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y a t il vraiment des confrères EN FAVEUR de cette convention ?
11/06/2018 à 21h05
Le pire reste à venir.
Tout est en place pour que la sécu se désengage en totalité du dentaire.
La prochaine négociation ça sera directement avec les mutuelles qui feront tout pour maîtriser les coûts.
12/06/2018 à 06h19
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2018/06/11/macron-attendu-au-congres-de-la-mutualite-montpellier-le-secteur-febrile_858694
"..........
La promesse du reste à charge zéro
Un an après l'élection présidentielle, le locataire de l'Élysée devrait tirer un premier bilan de l'action du gouvernement en faveur de l'accès aux soins pour tous, thématique forte de l'an I du quinquennat.
Objet de trois négociations parallèles, la réforme du reste à charge zéro est attendue (et parfois redoutée) par les mutuelles, concernées au premier chef. Attentif au coût du projet macronien, Thierry Beaudet l'a dit : « Il va falloir réfléchir à un déploiement très progressif » du dispositif, qui ouvre la voie au remboursement intégral de certaines prothèses dentaires, auditives et de lunettes ciblées.
Si les chirurgiens-dentistes et l'Assurance-maladie viennent de parvenir à un accord conventionnel dont devrait se féliciter le chef de l'État, les négociations en optique et audioprothèse se prolongent – la ministre souhaitait la fin des discussions « au mois de mai ». Le reste à charge zéro devrait atteindre son plein effet sur ses trois volets en 2021, selon les récents dires du patron de l'Assurance-maladie, Nicolas Revel
.,.........."
12/06/2018 à 06h58
moritooth écrivait:
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> chicopathe57 écrivait:
> ------------
> > c'était plié d'avance, la fsdl ne pouvaient pas lutter conter l'ennemi
> > intérieur.
> >
>
> Mouais, sauf qu'elle nous l'a quand même laisser croire. Je lui en veut presque
> un peu pour ça...
>
> Quelle autre option stratégique?
Il faut bien qu'ils soient optimistes pour donner envie de les suivre, tu les suivrais, toi, s'ils te disaient:
ça sert à rien, c'est plié d'avance?"
12/06/2018 à 12h54
l' inlay core a déjà crispé les assureurs...alors le rac0 c 'est une autre dimension....ils ne voudront jamais financer ça ....à moins d'une close limitative dans les contrats....
ET si ils refusent le rac0.....que devient ce torchon de convention CNSD
12/06/2018 à 12h59
ron écrivait:
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> l' inlay core a déjà crispé les assureurs...alors le rac0 c 'est une autre
> dimension....ils ne voudront jamais financer ça ....à moins d'une close
> limitative dans les contrats....
> ET si ils refusent le rac0.....que devient ce torchon de convention CNSD
pas de clauses limitatives dixit la CNSD
" sinon comment on fait un plan de traitement global hein ! banane! "
bien sur ils dénonceraient immédiatement la convention si de telles clauses venaient à apparaitre dans les contrats !! :D Je me marre d'avance !
12/06/2018 à 13h33
https://donnees-sociales.verspieren.com/2018/06/12/reste-charge-zero-le-ministere-de-la-sante-aboutit-petit-petit-des-accords-avec-les-organisations-medicales/
"............
Le ministère de la Santé est sur le point de conclure un accord avec les opticiens. Selon RTL, Les trois syndicats professionnels en négociation sont en train de terminer d’examiner point par point les détails d’un protocole d’accord qui stipule qu’ils « s’engagent à apporter publiquement un soutien à la réforme du reste à charge des équipements d’optique ».
............."
Le ministère passe en force et en plus il faut s'engager par contrat à dire que l'on était consentant??????? Amusant quand on voit que même lorsque on respecte à la lettre le contrat, ca n’empêche pas la cours des comptes d'injurier publiquement les professionnels.
