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epargne

Capture d  cran 2015 03 12 12.28 - Eugenol
chicot29

30/12/2024 à 13h37

Entendu sur LCI : les français épargnent de plus ,en plus mauvais pour la consommation mais bon pour les emprunts de l'état : ça sert de caution. Donc c'est bien du communisme ce qu'ils ne t'ont pas piqué et que tu n'as pas dépensé leur appartient. ca veut dire que votre épargne un jour ou l'autre va être spoliée parce qu'ils vont être incapable de prendre les mesures qui s'imposent.
https://horloge-de-la-dette-publique.com/dette-publique-france/


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dentiste avisé

30/12/2024 à 16h27

https://www.lepoint.fr/economie/au-fait-qui-a-cree-le-bitcoin-30-12-2024-2578964_28.php


dentiste avisé

30/12/2024 à 16h27

.edit


Grifix-Gezucri

30/12/2024 à 16h47

On raconte bien tout et son contraire sur le net.
Le monde devenant très incertain personne ne peut prétendre s’en sortir réellement.
Dans une économie qui s’effondre les besoins vitaux risquent de dépasser la ruine des épargnants.
A suivre dans les mois à venir....


dentiste avisé

30/12/2024 à 17h00

Grifix-Gezucri écrivait:
--------------
> On raconte bien tout et son contraire sur le net.
> Le monde devenant très incertain personne ne peut prétendre s’en sortir
> réellement.
> Dans une économie qui s’effondre les besoins vitaux risquent de dépasser la
> ruine des épargnants.
> A suivre dans les mois à venir....

Bonne année!


Grifix-Gezucri

30/12/2024 à 17h37

A toi aussi mon vieux, merci!


dentiste avisé

30/12/2024 à 17h42

On bouffera des patates.


Grifix-Gezucri

30/12/2024 à 17h55

Bonne idée !
Frites
Écrasé de pomme de terre ail et huile d’olive.
Vapeur sel+huile d’olive.
En galettes de PDT à la poêle
En soufflé
Gratin
...c’est pas les déclinaisons qui manquent, bien au contraire


Grifix-Gezucri écrivait:
--------------
...
> Écrasé de pomme de terre ail et huile d’olive.
...

T'as oublié le thym.


Gabzou

30/12/2024 à 18h31

Dire que la France est trop endettée OK.
Mais le raccourci intellectuel qui en déduit que l'état va venir piquer nos économies, il est fort.
Tu veux que j'attende combien de décennies sans que ça n'arrive pour ressortir ce post et rigoler un grand coup?


Hok 1b hgd3rj - Eugenol
Hokusai

30/12/2024 à 18h37

Gabzou écrivait:
------
> Dire que la France est trop endettée OK.
> Mais le raccourci intellectuel qui en déduit que l'état va venir piquer nos
> économies, il est fort.


pas piqué... juste taxé...

contribution solidaire de redressement des comptes publiques... 2,78% de CSRCP...

voilà...


Capture d  cran 2015 03 12 12.28 - Eugenol
chicot29

31/12/2024 à 13h30

Gabzou écrivait:
------
> Dire que la France est trop endettée OK.
> Mais le raccourci intellectuel qui en déduit que l'état va venir piquer nos
> économies, il est fort.
> Tu veux que j'attende combien de décennies sans que ça n'arrive pour ressortir
> ce post et rigoler un grand coup?
T'as pas entendu ce que dit la journaliste l'épargne des français sert de caution à l'état pour emprunter. Quand tu peux plus rembourser c'est qui qui paie ?

--
Dentiste qui en a plein le cul.


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

31/12/2024 à 16h52

Gabzou écrivait:
------
> Dire que la France est trop endettée OK.
> Mais le raccourci intellectuel qui en déduit que l'état va venir piquer nos
> économies, il est fort.
> Tu veux que j'attende combien de décennies sans que ça n'arrive pour ressortir
> ce post et rigoler un grand coup?

