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Bruxisme
24/01/2020 à 11h15
:-))) eh qué ortho ? à un ortho , si tu lui demandes l heure , tu rates le train :-)
tout ça ç est résolu en 2s en 1ere consultation . 23 e et c est terminé les douleurs musculaires .
un coup de bzimm sur la crete mesiale de 17 et distale de 16 et éventuellement un coup de dzinng sur la couronne t et basta . à mon avis .
15js apres tu contrôles et tu ajustes .
24/01/2020 à 11h27
montmartre écrivait:
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" Enlaye, on est d'accord que les canines, qui sont les dents les plus robustes, avec les couronnnes et les racines les plus longues. Ce n'est pas un hasard. Ce sont elles qui servent de balises d'aterrissage à la mandibule. "
non non , pas plus qu une autre dent .
elles sont robustes oui ,donc pour s opposer à des forces importantes , forcement .
or ces forces intenses ne sont pas présentes lors un mouvement , mais bien lors d un appuis terminal elles ont donc surtout une fonction de verrouillage et donc aussi de guidage vers ce verrouillage .
24/01/2020 à 12h56
Tu veux dire qu’il y aurait un lien entre la taille de la canine et la taille du .... ?
Est ce que Pervers perpère peut confirmer ou infirmer cette affirmation?
24/01/2020 à 13h05
Négatif, sujet largement débattu lors du dernier congrès international "Ouvrez vos impers" , il y aurait éventuellement un lien avec le ratio index/annu(s)laire, cependant cette étude est ... à prendre avec des pincettes (aïe) car réalisée par des coréens qui sont réputés pour leur ... téléphone. on attend avec impatience l'étude congolaise en cours de réalisation.
https://www.topsante.com/couple-et-sexualite/sexualite/troubles-sexuels-chez-l-homme/sexe-la-taille-du-penis-depend-de-la-longueur-des-doigts-23386
24/01/2020 à 15h27
Oui, pour pour des travaux pratiques, on manque de bras, enfin quand je dis de bras c'est un euphémisme mais attention c'est à but scientifique évidemment, on est des Dr quand même.
24/01/2020 à 16h41
Slavicek:
La proprioception de l’appareil manducateur est assurée par des récepteurs situés à tous les niveaux
(desmodontaux, musculaires, articulaires). L’interprétation de la situation mandibulaire est
uniquement possible grâce à la comparaison des informations fournies par les différents types de
récepteurs. Les récepteurs desmodontaux sont les plus sensibles aux contraintes mécaniques. Ils sont
plus nombreux au niveau des secteurs antérieurs (décroissants depuis l’incisive centrale jusqu’à la 3e
molaire) ; de plus, il a été démontré il y a plus de 50 ans que le seuil de sensibilité aux contacts est
abaissé lorsque les forces sont exercées à l’horizontale, c’est-à-dire, dans le sens inverse au grand axe
de la dent. Cela fait du secteur antérieur maxillaire une zone de choix pour le réglage des mouvements
mandibulaires.
La morphologie linguale des incisives et canines définit l’enveloppe finale des mouvements de la
mandibule. Un système de feedback assuré par des contacts multiples et légers permet de réguler le
mouvement (amplitude et vitesse) et d’amener la mandibule en bonne position. Ces contacts sont
ponctuels, répétitifs, situés au niveau de dents sensibles et sur des pentes inclinées.
Ce trajet fonctionnel est économe en énergie car il permet une diminution de l’usure des surfaces
dentaires, des contraintes articulaires et de la sollicitation musculaire par systématisation des
fonctions (facilitations neuromusculaires, mastication alternée…).
De plus, l’appareil manducateur présente une architecture en levier (dit du 3e
genre) ; Les forces transmises à l’environnement (dents, parodontes muscles et articulations) sont d’autant plus faibles qu’elles s’appliquent en antérieures. Cela répond au principe de protection mutuelle. La fonction de désocclusion doit être assurée par les dents antérieures même si leur parodonte est réduit. Il y a ainsi réduction des contraintes musculaires et donc soulagement, même au niveau des dents antérieures. Ce qui est confirmé par Manns and collaborateurs qui montrent que la désocclusion
postérieure entraine une diminution des pressions au niveau du secteur antérieur.
En OIM, les dents antérieures maxillaires recouvrent et surplombent les dents antérieures
mandibulaires. Ce contact permet aux dents mandibulaires de se situer par rapport aux dents
maxillaires. L’architecture palatine des dents antérieures maxillaire, joue un rôle primordial dans le
guidage des mouvements mandibulaires (propulsion et diduction). Le bord libre des dents
mandibulaires se déplace selon des trajets linéaires sur les surfaces de guidage maxillaires, à savoir
leur face palatine (arêtes proximales).