12/06/2018 à 13h58
un protocole pour dire qu'on s'engage à apporter son soutien au RAC0
çà ne signifie pas une liste d'équipements précis et de qualité précise
c'est en réalité un grand flou
attendez, la profession des cafetiers s'était engagé aussi pour créer 40 000 emplois
au final 7000
ils ont pourtant aussi signé un accord
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la csnd a voulu le "fromage" de la CCAM
la SECU a ajouté une tapette autour
12/06/2018 à 14h02
Non tu te trompes Moritooth, il n'y aura pas un seul avenant négocié sans nous et vu que les volumes des prothèses RAC zéro vont exploser en 2020...préparons nous à revoir la copie de cette convention nullissime. Pourrir de l'intérieur ? Aucun intérêt, on n'a pas besoin de participer aux commissions paritaires pour toucher l'aumône syndicale qui plait tant à certains.
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http://www.fsdl.fr/
12/06/2018 à 14h04
rapelapente écrivait:
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> 100 contre 1 que la grosse Catherine, démissionnaire après avoir fait passer sa
> bouse, va émarger dans une mutuelle pour service rendu.
Ok pour une bouteille de champagne , si dans 3 ans Catherine n' a pas intégrée une mutuelle tu me dois 100 bouteilles de Champagnes . Tu suis ou tu as raconté n'importe quoi ?
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YOBI
12/06/2018 à 14h07
Dans mon département le vote CNSD a donné :
50 pour la signature
21 contre
4 blanc
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YOBI
12/06/2018 à 14h49
yobi écrivait:
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> Dans mon département le vote CNSD a donné :
> 50 pour la signature
> 21 contre
> 4 blanc
>
Bizarre quand même : quand on n'influence pas le vote comme lors de la consultation anonyme ASD, ça donne 80% de contre...
12/06/2018 à 14h51
Yobi écrivait :
<< Ok pour une bouteille de champagne , si dans 3 ans Catherine n' a pas intégrée une mutuelle tu me dois 100 bouteilles de Champagnes . >>
Banco ! Je suis !
12/06/2018 à 14h52
http://m.leparisien.fr/economie/complementaires-sante-les-tarifs-et-les-frais-de-gestion-ont-explose-12-06-2018-7767294.php
".............
Explosion des frais de gestion. La Cour des comptes les a déjà dénoncés, l’UFC assure que ça ne s’arrange pas. Selon son étude, en 2016, les OCAM ont dépensé 7,2 milliards d’euros en frais de gestion, dont 2,8 milliards en frais d’acquisition de clients (publicité, communication, rémunération d’intermédiaires). Des coûts qui explosent selon l’UFC : plus 30 % depuis 2010. « La hausse des frais de gestion a absorbé à elle seule 36 % de l’augmentation des cotisations depuis 2010, dénonce l’association.
..............."
https://twitter.com/Drmartyufml/status/1006539478733860864
https://www.ufml-syndicat.org/reflexions-de-noel-suite-au-communique-de-m-etienne-caniard/
"...........
Bon au moins ça dit “en raison de difficultés financières” (des fois c’est pas dit). Mais alors “des soins médicaux”, faut reconnaitre que c’est un peu vaste. Normalement ça permet pas de tirer des conclusions précises. Par exemple est ce que ces soins étaient majeurs, mineurs, urgents, pas du tout urgents, indispensables, pas indispensables ? On peut se demander si ceux qu’on décider de poser cette question justement y voulaient pas du tout savoir de quoi y s’agissait vraiment. Comme ça après y peuvent dire, ben 26% voire 33% de renoncement aux soins. Moi je me dis, que c’aurait été plus fiable si ensuite on creusait la question vraiment “pouvez vous me donner un exemple d’un soin auquel vous avez renoncé dans les 6 derniers mois ?”, en clair. Mais oui, mais c’est plus cher à quantifier… alors le client peut être y veut pas savoir, y veut pas payer pour ça – la réalité quoi -, d’autant que 33% renoncent ou différent à “des soins médicaux”, ça lui suffit pour communiquer. C’est parfait peut être pour son business. Mais de quel business y s’agit ?? Au secours NICOLE FERRONI vous avez une idée ? Pourquoi les uns et les autres y payent des sondages comme ça ?(et combien ça coûte d’ailleurs ? une blinde). Non mais c’est par pur altruisme en fait.
................"