L’État peu piquer l’épargne de différentes maniérés (inflation, taxation, modifications fiscales sur certains supports défiscalisés en partie aujourd'hui car ils sont placés sur des emprunts d’État, non remboursements de certains emprunts d’États qui sont aujourd'hui imposés en partie aux banquiers, .....)

Ce qui est placé en banque ne t'appartient pas totalement sachant que déjà ces sommes servent à emprunter avec des effets de leviers. Sachant que la santé financières des banques française est loin d’être optimale et qu'en cas de faillite, on va avoir une recapitalisation avec des impôts et un apurement des pertes au dépend des épargnants.

Enfin, l’évolution des intérêts de la dette pose des problèmes de financement.Et la discussion sur les frais de succession est bien l'un des moment où l’État s'accapare l’épargne d'une vie des Français.


RépondreCiter
Gabzou

01/01/2025 à 12h51

Que les bénéfices de l'épargne soient taxés, je ne vois pas trop le problème.
La succession ça ne taxe pas une épargne, ça taxe le bénéfice d'un nouvel individu. Tu n'es pas ton parent.
Mais faire le lien entre l'état qui utilise l'épargne de sa population comme gage de sa capacité à rembourser et l'idée qu'il puisse venir la prendre, pour moi ça ne colle pas.
Bien sur que l'épargne est impactée par l'inflation, etc.
Et les faillites bancaires peuvent en priver de leur épargne malgré un minimum garanti récuperable par la loi.

Mais ce qui est dit par chicot c'est que c'est du communisme, notre épargne appartient à l'état et il VIENDRA la chercher et nous spolier.
Et ça c'est du bullshit complotiste.


bouboule

01/01/2025 à 16h33

Gabzou écrivait:
------
>
> Mais ce qui est dit par chicot c'est que c'est du communisme, notre épargne
> appartient à l'état et il VIENDRA la chercher et nous spolier.
> Et ça c'est du bullshit complotiste.

Non, ça s’appelle l’ISF.


Cr7pnjfgc5hbocxoa1s705m39a2r - Eugenol
ELGY

01/01/2025 à 17h29



1. L’impôt finance les services publics essentiels

L’impôt permet de financer les infrastructures et services publics dont tout le monde bénéficie, tels que les hôpitaux, les écoles, les routes, la sécurité (police, pompiers) et la justice. Sans impôts, ces services ne pourraient exister ou seraient accessibles uniquement à ceux qui peuvent se les payer. Que vous ayez le sentiment que ces services fonctionnent mal est un autre problème.

2. L’impôt favorise la solidarité sociale

Il permet une redistribution des richesses en aidant les plus démunis par le biais de prestations sociales, de subventions au logement, ou encore d’accès à des soins gratuits ou à faible coût. Cela réduit les inégalités et favorise la cohésion sociale.

3. L’impôt est une condition de la démocratie

Un État doit être capable de fonctionner de manière indépendante pour servir l’intérêt général. L’impôt garantit que les citoyens contribuent collectivement au bien commun. Sans financement public, l’État deviendrait dépendant de sources privées, ce qui mettrait en péril son impartialité.

4. Il permet des investissements à long terme

Les impôts financent des projets que les entreprises privées ne trouvent pas rentables mais qui sont cruciaux pour le développement de la société, comme les infrastructures, la transition énergétique ou la recherche scientifique.

5. Refuser l’impôt est souvent égoïste

Les opposants à l’impôt bénéficient souvent eux-mêmes des services financés par celui-ci. Par exemple, ils utilisent les routes, envoient leurs enfants dans des écoles publiques ou profitent de la sécurité offerte par l’État. Refuser de contribuer revient à profiter du système sans vouloir en partager le coût.

6. Les entreprises bénéficient aussi de l’impôt

Les infrastructures, l’éducation, la sécurité et la stabilité politique financées par l’impôt profitent directement aux entreprises, en leur offrant un cadre favorable pour leur activité. Sans cela, leur développement serait compromis.