Lors du mouvement de diduction, la canine mandibulaire va faire glisser sa pointe cuspidienne contre
la face palatine de la canine maxillaire jusqu’au bout-à-bout canin
24/01/2020 à 16h50
Dans la vraie vie, on fait rarement des mouvements de diductions jusqu'au bout à bout canin et idem en propulsion.
C'est ce qui a évolué dans les théories ces cinquantes dernières années.
24/01/2020 à 17h40
montmartre écrivait:
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" Lors du mouvement de diduction, la canine mandibulaire va faire glisser sa pointe cuspidienne contre
la face palatine de la canine maxillaire jusqu’au bout-à-bout canin"
et surtout que s il y a diduction de la pointe jusqu au bout à bout ,ç est qu il y a une action volontaire de mouvements pour en arriver là , donc on s en branle , tout simplement :-)
24/01/2020 à 17h52
tu vois quand on lit des trucs comme ça , (sans parler de celui là précisément hein ), ça sent la compilation de copié collé , de un tel a dit ... et aussi l autre a dit .....
et individuellement tous ces on dit , même s il sont exacts ,quand ils sont associés et repetés par un petit rapporteur ça tourne plus à de la délation qu'à de la démonstration logique .
en clair ça manque d âme ,et de conviction , de jolie histoire tout simplement .
24/01/2020 à 17h54
quand vous reglez l'occlusion, vous demandez au patient de reproduire un cycle de mastication genre Lauret et Le Gall, ou vous lui demandez de mordre sur le papier puis de faire des mouvements de diduction?
24/01/2020 à 18h16
Déjà quel type de papier?
Perso de la moquette bleue à 200µ
Pour le reste, j'vais laisser bosser mon collègue:-))
24/01/2020 à 20h39
quand tu dis régler l occlusion tu veux dire regler dans quel cas ? lors d une pose de prothese , ou bien un cas comme celui ci lorsqu il y a un pb ?
pcq sur un cas comme le tien , en etant excessif tu n as pas besoin de papier , et pour cause , sur tes photos il n y a pas de papier et pourtant je prendrais la fraise direct et je saurais où aller .
quand il y a deja un pb , c est le cas le plus facile :-)
25/01/2020 à 07h28
montmartre écrivait:
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"quand vous reglez l'occlusion, vous demandez au patient de reproduire un cycle de mastication genre Lauret et Le Gall, ou vous lui demandez de mordre sur le papier puis de faire des mouvements de diduction? "
oublies tout ça ! :-)
y en a 1 qui a vraiment compris quelque chose à tout ça ?
ben non , degun , et pour cause :-)
il manque le truc essentiel pour comprendre , c est l objectif , le mobile ,c est :
quel est le but de tout ça ?
alors comme tu m as l air sympathique , et que tu as l air de m avoir suivi sur eugenol ( en postant une photo vue de derrière) , et que tu parts en couilles à limer à tout va , je vais essayer de te la démystifier l histoire :-))
25/01/2020 à 10h19
enlaye écrivait:
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je vais essayer de te la démystifier l histoire
aaaah...
Prochain article de Enlaye sur eugénol "Démystifier l'occlusion en cabinet dentaire omnipratique".
Je pense que tout le monde attend avec impatience.
25/01/2020 à 10h23
enlaye écrivait:
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> quand tu dis régler l occlusion tu veux dire regler dans quel cas ? l
Oui, réglage de l'occlusion en adjointe, conjointe (sur dent naturelle et sur implant), quel type d'index marqueur 9,12,200 microns? Quels mouvements?
25/01/2020 à 10h43
En adjointe, 200µ, plus tu te rapproches de la complète et plus tu règles comme une complète.
Tu évites les contacts dents/taquets ou autres structures du châssis, lors du tracé du châssis.
Tu t'assures, en occlusion, que les ctc sont bilatéraux, stabilisants, prendre une spatule de bouche et voir si elle passe entre les dents (contacts insuffisants). Et, bien sûr de même intensité, c'est là que le 2000µ est indispensable.
Pour les autres mouvement, si pap de petite étendue, elle ne doit pas être mobilisée et si grande étendue, trépied stabilisant ( occlusion balancée).
25/01/2020 à 14h59
montmartre écrivait:
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" quel type d'index marqueur 9,12,200 microns? Quels mouvements? "
ç est une question qui revient inlassablement ,et on avait deja eu un post là dessus :
https://www.eugenol.com/sujets/412727-cas-clinique-de-chirurgie-guidee-et-mise-en-charge-immediate?page=10#post_858736
et quand à la taille du papier j avais dit ceci :
"Papier fin Rintintin
Le principe du papier fin est de dire :
plus il est fin ,plus facilement je devrais pouvoir enregistrer le 1er contact .et même qu' avec un peu de chance ,je pourrais même voir un petit trait qui me montrerait un éventuel dérapage à partir de ce point .Et ce sans enregistrement de faux positif,
Ç est pas con .