12/06/2018 à 14h56
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2018/06/12/le-reste-charge-zero-ne-sera-pas-neutre-sur-le-plan-financier-prophetisent-les-institutions-de-prevoyance_858712
".............
Sur le point d'être finalisée et présentée ce mercredi au congrès de la Mutualité par Emmanuel Macron, la réforme du « reste à charge zéro », c'est-à-dire le remboursement intégral de certaines lunettes, prothèses dentaires et audioprothèses, ne fait pas le bonheur des institutions de prévoyance (IP). Le secteur a dressé ce mardi un « bilan en demi-teinte » des résultats des négociations menées avec le gouvernement.
Le centre technique des institutions de prévoyance (CTIP) représente 38 organismes de prévoyance qui constituent la troisième branche des complémentaires santé, avec les mutuelles et les assurances. Les IP couvrent 13 millions de salariés à travers deux millions d'entreprises.
Trop d'encadrement
Interrogé sur le coût pour les assurés et les complémentaires santé de cette promesse de campagne du chef de l'État, le délégué général du CTIP Jean-Paul Lacam prophétise que la mise en application du reste à charge zéro « ne sera pas neutre sur le plan financier ». « Nous ne sommes pas capables de présupposer une augmentation des cotisations, a nuancé Bertrand Boivin-Champeaux, directeur prévoyance et retraite supplémentaire au sein du CTIP. Cela dépendra vraiment de la consommation médicale. »
Pour Jean-Paul Lacam, la réforme est le résultat d'une « approche très encadrée » des négociations par la direction de la Sécurité sociale (DSS, ministère de la Santé). « Cet encadrement ne favorise pas les initiatives de terrain des acteurs et va se traduire par un renforcement du contrat responsable », a-t-il analysé ce mardi.
Le délégué général du CTIP a regretté au passage que la réforme ne prenne pas en compte la contractualisation avec les professionnels dans le cadre des réseaux de soins. « Avec une baisse moyenne du reste à charge de 20 %, les réseaux de soins ont montré leur efficacité d'un point de vue économique », a insisté Jean-Paul Lacam.
Seul point positif : la création d'un comité de suivi technique du reste à charge zéro...
2017, une « bonne année »
Le CTIP a présenté un bilan de l'activité des institutions de prévoyance en 2017, qui se révèle « une bonne année » pour le secteur. Les IP enregistrent une reprise de la croissance avec une hausse de 2,9 % des cotisations (à près de 13,5 milliards d'euros). La santé représente à elle seule 6,67 milliards d'euros, en croissance de 3 % par rapport en 2016, conséquence de la généralisation des complémentaires santé en entreprise. Les cotisations prévoyance s'élèvent à 5,92 milliards d'euros et la retraite supplémentaire à 860 millions d'euros.
En 2017, la charge des prestations payées par les institutions de prévoyance s'élève à 12,3 milliards d'euros. L'optique (20,2 %) et le dentaire (21,3 %) représentent la majorité des prestations, devant l'hôpital (16,3 %), la médecine (15,2 %) et les médicaments (12,9 %) pour l'essentiel. Cette même année, les organismes ont versé en moyenne 85 euros de prestations pour 100 euros de cotisations hors taxes. Les 15 euros restants couvrent les frais de gestion.
............."
12/06/2018 à 15h08
https://www.egora.fr/actus-pro/systeme-de-sante/39894-ces-complementaires-qui-depensent-la-moitie-de-la-cotisation-en-pub?nopaging=1
"............
Selon une enquête de l'UFC-Que Choisir, c'est une opacité malsaine qui règne dans le secteur des complémentaires santé, au point que certaines d'entre elles consacrent plus de la moitié de la cotisation, au financement de leurs frais de gestion, dont de colossaux frais de publicité et marketing. L'association de consommateurs somme le gouvernement d'assainir un secteur "où la concurrence conduit à augmenter les prix", preuve qu'en l'état, le marché "ne marche pas".