7. L’impôt est adaptable et progressif

Dans de nombreux systèmes fiscaux, l’impôt est progressif, ce qui signifie que les riches paient proportionnellement plus que les pauvres. Cela permet d’assurer une équité sociale sans écraser les plus faibles économiquement.

8. L’alternative à l’impôt est souvent pire

Les opposants à l’impôt proposent souvent des modèles basés sur des services privatisés ou des taxes indirectes (comme la TVA), qui sont souvent plus injustes et pèsent davantage sur les classes moyennes et populaires.

En résumé, l’impôt est non seulement une nécessité pour garantir le bon fonctionnement de la société, mais aussi un outil de justice sociale et de développement durable.


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

01/01/2025 à 17h38

.....

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king_zoulou

01/01/2025 à 17h43

Le pire c’est que des mecs comme Elgy y croient vraiment.


Cr7pnjfgc5hbocxoa1s705m39a2r - Eugenol
ELGY

01/01/2025 à 17h48



1. La fiscalité existe dans tous les systèmes économiques
• L’imposition n’est pas exclusive au communisme. Les pays capitalistes (États-Unis, France, Japon, etc.) utilisent la fiscalité pour financer les infrastructures publiques, la santé, la sécurité et l’éducation.
• Même les monarchies et démocraties anciennes utilisaient des taxes bien avant l’émergence du communisme.

2. Différence entre fiscalité et collectivisation
• Le communisme vise à abolir la propriété privée au profit d’une collectivisation totale des moyens de production.
• Dans les sociétés capitalistes avec des impôts, la propriété privée reste centrale, et les impôts servent à redistribuer une partie des richesses, pas à supprimer la propriété.

3. Financer des services publics n’est pas communiste
• Les routes, écoles, hôpitaux et forces de l’ordre bénéficient à toute la société. Refuser les impôts reviendrait à renoncer à ces infrastructures essentielles.
• Ces services sont nécessaires pour maintenir la stabilité et la productivité d’une économie, même capitaliste.

4. Les impôts permettent de limiter les inégalités
• Contrairement au communisme, qui cherche une égalité totale, la fiscalité progressiste dans les démocraties vise seulement à réduire les écarts extrêmes pour garantir un minimum de justice sociale.
• Cela permet de maintenir un équilibre économique qui favorise la consommation et la croissance.

5. Les impôts sont le reflet d’un contrat social
• Dans une société moderne, chaque individu bénéficie de biens communs financés par les impôts (sécurité, justice, santé, etc.). L’impôt est une contribution équitable à ce contrat social.
• Ce système n’implique pas de renoncer à ses libertés économiques comme dans un régime communiste.

6. Les pays les plus capitalistes ont une forte fiscalité
• Des pays comme la Suède, la Norvège ou le Danemark ont des systèmes fiscaux très développés pour financer leurs modèles sociaux, tout en restant profondément capitalistes.
• Aux États-Unis, considéré comme le berceau du capitalisme, les impôts financent également des programmes comme la sécurité sociale ou les infrastructures.

7. Les impôts favorisent l’économie de marché
• En permettant de construire des routes, d’assurer l’éducation ou d’offrir des soins, les impôts créent un cadre où les entreprises peuvent prospérer. Sans ces infrastructures, aucune économie de marché ne pourrait fonctionner efficacement.

8. L’alternative serait l’injustice ou le chaos
• Sans impôts, seuls les riches pourraient accéder aux services essentiels (santé, éducation), et les inégalités sociales exploseraient, menaçant la cohésion sociale et la stabilité économique.
• Laisser ces services au secteur privé reviendrait à exclure une partie de la population, ce qui n’est ni viable ni équitable.

Les impôts ne sont pas du communisme, mais un outil indispensable pour faire fonctionner les sociétés modernes et capitalistes. Ils permettent de concilier croissance économique, justice sociale et stabilité.


Seguemol

01/01/2025 à 18h33

king_zoulou écrivait:
-----------
> Le pire c’est que des mecs comme Elgy y croient vraiment.

Tiens king_zoulou veut devenir président peut-être, non?