Ç est pas con ,mais au pays de Candy ,alors .
Parce qu’en bouche ,ça ne le fait pas , on y voit rien .
Ou alors , pour pouvoir marquer , il faut un impact fort .
Et il est là le problème , l'impact doit donc être franc ,donc :
soit avec une coopération du patient ,
soit avec ta manipulation .
Au final , tu enregistres , non pas le 1er contact mais UN contact qui est induit par UN mouvement volontaire qui à tout les coup est loin de l'axe charnière . Du coup , qui peut dire que ç est le 1er contact en centrée ou même en oim ,
ce contact doit être d'autant plus fort ,qu'en face il existe une dent mobile qui amorti ,ou que la dent est lisse ,en métal ,ou en ceram ,ou mouillé .
Lorsqu'on veut enregistrer une centrée , on utilise des cires molles , style moico à 52 ° , pour être le plus délicat possible , afin d'enregistrer la fin d'un mouvement où n'interviennent pas les dents .
Bref ,on y va molo molo .
On est bien d'accord ?
Alors on veut nous faire croire , que pour vérifier , cette position fugace , il faut utiliser certes un papier fin ,mais qui nécessite une activité musculaire forte , soit la tienne ,soit celle du patient .
Lorsque l'on veut enregistrer une latéralité , on enregistre UNE latéralité , mais il y en a plein des latéralités . Il y a celle en propulsion ( qu'on s’en fout complet ) et celle en serrant sur les molaires ,etc etc .
Si on utilise du papier fin , au mieux ,on en enregistre UNE mais on ne sait pas laquelle .
et je ne te parle meme pas de l'utilisation de la pince de Miller qui raidit le papier .....ce qui va dans l'autre sens que ce qui est prévu :-))
Et puis ,de toute façon , l 'utilisation du papier , ç est comme une radio , ça sert à confirmer un diagnostic ,point barre .
On ,s'en tape de voir un point si on ne sais pas pourquoi ,on le regarde:-)) "
25/01/2020 à 15h46
Donc verdict enlaye, tu utilises du 200 micron pour tout.
Pour l’adjointe, la depressibilité de la muqueuse étant de 100micron, c’est ok.
Mais pour la conjointe, tu es en sous occlusion.
25/01/2020 à 16h05
non seulement j utilise du 200 mais en plus je le plie en 2 :-)))
relis encore une fois ce que j ai ecrit et tu comprendras que la sous occ n a rien à voir avec le papier .
ce qui est important ce n est pas le point bleu en soit mais l analyse de la séquence des points ,de l ordre des impacts .
j avais dit aussi cela sur eugenol :
" Points à la ligne
si tu veux analyser un mouvement , et que tu ne regardes que les points d'impacts figés, tu fais donc abstraction du temps . A partir de là ,tu peux raconter n'importe quoi ,puisqu'il n'y a plus d'ordre logique .
Exemple :
admettons, que dans un magnifique champ de neige ,je vois des traces . Une ligne de traces , comme des pas , comme ça en plein milieu .
Si je fais abstraction du temps , je peux dire que toutes ces traces sont simultanées .
je peux dire que ç est un mille pattes qui est tombé du ciel , et arrivé dans la neige ,il en est reparti en déployant ses ailes . Comme quoi , je peux dire n'importe quoi :-)))))
Alors que si j'y mets la variable du temps , je comprends vite que ce n'est pas forcement 1000 impacts simultanés ,mais une succession de traces .les unes ,après les autres , des pas .
Ben du coup ,ç est plus facile , ç est un oiseau qui s'est posé , qui a marché puis qui est reparti en s'envolant . (T'as vu ,jetais pas loin avec mon mille pattes avec des ailes )
voilà tout ça pour te dire , que regarder un mouvement ,mandibulaire dans les 3 axes , avec uniquement des points figés à la ligne, tu peux en déduire n'importe quoi:-))))))) "
25/01/2020 à 16h18
mais en réglant en OIM, en demandant au patient de tapoter sur le papier marqueur, il est en rotation pure autour de l'axe charnière, c'est quasiment du 2D, les points figés correspondent exactement aux points d'oim, en réglant l'occlusion avec du 400 micron, tu es sous oc.
A moins que tu ne regles l'occlusion en demandant au patient de mimer des cycles masticatoires (?).