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Me too dentaire
27/04/2025 à 04h10
Mon dieu heureusement que les acteurs involontaires du regard oblique de Doisneau n'étaient pas dentistes, il y aurait eu une sacré pénurie à cette époque.
Et bien sûr le discours pathétique de Elgy qui a perdu toute testostérone et qui serait probablement incapable d'agir pour défendre physiquement une personne.
Ces quelques pages me font penser à cette horde de pleutres qui avait hurlé lors de la parution du texte sur la liberté d'importuner signé par Deneuve et d'autres vraies femmes féminines.
Désolé Pepere, je n'allais pas laisser le dernier mot ici à cette cohorte de sans couilles.
27/04/2025 à 06h40
enlaye écrivait:
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> Ah ? ça colle pas .
> Peu etre qu on ne nous dit pas tout .
Peut être qu'il était bon en PAC.
27/04/2025 à 08h12
wakrap écrivait:
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> Mon dieu heureusement que les acteurs involontaires du regard oblique de
> Doisneau n'étaient pas dentistes, il y aurait eu une sacré pénurie à cette
> époque.
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> Et bien sûr le discours pathétique de Elgy qui a perdu toute testostérone et qui
> serait probablement incapable d'agir pour défendre physiquement une personne.
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> Ces quelques pages me font penser à cette horde de pleutres qui avait hurlé lors
> de la parution du texte sur la liberté d'importuner signé par Deneuve et
> d'autres vraies femmes féminines.
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> Désolé Pepere, je n'allais pas laisser le dernier mot ici à cette cohorte de
> sans couilles.
Mon cher grand défenseur Tahitien de la liberté d'importuner,
Merci pour ce vibrant hommage à l'époque bénie où "regarder de travers" et "agresser" étaient considérés comme des nuances subtiles d'une même poésie de rue. Une photo n'équivaut pas à des attouchements, à de la pression psychologique ou des agressions sexuelles. Il est vrai que si l'on commence à associer l'art de la photo et l'enthousiasme du pelotage de métro, où va-t-on ?
Concernant ma prétendue perte de testostérone, je te rassure : je la garde en lieu sûr, bien au chaud, pour des choses passionnantes comme respecter autrui.
Associer violence physique et défense d'autrui est archaïque : on n'est pas dans une tribu guerrière du paléolithique.
Mais je comprends, dans certains milieux, avoir des neurones plutôt que des muscles est considéré comme un handicap.
Quant à ta référence émue à la "liberté d'importuner" : félicitations pour ce bel engagement. Il faudrait plutôt demander l'avis des femmes agressées, non ? Personne ne s'oppose à la séduction consentie. Même parmi ses signataires, plusieurs sont revenues sur ce texte en reconnaissant ses limites.
Faudrait-il qu'une tribune fasse texte de loi ?
Et merci d'avoir terminé ta tirade par "cohorte de sans couilles" : j'avoue que sans cette insulte brillante et nuancée, j'aurais presque cru lire un argument.Incapable d'aborder des sujets complexes autrement que par la violence ou l'injure.
27/04/2025 à 09h25
Ben perso après toutes ces pages j’ai pas changé d’avis.
Cette habitude prise dans les sociétés dites démocratiques de condamner médiatiquement et socialement un individu sur des on-dits et des témoignantes qui ne sont pas passés par l’analyse de la justice est tout simplement dégueulasse.
Tout aussi dégueulasse que de tripoter qui que ce soit sans consentement!!
C’est deux faces bien laides de l’humain. La perversité malsaine de la déviance sexuelle d’un côté et la perversité du plaisir pris à déverser sa haine sans attendre d’être totalement sûr de l’autre…
Quand je pense qu’il y a une dizaine d’année je me moquais des copains américains hommes qui refusaient de prendre l’ascenseur seuls avec une femme. On y vient maintenant aussi chez nous.
C’est des choses auxquelles je fais attention moi aussi aujourd’hui. Tu tombes sur une ou deux nanas qui t’ont dans le pif et décident de te plomber genre : à chaque fois qu’on prenait l’ascenseur avec bouboule on sentait qu’il nous regardait. Une fois il a même touché ma poitrine en appuyant sur le bouton.
J’aurai beau dire que c’est totalement faux, suffit de tomber sur une horde de casa et c’est la mort sociale et professionnelle… qu’importe être lavé de tous soupçons 3 ans plus tard, trop tard! drôle d’époque où la présomption d’innocence s’est transformée en présomption de culpabilité pour certaines affaires!