Cr7pnjfgc5hbocxoa1s705m39a2r - Eugenol
ELGY

01/01/2025 à 18h44

1. Les impôts sont essentiels pour le fonctionnement de la société
• Infrastructure : Routes, écoles, hôpitaux, transports publics, forces de l’ordre et armée sont financés grâce aux impôts. Ces services ne peuvent pas être assurés par des initiatives privées.
• Exemple concret : Sans impôts, qui paierait les pompiers qui interviennent gratuitement en cas d’incendie ou d’accidents ?

2. Les impôts ne disparaissent pas dans un “trou noir”
• Beaucoup de complotistes prétendent que “l’État vole l’argent”. En réalité, chaque euro prélevé est redistribué : éducation, santé, retraites, prestations sociales (RSA, APL).
• Transparence : En France, le budget de l’État est public. Toute personne peut consulter les comptes et vérifier l’utilisation des fonds.

3. Le niveau de vie en France dépend de la fiscalité
• Les pays avec une faible fiscalité, comme certains États des États-Unis, offrent des services publics moins accessibles : pas de couverture santé universelle, universités hors de prix…
• En France, des systèmes comme la Sécurité sociale ou les écoles publiques sont possibles grâce aux impôts.

4. La fraude fiscale coûte plus cher que les “excès de l’État”
• Les complotistes dénoncent souvent un “État prédateur”, mais la fraude fiscale (80 à 100 milliards d’euros par an) coûte bien plus cher que les abus qu’ils dénoncent.
• Si chacun payait ses impôts équitablement, le fardeau serait réduit pour tous.

5. Comparaison avec d’autres pays : La France n’est pas un enfer fiscal
• Bien que la fiscalité française soit élevée, elle finance des droits uniques au monde, comme les 35 heures, les congés payés, ou la couverture santé universelle.
• Les pays sans impôts élevés ont souvent une pauvreté plus marquée et des inégalités criantes.

6. Réfuter l’idée que “les riches sont trop taxés”
• Les études montrent que les plus riches trouvent des moyens d’optimiser leurs impôts, contrairement aux classes moyennes. La progressivité de l’impôt est une façon juste de répartir la charge.
• En réalité, les grosses entreprises et les très riches bénéficient souvent de niches fiscales, ce qui relativise l’argument des “taxes confiscatoires”.

7. Les alternatives proposées sont irréalistes
• Les complotistes parlent parfois d’abolir les impôts ou de “laisser chacun gérer son argent”. Or, ce modèle revient à privatiser les services publics, rendant des choses comme l’éducation et la santé inaccessibles à une grande partie de la population.
• Même dans un système sans impôts directs, des taxes indirectes (TVA, droits de douane) finiraient par compenser.

8. Les impôts ne sont pas une invention moderne ou oppressive
• L’impôt existe depuis l’Antiquité et est une composante de toutes les sociétés organisées. Ce n’est pas une “arnaque moderne”, mais un pilier de la vie en communauté.
• Refuser de payer des impôts revient à profiter des services publics sans en assumer le coût, ce qui est profondément égoïste.

9. L’État ne cherche pas à “appauvrir” les citoyens
• Les complotistes affirment souvent que l’État impose pour contrôler la population. Or, la réalité est que la fiscalité permet de redistribuer les richesses pour éviter des inégalités trop grandes et des crises sociales.
• Preuve : Les politiques sociales comme le RSA, la prime d’activité ou les subventions aident justement les plus modestes.

10. Les services publics sont largement soutenus par la population
• Les sondages montrent que les Français sont attachés à leurs services publics (hôpitaux, écoles, justice). Les impôts permettent de les maintenir et de les améliorer.
• Refuser les impôts revient à demander à détruire ce que la majorité des citoyens considère comme un droit fondamental.

Les arguments des complotistes anti-impôts reposent souvent sur des idées fausses ou déconnectées de la réalité. En expliquant que les impôts financent des services essentiels, qu’ils sont gérés de manière transparente et qu’ils permettent à chacun de bénéficier d’un filet de sécurité, on montre qu’ils ne sont pas une “oppression”, mais un outil indispensable pour vivre en société.


