Cookie Consent byPrivacyPolicies.commétronidazole - Eugenol

métronidazole

Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

22/05/2005 à 18h13


Gingivalis d'Entamoeba , un microbe pathogène semblable au histolytica de E.

Marquez Bonner

Institut de parodontie international, Trois-Rivières, Québec, Canada.

La plaque dentaire peut être définie comme dépôt mou qui forme le biofilm adhérant à la surface de dent dans la cavité buccale. Periodontitis résulte d'une prolongation du processus inflammatoire lancé dans la gencive aux tissus périodontiques de support. Le malodor, le saignement, l'inflammation et le pus de bouche sont des symptômes caractéristiques, suivis de destruction d'os et de perte de dent. L'élimination des bactéries gramnégatives impliquées dans la maladie apparaît comme but difficile. Le succès est limité et la rechute est fréquente. Les études récentes indiquent que l'infection périodontique peut augmenter le risque pour certaines conditions telles que le mellitus de diabète, les maladies cardiovasculaires et la basse livraison de poids de naissance de pré-limite à la grossesse.

Les gingivalis d'Entamoeba est présent dans tous les cas de periodontitis actif. On l'a considéré en tant que commensal pendant un siècle, pourtant c'est l'organization la plus fréquente par rapport à la maladie. La microscopie de contraste de phase indique la cellule rouge et la phagocytose blanche de noyau de cellules. La grande formation de nidification et d'abcès sont également évidente dans la sulcature gingivale. La destruction d'os autour des dents affectées est le résultat de fin. La plupart des caractéristiques sont semblables au histolytica de E. de microbe pathogène : l'invasion de tissu par la sulcature d'épithélium de la gencive, adhérence et ferment le contact entre le parasite et visent des cellules pour la cytolyse pour se produire, l'étape cystique et de trophozoite, le processus d'excystation, le lobopodia saillant, le canal phagocytaire et l'uroid de remorquage, le phénomène couvrant, et la motilité active. La forme de Minuta, un précurseur de histolytica, semblent également être présente.

La destruction de tissu semble être le résultat de l'accumulation et du lysis suivant des leucocytes entourant les amobeas. La variabilité dans l'expression de son potentiel pathogène confond également. Quatre-vingt-dix pour cent des maladies périodontiques sont chroniques tandis que dix pour cent sont agressifs et accompagnés de destruction rapide d'os. L'absence des parasites a comme conséquence le gingivitis bénin sans destruction d'os, excepté la pression de calcul et promeut la récession de progrès. L'élimination des gingivalis de E. avec la surveillance méticuleuse de la microscopie de contraste de phase provoque curatif rapide et complet du periodontitis. Le succès à long terme exige la commande de la contamination de l'environnement, de la nourriture, de la transmission de famille, et de la commande périodique.

L'amibiase orale est une maladie fréquente car elle affecte réellement le tiers deux de la population humaine d'adulte. Les gingivalis de E. a la motilité forte et la capacité phagocytaire. Il est associé à la destruction d'os du maxillaire supérieur. Sa présence est constante dans la maladie périodontique. Les aspects épidémiologiques et pathologiques semblables au histolytica d'Entamoeba et dispar devraient exiger toute notre attention. Ce parasite agit dans la plupart des circonstances d'une mode semblable au histolytica de E. et devrait être considéré comme microbe pathogène invahissant


Abeille lzfkas - Eugenol
domi38

22/05/2005 à 18h59

Rhune a écrit:
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""je découvre dans un tableau de ce site que entamoeba gingivalis à des caractéristiques identiques à l'histolica"


C'est déjà la réflexion que je m'étais faite en cherchant un peu tout ce qui concerne les amibes avec Google. D'ailleurs quand on montre des photos d'E hystolitica à côté de lames contenant des E gingivalis, les patients sont carrément traumatisés. Je l'ai fait une ou deux fois et je pense que c'est un peu trop violent pour beaucoup de patients. Les autres amibes rencontrées dans l'organisme ont une "tête" différente. On serait presque tenté de penser que gingivalis et hystolitica sont la même chose dans un habitat différent.



"mon ignorance est grande et plus j'avance plus elle grandit."


