentaire d’apres Barbapapat
Ça va couronner à tout va. Plus de volume. Le carnage :)) il va pleuvoir des couronnes à tout va. Oh putaing ! C’est tarpin trop ! C’est tarpin tropico coco.
15/05/2018 à 08h27
https://www.lesechos.fr/economie-france/social/0301674785734-sante-les-reseaux-de-soins-grands-oublies-de-la-reforme-du-reste-a-charge-2175940.php
".........
Pour le « think tank » Terra Nova, la contractualisation des professionnels du soin avec les assureurs est une façon efficace de faire baisser les coûts pour les patients et de réformer l'organisation et le financement du système de santé.
Mais où sont passés les réseaux de soins ? Ces regroupements de professionnels de santé ayant passé contrat avec des assureurs, qu'ils s'appellent Kalivia, Santéclair, Istya, Carte Blanche, Itelis ou Sévéane, existent depuis des dizaines d'années. Près de 50 millions de Français y ont accès via leur couverture complémentaire.
Confortés juridiquement par la loi Le Roux de 2014, ces réseaux sont pourtant singulièrement absents du débat public alors que se négocie le reste à charge zéro sur les lunettes et les prothèses dentaires et auditives. Ils ont pourtant été créés en vue de réduire le coût des soins. Et ils y sont parvenus , comme l'a montré l'an dernier un rapport de l'Inspection générale des Affaires sociales (Igas).
Un besoin de sécurité et d'orientation
Dans une note publiée ce mardi, le « think tank » Terra Nova plaide pour ces grands oubliés : «Les réseaux de soins tendent à être exclus de cette réforme, alors même qu'ils pourraient être d'utiles relais d'action du fait de l'expérience qu'ils ont accumulée en matière de maîtrise des prix et de contrôle des pratiques des professionnels ou comme tiers de confiance et acteur de la gestion du risque santé », souligne-t-il.
Leur champ d'action pourrait même rétrécir, avec face à eux de futurs « réseaux » «structurés par les lois et règlements ». Or jusqu'à présent, la puissance publique n'a pas brillé par la qualité de sa régulation en santé, accuse Terra Nova.
Les réseaux de soins ne se contentent pas d'imposer des tarifs moins élevés, l'obligation du tiers-payant, et d'analyser les devis pour le compte de l'assuré. Ils répondent à un « besoin de sécurité et d'orientation dans un système de santé jugé trop complexe », estime le « think tank », alors que par manque de contrôleurs et de référentiels de bonnes pratiques, l'Assurance-maladie n'est pas capable de discriminer finement la qualité des soins. Elle ne pourrait de toute façon pas trier les professionnels de santé en fonction du rapport qualité-prix.
Une approche uniquement financière
Les réseaux de soins ont mauvaise réputation , car ils sont soupçonnés d'avoir une approche uniquement financière de la santé. Ils n'ont d'ailleurs pas le droit de passer des contrats avec des médecins. Terra Nova veut secouer ce carcan et propose qu'il ne soit plus nécessaire de négocier un accord-cadre avec les syndicats de professionnels de santé pour créer un réseau de soins. A contrario, via une négociation, les assureurs privés pourraient aller plus loin que ce qu'autorise la loi Le Roux.
Ce nouveau cadre leur permettrait de jouer un rôle dans l'innovation organisationnelle en santé promue par l'exécutif. Les réseaux de soins pourraient par exemple se saisir des indicateurs de qualité des parcours qui vont voir le jour cette année pour le diabète et neuf autres maladies chroniques, et lancer des expérimentations. De même, ils pourraient jouer un rôle de veille, d'ingéniérie, voire injecter des fonds lors de la création de nouveaux modèles d'organisation de soins en ville ou à l'hôpital.
Solveig Godeluck
..........."
15/05/2018 à 08h40
barbabapat écrivait:
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> Les réseaux de soins ont mauvaise réputation , car ils sont soupçonnés d'avoir
> une approche uniquement financière de la santé.
:))))))
15/05/2018 à 08h50
barbabapat écrivait:
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> Solveig Godeluck
je viens de trouver une photo de la dame.
la naïveté c'est touchant... quand c'est ton gosse et qu'il a 4 ans. Après tu lui met des calottes pour qu'il ouvre les yeux ;)
remarque elle est journaliste .... au lieu de faire des réunion ou on se suce en rond à 20 ( un think tank, pardon) pourquoi elle par pas interroger quelques assistantes qui bossent dans les structures de ces réseaux ?
15/05/2018 à 08h50
Ils peuvent raconter ce qu ils veulent , tous ces gens veulent croquer alors que ç est nous qui travaillont .
Ce sont au mieux des bookmakers et au pire des macs .
Pas assez que nous somment des tacherons , on se transforme petit a petit en tapins .
15/05/2018 à 08h51
Hokusai écrivait:
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> barbabapat écrivait:
> ----------
> > Les réseaux de soins ont mauvaise réputation , car ils sont soupçonnés
> d'avoir
> > une approche uniquement financière de la santé.
>
> :))))))
Il va bien falloir leur donner une image de protecteur d'une vertueuse qualité.
Il faut bien se rappeler que le plus simple moyen pour un politique de régler un problème c'est déjà au départ de le créer de toute pièce.
Le RAC0 sera l'objet de dérives, c'est certain. Il va bien falloir sortir du chapeau une solution contre ces dérives en plus des clauses de revoyures.