Cr7pnjfgc5hbocxoa1s705m39a2r - Eugenol
ELGY

01/01/2025 à 19h31

king_zoulou écrivait:
-----------
> Le pire c’est que des mecs comme Elgy y croient vraiment.




1. Une société sans État est irréaliste
• L’État est indispensable : Les libertariens veulent réduire l’État au minimum (armée, police, justice). Cependant, des services comme l’éducation, la santé ou les infrastructures nécessitent une gestion collective pour fonctionner efficacement.
• Exemple : Sans régulation publique, qui construirait et entretiendrait les routes ou les réseaux électriques dans les zones rurales non rentables ? Les entreprises privées ne s’en chargeraient pas sans profit.

2. Le marché libre ne garantit pas la justice sociale
• Inégalités : Un marché sans régulation favorise les grandes entreprises et les plus riches, créant des écarts gigantesques entre les classes sociales.
• Exemple historique : La Révolution industrielle (19e siècle) a montré que l’absence de régulation conduit à l’exploitation des travailleurs, des enfants et à des conditions de vie misérables.
• Contre-argument : Un État providence limite ces abus en redistribuant les richesses.

3. Les services publics sont essentiels et non substituables
• Privatisation problématique : Les libertariens préconisent la privatisation de services publics. Cependant, cela rend ces services inaccessibles aux plus pauvres (éducation, santé).
• Exemple : Aux États-Unis, où la santé est largement privatisée, des millions de personnes ne peuvent pas se soigner à cause des coûts exorbitants.
• Preuve : Les systèmes publics comme ceux de la France ou de la Suède offrent des soins de qualité pour tous, indépendamment des revenus.

4. Une totale liberté économique favorise les monopoles
• Les libertariens croient que la concurrence régule le marché. En réalité, sans intervention de l’État, les grandes entreprises étouffent les petites, éliminent la concurrence et forment des monopoles.
• Exemple : À la fin du 19e siècle aux États-Unis, des entreprises comme Standard Oil ont monopolisé des secteurs entiers jusqu’à ce que l’État intervienne.

5. Les individus ne peuvent pas tout gérer seuls
• Les libertariens prônent l’autonomie individuelle, mais cela néglige les situations où des personnes sont vulnérables (maladies, chômage, handicaps).
• Exemple concret : Sans Sécurité sociale ou assurance chômage, les familles en difficulté seraient laissées à elles-mêmes, créant une pauvreté systémique.
• Contre-argument : La solidarité collective garantit un filet de sécurité pour tous.

6. La régulation protège l’environnement et la santé
• Dérégulation dangereuse : Les libertariens s’opposent aux réglementations environnementales et sanitaires, sous prétexte qu’elles freinent l’économie. Mais sans régulation, les entreprises polluent librement, mettant en danger la planète et la santé publique.
• Exemple : Des scandales comme le glyphosate ou les émissions des moteurs truqués montrent que les entreprises ne s’autorégulent pas sans pression extérieure.

7. La réduction des impôts n’est pas toujours bénéfique
• Les libertariens défendent des impôts quasi inexistants. Or, ces prélèvements financent des services essentiels (éducation, santé, infrastructures).
• Exemple concret : Les pays nordiques, avec une fiscalité élevée, figurent parmi les pays les plus prospères et égalitaires au monde.

8. L’absence de régulation fragilise les crises économiques
• Crises financières : L’idéologie libertarienne favorise une régulation minimale des marchés financiers, ce qui peut provoquer des bulles spéculatives et des krachs économiques.
• Exemple historique : La crise des subprimes en 2008 est due à un excès de dérégulation. Seule l’intervention massive des États a empêché un effondrement global.

9. La coopération est plus efficace que l’individualisme
• Les libertariens valorisent l’individualisme. Cependant, des problèmes globaux comme les pandémies, le changement climatique ou les conflits nécessitent une réponse collective.
• Exemple : La gestion du COVID-19 a montré que les pays avec un État fort (comme la Corée du Sud) ont mieux géré la crise que ceux misant sur l’initiative individuelle.