On en est tous là! C'est à la fois fatiguant (et décourageant) et passionant.


phil

22/05/2005 à 21h29

moi j'ai des cas avec amibes sans parodontite ( forte gingivite )
moi j'ai des cas avec parodontites agressives sans amibes .

attention ce n'est parce qu'on la voit qu'elle est forcemment agressive !
attention les amibes intestinales ne semblent pas toutes pathogènes ...

il y a une forte suspicion pour penser que l'amibe a un potentiel pathogène et des facteurs de virulence mais elle n'est sans doute pas responsable de toutes les maladies paro et etablir un diagnostic et un plan de traitement sur simple observation des amibes au microscope est peut être hasardeux voire dangereux . Il existe vraissemblablement des parodontites à composantes bacteriennes ou virales sans que les amibes soient necessairement associées . Il existe des situations ou les 4 conditions de Charon ne sont pas reunies et ou les amibes ne creent pas de parodontites ( tout au plus des gingivites )
il existe peut être des situations ou les amibes sont les seuls pathogènes les bacteries etant peut être oppotunistes
il faut determiner ce qui la rend virulente ( conditions locales + terrain )

restons scientifiques dans l'approche car si bonner dit certaines choses elles ne sont pas démontrées . Il faut le verifier :
donc je vous propose :
- une recherche biblio ce qu'a commencé avec beaucoup d'intelligence Rhune sur les amibes et les amibiases et pas seulement entamoebia gingivalis . De cette recherche on peut faire une synthèse qui permettront de poser les conditions d'une experimentation .
- un travail en commun avec un ou plusieurs microbiologistes spécialistes des amibes et pas necessairement des amibes buccales pour donner disons une objectivité vis à vis des parodontistes qui refutent sans raison les observations de Bonner.
- un couplage de marquage systématique pour tous les cas rentrant dans l'étude par sonde PCR pour les 11 bacteries du groupe haffajee ( complexe rouge orange vert ) avec un marquage eventuel des amibes par PCR .( sans doute possible si cela n'a pas dejà eté fait )
cette etude systématique permettant de verifier que l'amibe n'est pas associée à certains autres parthogènes reconnus comme virulents .
si les resultats sont positifs aboutir à determiner quand et comment les amibes sont pathogènes pour mettre sur le marché un test par sonde PCR supplémentaire .

si l'implication de l'amibe n'est pas determinante personne ne pourra nous reprocher de ne pas avoir fait les demarches...

avez-vous des elements à rajouter ou des observations complémentaires à faire ...

les MP peuvent servir pourt une ebauche


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

23/05/2005 à 01h28

oui, peut-être que le sponsor sera edf car ils ont comme nous du fil a retordre avec les amibes.
Le cuivre, une solution ?stopcivaux.free.fr/amibes/167_Civaux1.html - 104k


Amibien

23/05/2005 à 15h33

Je viens de recevoir le livre "Précis de Bioélectronique selon L.C. Vincent" Par Raphaël Cannenoasse-Riffart & Jean-Marie Danze Collection Résurgence (ISBN 2-87211-013-5)

Je l'ai parcouru et cela fait peur ! vraiment très peur....

Je conseille vivement cet achat et la lecture approfondie de ce livre...


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

23/05/2005 à 15h45

mais non, mais non, pas de peur, une grande joie au contraire, tu ne veras plus les choses comme avant, c'est tout.


Amibien

23/05/2005 à 18h46

Rhune a écrit:
-------------------------------------------------------
> mais non, mais non, pas de peur, une grande joie
> au contraire, tu ne veras plus les choses comme
> avant, c'est tout.

Oui, tu as raison, mais ce qui fout la trouille c'est de constater que tout est fait apparemment pour que les gens tombent malades....





phil

23/05/2005 à 19h50

contact repris avec le labo ...etude PCR bacterio + amibes . Ils rappelent demain .Dès que j'ai des infos je vous fais passer les nouvelles .


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

23/05/2005 à 20h24

Grace à toi, nous avançons merci phil


phil

23/05/2005 à 21h30

il va falloir mettre au point des protocoles ...si vous avez des idées que je puisse transmettre ...


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

26/05/2005 à 00h23

le problème du protocole, vaste question.

savoir que nous avons tel ou tel type de bestioles, c'est surement très interessant, mais savoir s'en débarasser c'est mieux.

Je m'exlique : je rève de savoir les caractéristiques du milieu propice au développement des bactéries présentes.

Quel est-il quand nous avons des amibes ?
quel est-il quand nous avons une lambada de spirochètes ?
Quand il y a du pus ?