Le président de la République doit annoncer, ce mercredi à Montpellier, au congrès de la Mutualité française, la concrétisation de ses promesses de campagne d'un reste à charge zéro pour les lunettes, les audio-prothèses et les prothèses dentaires. Or, au-delà de cette bonne nouvelle attendue par les consommateurs, l'UFC Que Choisir saisit le gouvernement, car l'association est persuadée que le surcoût de remboursements qui va incomber essentiellement aux mutuelles et assurances privées, se répercutera sur le montant des primes. Et ce malgré les promesses gouvernementales.
"Le sujet semble avoir disparu du débat"
"Alors qu'au début de discussions, le gouvernement avait annoncé vouloir éviter cette inflation, le sujet semble avoir disparu du débat", a relevé Alain Bazot, le président de l'UFC-Que Choisir, lors d'une conférence téléphonique ce mardi. La mobilisation est d'autant plus de mise que le milieu de la protection complémentaire santé (mutuelles, assurances privées et institutions de prévoyance), secteur hyper concurrentiel, est passé maître dans l'art des engagements volatiles et des rideaux de fumée placés opportunément pour empêcher le consommateur de comprendre ne serait-ce que le niveau de garantie offert. Et ainsi, faire son choix en connaissance de cause.
"Le marché est une gabegie", insistait Alain Bazot, rappelant que les engagements des OCAM (organismes complémentaires d'assurance maladie) pris en 2010 visant à améliorer la lisibiité des garanties offertes aux consommateurs étaient loin d'être tenus. Ce qui induit un...
"dysfonctionnement concurrentiel", critique le président de l'association. De nouvelles négociations sont en cours, sur ce même thème de la lisibilité, entre le comité consultatif du secteur financier et l'organisme qui représente les OCAM, l'UNOCAM, "alors que les anciennes directives sont toujours en cours, et ne sont pas appliquées", grinçait le président de l'UFC-Que Choisir. Et les patients se plaignent de cette absence de boussole.
Des garanties difficiles à comprendre
Selon un sondage exclusif IFOP-Que Choisir, 37 % des Français trouvent que leurs garanties sont difficiles à comprendre, près d'un consommateur sur 2 (48 %) avoue ne pas connaître à l'avance le montant du remboursement qu'il percevra pour des soins importants et 33 % reconnaissent qu'ils ne connaissent pas la distinction entre ce qui est remboursé par la Sécu ou par leur complémentaire.
Une analyse menée sur les documents commerciaux remis aux patients par 29 des plus importants opérateurs du marché, révèle que 3 % seulement d'entre eux respectent (dans 75 % des cas) le vocabulaire censé être commun car issu d'un glossaire élaboré par les OCAM elles- mêmes. Mais 80 % en ont un respect insuffisant, voire nul. Autre engagement non respecté par 75 % des OCAM : expliquer clairement la part de remboursement maladie et celle de la complémentaire. Enfin, il n'y a que 40 % des OCAM qui rendent intelligible pour le patient, le montant des remboursements attendus, en fonction du niveau de garantie du contrat. Ce qui vaut surtout pour les remboursements dentaires.
Cet état des lieux peu reluisant amène Que Choisir à considérer que le consommateur ne peut pas comparer les offres proposées par un marché hyper concurrentiel riche de 477 organismes différents. "Il y a foisonnement d'offre, mais il s'agit d'un dynamisme concurrentiel de façade", signalait Alain Bazot. Car ici, le foisonnement d'offres ne fait pas baisser les prix mais au contraire, les augmente du fait...
d'un recours massif à la publicité et au sponsoring, pour attirer la clientèle. Au détriment du coût des primes et du montant des remboursements.
Résultats, hélas, prévisibles de cette course faussement concurrentielle : une augmentation de 47 % du coût des complémentaires depuis 2006, soit un surcoût d'environ 220 euros en 11 ans (une complémentaire coûte 688 euros par an en moyenne en 2017). Elles ont augmenté trois fois plus que les prix, qui n'ont cru que de 14 % sur la même période.
"La dérive des frais de gestion nous préoccupe au plus haut point"
Et lorsque les mutuelles évoquent les hausses des taxes ou le coût des contraintes réglementaires (loi ANI sur la complémentaires pour tous, réserves prudentielles), pour justifier cette escalade, l'UFC-Que Choisir répond, chiffres à l'appui, que lesdites taxes pèsent pour moins d'un tiers dans cette inflation. Et que les contraintes réglementaires se confinent à 15 % du tout environ.