10. Une société libertarienne ne garantit pas les libertés
• Liberté pour qui ? : Dans une société libertarienne, les plus puissants (grandes entreprises, riches) domineraient les plus faibles, limitant en réalité la liberté des citoyens ordinaires.
• Exemple : Sans régulation, des entreprises peuvent imposer des conditions de travail abusives ou des prix exorbitants pour des services essentiels.

Les idées libertariennes séduisent par leur promesse de liberté et de prospérité, mais elles ignorent les réalités complexes de la société. En minimisant l’État et les régulations, elles aggraveraient les inégalités, les crises économiques, et la dégradation de l’environnement, tout en fragilisant les plus vulnérables. Une société équilibrée repose sur une coopération entre les individus, le marché et l’État, et non sur une absence de régulation.


bouboule

01/01/2025 à 19h50

Haaaaa l’IA….

Les impôts : Une contrainte inutile et contre-productive ?
1. Les impôts ne sont pas la seule solution pour financer les services publics
Bien que les impôts financent de nombreux services, il est possible d’envisager des alternatives. Par exemple, des modèles privés ou des partenariats public-privé peuvent offrir des solutions plus efficaces et mieux adaptées aux besoins spécifiques de chaque secteur. L’initiative privée peut parfois remplacer l’État dans des domaines comme l’éducation ou la santé, offrant des services de meilleure qualité à moindre coût.
2. L’argument de la redistribution est souvent un prétexte pour la bureaucratie
Les complotistes dénoncent souvent l’opacité de la gestion des fonds publics. En effet, une grande partie des recettes fiscales est détournée par une bureaucratie lourde et inefficace. De plus, la redistribution par l’État est souvent mal ciblée, créant des effets d’aubaine pour certaines catégories sociales et des distorsions économiques. L’idée que chaque euro prélevé contribue réellement au bien-être des citoyens est largement surestimée.
3. Les pays à faible fiscalité ne sont pas nécessairement moins développés
De nombreux pays avec une fiscalité plus faible, comme certains États américains ou la Suisse, offrent des niveaux de services publics comparables à ceux de la France, sans pour autant imposer des charges fiscales écrasantes. Ces pays réussissent à maintenir un haut niveau de vie tout en limitant les interventions étatiques. L’argument selon lequel une forte fiscalité est indispensable pour garantir un certain niveau de services est donc contestable.
4. La fraude fiscale est un problème exagéré
La fraude fiscale est souvent mise en avant pour justifier un contrôle fiscal plus rigide, mais elle reste une partie infime du budget public. Par ailleurs, de nombreuses études montrent que l’État lui-même est responsable de gaspillage, de mauvaise gestion et de dépenses inutiles qui dépassent largement les pertes dues à la fraude. Au lieu d’améliorer l’efficacité des dépenses publiques, l’État préfère augmenter les taxes, ce qui pénalise l’ensemble des citoyens.
5. La France est-elle vraiment un modèle fiscal ?
L’argument selon lequel la France serait un modèle fiscal généreux et équilibré n’est pas soutenu par les faits. La forte fiscalité en France n’a pas empêché des problèmes sociaux persistants tels que le chômage de masse, l’endettement public, ou les inégalités. De plus, l’inefficacité du système public en matière de gestion des ressources montre que les impôts élevés ne se traduisent pas toujours par des bénéfices concrets pour la population.
6. Les riches sont déjà largement taxés
L’idée que les riches échappent à l’impôt grâce à des niches fiscales est souvent exagérée. Les grandes entreprises et les plus riches sont déjà soumis à une pression fiscale importante, et les argumentaires des partisans d’une fiscalité progressive ne tiennent pas compte de la réalité : les très riches créent souvent de l’emploi et de la richesse pour l’économie, et une trop forte imposition pourrait même avoir un effet contre-productif en freinant l’investissement et l’innovation.
7. Les alternatives sans impôts ne sont pas forcément une utopie
Les propositions de supprimer les impôts directs ne signifient pas forcément privatiser tous les services publics, mais peuvent inclure des solutions basées sur l’économie de marché et les initiatives locales. Des systèmes d’assurance privée pour la santé ou de financement participatif pour l’éducation pourraient voir le jour, réduisant ainsi la dépendance à un État centralisateur et inefficace.
8. L’impôt : une invention moderne qui étouffe l’individu
Si l’impôt existe depuis l’Antiquité, cela ne signifie pas qu’il est toujours justifiable. Les sociétés modernes ont largement évolué et l’imposition n’est plus nécessaire pour organiser la vie en communauté. Au contraire, un système moins contraignant permettrait à chacun de gérer ses ressources selon ses besoins et préférences, favorisant l’individualisme et l’autonomie, au lieu de soumettre les citoyens à une pression fiscale excessive.
9. L’État ne redistribue pas, il prend aux citoyens pour les manipuler
Les arguments selon lesquels l’État utilise les impôts pour “redistribuer” sont souvent un alibi pour justifier des politiques qui servent en réalité à renforcer son pouvoir. En imposant les citoyens et en contrôlant les ressources, l’État crée une dépendance et contrôle les individus au lieu de les libérer. Les politiques sociales, loin d’aider réellement les plus pauvres, alimentent souvent une clientèle politique dépendante des aides publiques.
10. Les services publics ne sont pas un droit inaliénable
Enfin, il est important de rappeler que les services publics ne sont pas des droits indiscutables. Si les Français sont attachés à certains services, cela ne signifie pas que ces services soient les plus efficaces ou les mieux adaptés à leurs besoins. Refuser la question des impôts revient parfois à reconnaître que les citoyens peuvent, et doivent, avoir plus de liberté pour choisir comment financer et accéder aux services qui leur conviennent le mieux.