15/05/2018 à 09h32
lardonbis écrivait:
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> je viens de trouver une photo de la dame.
La une photo représentative d'un chir dent liberal lambda:
15/05/2018 à 09h52
bah article de commande...truffé de fausses vérités totalement conscientes et assumées
15/05/2018 à 09h57
C'est terminé la France des syndics, place à celle des associations et des consommateur, faut vivre avec son temps, croncron premier vous l'a dit.
Il a oublié de parler de ceux qui tirent les ficelles et vont se gaver. Une association de malfaiteurs élue par le peuple en liesse, un génie le gars. Élu par effraction, il ne s'en cache même pas :-))
15/05/2018 à 10h00
Hokusai écrivait:
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> lardonbis écrivait:
> ---------
> > je viens de trouver une photo de la dame.
>
> La une photo représentative d'un chir dent liberal lambda:
>
>
L'empereur monte son projet par petites touches tout en jouant sur les deux tableaux.
Les confrères libéraux eux ne sont en rien décideurs dans les arbitrages qui vont leur être imposés. Ils devront juste faire tenir en place une équation Economique impossible sur le papier et résister au coté obscur du RAC0.
15/05/2018 à 10h07
vulpi écrivait:
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Une
> association de malfaiteur élue par le peuple en liesse, un génie le gars.
perso j'aime de plus en plus, on le cache même pas ( pas aux autres mais à soi même encore un peu... faut dormir :D )
Je pense que ça peu marcher, même si ça me fait chier.
15/05/2018 à 13h59
https://www.previssima.fr/actualite/reste-a-charge-zero-la-hausse-des-cotisations-des-complementaires-sante-pourrait-froler-les-9-selon-mercer.html
".........
Reste à charge zéro : la hausse des cotisations des complémentaires santé pourrait frôler les 9 % selon Mercer
PUBLIÉ LE :
15|05|2018
par Jean-Charles
Optique, dentaire et audioprothèse représentent respectivement 24 %, 22 % et 1 % (soit 47 % au total) des cotisations liées aux contrats d’assurance santé complémentaires collectifs souscrits par les entreprises. Sur ces trois postes, le reste à charge zéro peut-il se faire sans hausse de cotisations des complémentaires santé ?
La réponse est non, selon le cabinet de conseil international Mercer qui prévoit une impact tarifaire important pour les entreprises offrant à leurs salariés des garanties « d’entrée de gamme ». « Quelle que soit la solution retenue, la couverture du reste à charge actuel ne peut s’imaginer que par la seule négociation tarifaire avec les professionnels de santé », souligne-t-il dans une récente étude.
Optique
En optique, le reste à charge est en moyenne de 15 %. Selon les négociations en cours, les contours du panier de soins « zéro reste à charge » pourraient être définis par rapport aux habitudes de consommation des bénéficiaires de garanties proches du panier de soins minimum exigé par les contrats responsables.
Avec un panier de soins aligné sur ces prix, une augmentation des cotisations pour les entreprises ayant des garanties « entrée de gamme » est à prévoir, note Mercer. Le poste monture pourrait augmenter de 10 % et le poste verres de 24 %. En tenant compte d’une augmentation de la fréquence de consommation liée à l’effet d’aubaine d’un reste à charge nul, l’impact sur les cotisations santé de ces entreprises pourrait se situer entre 1,9 % et 3,2 % de hausse pour les garanties « entrée de gamme ». L’impact serait en revanche négligeable sur les garanties haut de gamme, selon Mercer.
Dentaire
En dentaire, le reste à charge s’élève à 18 % pour les prothèses et à 3 % pour les soins indique l’étude. L’objectif du gouvernement est de favoriser la prévention en revalorisant les soins conservateurs et de limiter le prix des prothèses. A court terme cette politique devrait se traduire par une prise en charge plus importante de la part des assureurs. En prenant pour hypothèse que la Sécurité sociale n’augmente pas les bases de remboursement et que les complémentaires santé remboursent 50 % du reste à charge actuel, le poste dentaire pourrait augmenter d’environ 17 %, indique Mercer. Pour une entreprise ayant des garanties minimales, la hausse des cotisations avoisinerait les 3 à 5 % sur les garanties « entrée de gamme » et environ 0.9 % sur les garanties haut de gamme.
Audioprothèses
Pour les prothèses auditives, le reste à charge zéro atteint 38 % (4 % pour les enfants). Ce montant conséquent pour les adultes constitue un vrai frein à l’achat. Sans réduction drastique du coût des prothèses, au risque de peser sur leur qualité, la seule prise en charge par les complémentaires santé de la moitié du reste à charge de leurs salariés coûterait déjà 0.55 % des cotisations santé. Associés à une augmentation potentielle du nombre de prothèses auditives remboursées, les complémentaires santé des entreprises ne pourraient pas absorber ce coût sans une hausse des cotisations estimée à 0.7 %, avance Mercer.
Hausse totale
Au global, le cabinet Mercer chiffre entre 5,6 % et 8,9 % la hausse des cotisations sur les garanties santé « entrée de gamme » et à 1,6 % pour les garanties haut de gamme.
............."
15/05/2018 à 14h23
le rêve de macron n'est que le cauchemar des autres
penser que tu peux faire payer tout le monde pour offrir le travail aux assurés n'est juste pas possible
on le sait, on le voit, on le prévoit et on le verra
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la csnd a voulu le "fromage" de la CCAM
la SECU a ajouté une tapette autour