Ce qui pèse le plus, évidemment, ce sont les frais de gestion des OCAM , soit 7,2 milliards d'euros en 2016, qui se répartissent entre les frais d'administration (2,810 milliard), les frais de gestion des sinistres (1,534 milliards) et surtout les frais d'acquisition (2,845 milliards), dans lesquels se rangent les campagnes publicitaires, les sponsorings de voile ou de courses diverses, les mailing et prospects téléphoniques, les boutiques, les frais de courtiers, etc.
"La dérive des frais de gestion nous préoccupe au plus haut point : 1,7 milliards depuis 2010 et 30 % de hausse, soit une inflation deux fois plus rapide que celle des prestations servies aux assurés", a insisté Mathieu Escot, le responsable des études à l'UFC-Que Choisir. "Les consommateurs ne retrouvent pas les économies d'échelle annoncées en 2010, du fait de la fusion des mutuelles qui ne sont plus qu'un demi- millier aujourd'hui, au lieu du double'".
Quand à l'importance des frais de gestion, il est bien évident que les consommateurs n'en sont pas ou mal informés, alors qu'il s'agit là aussi d'une obligation légale. Une étude menée par l'association sur les contrats individuels, laisse entrevoir des montants de frais de gestion pouvant...
aller de 9 à 42 % de la cotisation selon la catégorie de contrats (maximum 32 % de frais d'acquisition).
"Moins d'un euro sur deux revient aux assurés"
Il faut savoir que sur les contrats collectifs, les OCAM accusent un déficit de 4 %, alors qu'ils réalisent une marge de 4 à 7 % sur les contrats individuels. "C'est une redistribution à l'envers, a commenté le responsable de Que Choisir, "des plus aidés vers les moins aidés", qui supportent le plus gros de la charge. Une situation qui "n'est pas acceptable", et "nous scandalise", ont clamé les militants associatifs. En moyenne, sur 100 euros de cotisations, 76 % reviennent aux assurés en contrat collectif, mais seulement 66 % en individuels. Et même, pour certains contrats, moins de 50 % soit "moins d'un euro sur deux qui revient aux assurés". Et quels sont ces contrats ? "En particulier, ceux souscrit par démarchage à domicile ou par téléphone, auprès de personnes âgées souvent, ou par l'intermédiaire de certains courtiers, en totale opacité". Sans commentaires.
Pour Que Choisir "C'est la preuve que la concurrence ne fonctionne pas dans le secteur santé. Ces contrats auraient dû disparaître car ils sont peu favorables aux assurés. Mais du fait d'une absence de lisibilité et de transparence sur le taux de redistribution, ils existent toujours".
L'association de consommateurs se tourne maintenant vers le gouvernement, sommé d'agir pour moraliser le marché, alors que s'ouvre la nouvelle ère du reste à charge zéro pour les lunettes, les prothèses dentaires et auditives. "Ce qui nous choque, c'est que le reste à charge zéro arrive au milieu de...
ce marché malsain, insistait Alain Bazot. Le plus choquant, c'est le secteur des contrats individuels où la régulation est défaillante. On peut même se demander si derrière cette passivité, il n'y a pas une certaine complaisance des pouvoirs publics à ne pas régler un marché qui ne marche pas…"
"C'est un échec de l'autorégulation"
UFC-Que Choisir formule deux demandes : définir par la réglementation, une meilleure lisibilité des garanties des contrats. Un arrêté prévu par la loi Hamon de 2014 n'est jamais paru. "On fait du sur place, c'est un échec de l'autorégulation", a pesté Alain Bazot.
Deuxième requête : un indicateur de performance qui publierait le taux de redistribution des complémentaires santé. "Ce serait un véritable aiguillon concurrentiel, sur le modèle de Nutriscore", pour l'alimentation, estime le président de l'UFC-Que Choisir.