L’idée que les impôts sont une nécessité pour garantir le bien-être public et éviter l’instabilité sociale est largement surévaluée. Bien que les services publics financés par les impôts soient perçus comme des droits fondamentaux, il existe des alternatives plus efficaces et moins contraignantes. Une fiscalité moins lourde et plus ciblée pourrait permettre à chacun de mieux gérer ses ressources, de stimuler l’initiative privée et de réduire l’intervention excessive de l’État dans la vie des citoyens.


Bravo à ceux qui ont tout lu. Pour ma part j’ai fait comme pour le texte d’Elgy, j’ai zappé :-))


Cr7pnjfgc5hbocxoa1s705m39a2r - Eugenol
ELGY

01/01/2025 à 20h00


1. Les impôts ne sont pas la seule solution pour financer les services publics

Certes, des alternatives comme les partenariats public-privé (PPP) peuvent être utiles dans certains cas, mais elles ont souvent montré leurs limites. Les modèles privés priorisent le profit, ce qui peut compromettre l’accès universel et l’équité. En santé ou éducation, par exemple, les initiatives privées tendent à creuser les inégalités sociales, car les services deviennent inaccessibles aux plus vulnérables. L’État, financé par les impôts, garantit une gestion collective, une solidarité nationale et des services accessibles à tous, indépendamment du revenu.

2. L’argument de la redistribution est souvent un prétexte pour la bureaucratie

La redistribution est un pilier fondamental de la justice sociale. Si des inefficacités administratives existent, elles ne remettent pas en cause l’objectif même de la redistribution : réduire les inégalités et assurer un filet de sécurité pour les plus démunis. Contrairement à l’idée avancée ici, de nombreux indicateurs montrent que les systèmes fiscaux redistributifs contribuent à réduire la pauvreté et les inégalités, favorisant la cohésion sociale et la stabilité économique.

3. Les pays à faible fiscalité ne sont pas nécessairement moins développés

Les pays cités (États-Unis, Suisse) reposent souvent sur des modèles qui laissent de nombreux citoyens sans filet de sécurité suffisant, notamment en santé. Par exemple, aux États-Unis, un système à faible fiscalité coexiste avec des millions de personnes sans assurance maladie ou sous-assurées. En outre, des pays comme les pays nordiques, avec une fiscalité élevée, montrent qu’il est possible d’allier une forte redistribution et un haut niveau de développement humain, avec une grande satisfaction des citoyens.

4. La fraude fiscale est un problème exagéré

La fraude fiscale représente une perte annuelle colossale pour l’État (plusieurs dizaines de milliards d’euros en France). Réduire ces pertes pourrait financer des services publics et réduire la pression fiscale sur les citoyens ordinaires. Quant au “gaspillage de l’État”, il s’agit souvent d’un argument généraliste qui masque l’importance des services publics dans des domaines complexes, où l’optimisation n’est pas toujours immédiate mais indispensable (santé, recherche, défense, etc.).

5. La France est-elle vraiment un modèle fiscal ?

Il est vrai que la fiscalité française a des défauts, mais elle reste l’un des piliers d’un modèle social reconnu internationalement. Les services publics universels, l’éducation gratuite ou encore la sécurité sociale sont des acquis qui participent au bien-être collectif. Les problèmes comme le chômage de masse ou l’endettement public ne sont pas directement liés à la fiscalité, mais à des dynamiques économiques complexes. Une fiscalité juste et efficace peut au contraire être un levier pour résoudre ces problèmes.

6. Les riches sont déjà largement taxés

Les riches bénéficient souvent de niches fiscales et d’optimisation légale, ce qui réduit leur contribution proportionnelle. Par ailleurs, leur richesse repose sur des infrastructures et un cadre économique que les impôts financent (routes, éducation, stabilité juridique). L’idée que la taxation des riches découragerait l’investissement est largement réfutée par l’analyse économique : une taxation progressive bien conçue soutient la redistribution sans entraver significativement l’innovation.

7. Les alternatives sans impôts ne sont pas forcément une utopie

Les alternatives proposées, comme l’économie de marché ou le financement participatif, risquent de produire des services fragmentés, réservés à ceux qui peuvent se les payer. Par exemple, les assurances privées en santé ont montré leurs limites en créant des inégalités d’accès. Un système collectif, financé par les impôts, garantit une mutualisation des risques et une solidarité entre les citoyens, ce que les initiatives privées ne peuvent pas offrir.

8. L’impôt : une invention moderne qui étouffe l’individu

L’impôt n’est pas une contrainte, mais un contrat social. Il finance des biens communs essentiels (éducation, santé, infrastructures) qui profitent à tous, y compris aux plus riches. L’individualisme prôné ici ne tient pas compte des interdépendances au sein d’une société. La pandémie de COVID-19, par exemple, a montré à quel point un système public fort et solidaire est crucial pour protéger l’ensemble de la population.

9. L’État ne redistribue pas, il prend aux citoyens pour les manipuler

L’État redistribue pour réduire les inégalités et garantir la stabilité sociale. L’argument selon lequel il manipulerait les citoyens est un procès d’intention sans preuve. Les politiques sociales, loin d’être de simples outils de contrôle, permettent à des millions de personnes de vivre décemment, d’accéder aux soins ou de bénéficier d’une éducation gratuite.

10. Les services publics ne sont pas un droit inaliénable

Les services publics sont au cœur du contrat social et leur financement par l’impôt garantit l’égalité d’accès. Les privatiser ou les conditionner à des revenus personnels risque de marginaliser les plus vulnérables. Considérer ces services comme des “droits” n’est pas une faiblesse, mais un choix de société qui reflète des valeurs d’équité et de solidarité.



L’impôt n’est pas un mal en soi, mais un outil indispensable pour financer une société solidaire et égalitaire. Les critiques évoquées ici s’appuient souvent sur des arguments simplistes ou des exemples extrêmes. Au contraire, une fiscalité bien conçue et redistributive reste le meilleur moyen de garantir l’accès aux services publics, de soutenir les plus fragiles et de promouvoir un développement économique équilibré.


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barbabapat

01/01/2025 à 20h42