"Nous sommes en droit de nous interroger sur le taux d'évaporation d'un marché qui consacre des milliards d'euros de dépenses en frais de publicité, de marketing alors que certaines complémentaires ne redistribuent pas la moitié de ce qu'elles touchent", s'indigne-t-il, soulignant qu'il y avait une véritable bataille pour acquérir des parts de marché. Pour lui, il y a urgence : "Il faut que les pouvoirs publics s'emparent de ce problème avant que le reste à charge zéro n'éclabousse tout le reste de la collectivité".
............."
12/06/2018 à 15h17
bill écrivait:
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> Bizarre quand même : quand on n'influence pas le vote comme lors de la
> consultation anonyme ASD, ça donne 80% de contre...
As tu des preuves que le vote du Morbihan a été influencé ? Voila comme cela c'est passé .
Présentation du film sur la convention réalisée par les CCDELI , intervention d'un membre du CA opposé à la convention , intervention d'un membre favorable , débat avec la salle , vote à bulletin secret " êtes vous pour ou contre la signature de la nouvelle convention" puis le verre de l'amitié . Même l'intervenant opposé à la convention est d'accord sur le fait que la présentation a été équilibrée .
Pour la FSDL un vote non influencé est un vote avec uniquement les bulletins contres?
Pour le vote ADS mon explication est très simple , seul les farouches confrères opposés à la convention ont été suffisamment motivé pour arriver à voter car le site était très mal foutu .
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YOBI
12/06/2018 à 15h23
Je crois me souvenir lors du débat à l'ADF que Philippe Denoyelle a dit " les assureurs ne sont pas des puits sans fonds". 3 milliards de frais de pub, ça laisse songeur quand on voit qu'ils rechignent pour 2 ou 300 millions d'euros ces empafés.
Certains s'en contentent vous me direz......;quelle tristesse
--
http://www.fsdl.fr/
12/06/2018 à 15h36
rapelapente écrivait:
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> Yobi écrivait :
> << Ok pour une bouteille de champagne , si dans 3 ans Catherine n' a pas
> intégrée une mutuelle tu me dois 100 bouteilles de Champagnes . >>
>
> Banco ! Je suis !
Pas de problème , tu me mets cela par écrit avec tes coordonnés en MP et je te confirme ensuite par ecrit à mon tour mon engagement .
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YOBI
12/06/2018 à 15h45
yobi écrivait:
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> Pas de problème , tu me mets cela par écrit avec tes coordonnés en MP et je te
> confirme ensuite par ecrit à mon tour mon engagement .
> --
> YOBI
tu nous fait la même pour l’absence de plafond ou de limitation par les mutuelle/assureur sur le panier RAC0 pendant la durée de cette convention ?
12/06/2018 à 16h01
lardonbis écrivait:
---------
> yobi écrivait:
> ----
>
> > Pas de problème , tu me mets cela par écrit avec tes coordonnés en MP et je te
> > confirme ensuite par ecrit à mon tour mon engagement .
> > --
> > YOBI
>
>
> tu nous fait la même pour l’absence de plafond ou de limitation par les
> mutuelle/assureur sur le panier RAC0 pendant la durée de cette convention ?
Il peut déjà t'envoyer les caisses, les plafonds sont déjà la norme pour les contrats responsables individuels.
12/06/2018 à 16h12
yobi écrivait:
----
> Pour le vote ADS mon explication est très simple , seul les farouches confrères
> opposés à la convention ont été suffisamment motivé pour arriver à voter car le
> site était très mal foutu .
>
Tu veux dire que les farouches confrères "pour la convention" n'étaient pas assez motivés pour arriver à voter ?
Ils connaissaient déjà le résultat ?
12/06/2018 à 16h13
le site de la CNSD il disait que les plafond c'était de la fausse nouvelle!
j'y crois ;)
12/06/2018 à 16h49
> l' inlay core a déjà crispé les assureurs...alors le rac0 c 'est une autre
> dimension....ils ne voudront jamais financer ça ....à moins d'une close
> limitative dans les contrats....
> ET si ils refusent le rac0.....que devient ce torchon de convention CNSD<
Il fonctionnera tres tres bienà sa façon, le plafonnement des prothéses sera entériné, la contre partie soins volera en éclats. Elle ne sera JAMAIS appliquée, ni a paques 2022, ni a la trinité 2023.