La bonne santé paro doit aussi avoir ses propres données et surement que le systéme immunitaire fonctionne mieux dans des coordonnées physiques déterminées.

la modification du milieu donne des résultats puisque nous faisons cela avec nos litho et laser.
Nous le faisons aussi par nos prescriptions métronidazole ou autre chose, he , homéo, champs magnétiques etc...

La modification du milieu donne des résultats, maintenant établir la bonne manière de modifier ce terrain pour revenir à la bonne santé, voilà surement un défi.

Je suis persuadé que lorsque nous aurons les réponses à ces questions, le traitement des parodontites sera grandement facilisé.
Le problème est que nous n'y connaissons pas grand chose de ce milieu puisque nous utilisons notre petite cuisine pour trouver une guérison transitoire en controlant régulièrement.

C'est je pense la question qu'il faut soulever au spécialiste de la bactério en leurs demandant de nous éclairer sur le terrain.


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

26/05/2005 à 00h52

Bonjour,

Pour faire suite à votre demande, je vous conseillerai d'aller sur Pub Med en passant par notre portail.
Il y a peu de publications récentes et la parodontiste que j'ai contactée à l'extérieur de l'Institut Pasteur m'a dit que ce micro organisme était inhabituel pour elle.
L'entamoebia gingivalis n'étant pas considéré comme pathogène je n'ai pas trouvé de document sur ce sujet.

http://www.pasteur.fr

puis clic sur "information scientifique" , ensuite "internet biomédical" et vous descendez avec "l'ascenseur" jusquà "Medline"

Bien cordialement




Micheline Terquem
Documentation/Médiathèque Scientifique
Institut Pasteur
25-28 rue du Docteur Roux
75015 Paris
Tel: 01 45 68 82 72
Fax: 01 45 68 82 74
e-mail: mterquem@pasteur


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

26/05/2005 à 01h07

Propolis extract as an adjuvant to periodontal treatment.

Gebaraa EC, Pustiglioni AN, de Lima LA, Mayer MP.

Department of Microbiology, Institute of Biomedical Sciences, University of Sao Paulo, Sao Paulo, Brazil. [email protected]

PURPOSE: The aim of this study was to evaluate the effect of subgingival irrigation with propolis extract by clinical and microbiological parameters. MATERIALS AND METHODS: Twenty patients diagnosed with chronic periodontitis presenting three non-adjacent teeth with deep pockets were selected. After scaling and root planing, the selected periodontal sites were submitted to one of the following treatments: irrigation with a hydro alcoholic solution of propolis extract twice/week for two weeks (group A); irrigation with a placebo twice/week for two weeks (group B); or no additional treatment (C). Subgingival plaque sampling and scaling and root planing were performed two weeks after clinical data recording. Two weeks later irrigation procedures were started (Baseline). Microbiological and clinical data were collected at baseline, and after 4, 6 and 24 weeks. RESULTS: A decrease in total viable counts of anaerobic bacteria (p=0.007), an increase in the proportion of sites with low levels (< or = 10(3) cfu/mL) of Porphyromonas gingivalis (p=0.005), and a decrease in the number of sites with detectable presence of yeasts (p=0.000) were observed in group A sites when compared to group B and C sites. Propolis treatment did not lead to an increase in organisms such as coagulase positive Staphylococci and Pseudomonas spp. 24 weeks after treatment there was an increased proportion of sites showing probing depth (PD) < or = 3 mm in Group A sites. CONCLUSION: Subgingival irrigation with propolis extract as an adjuvant to periodontal treatment was more effective than conventional treatment both by clinical and microbiological parameters.

PMID: 15643746 [PubMed - indexed for MEDLINE]

elles sont sympa les abeilles


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

26/05/2005 à 01h16

Gibson MT, Mangat D, Gagliano G, Wilson M, Fletcher J, Bulman J, Newman HN.

Department of Periodontology, Eastman Dental Hospital, London, UK.

A redox dye, methylene blue, was compared with subgingival root surface debridement and sterile water in the treatment of adult periodontitis. Plaque and gingival indices, bleeding on probing, and microbiological samples were obtained at baseline, and at 1, 4, 8 and 12 weeks following treatment. All subjects had matched pockets in each of the 4 quadrants, of 5 mm or more. One treatment consisted of 0.1% methylene blue gel irrigated professionally at 0, 1 and 4 weeks, and by subjects at days in between up to 4 weeks, at chosen sites within a randomly selected quadrant (split-mouth design). A 2nd treatment was sterile water irrigation as above. A 3rd quadrant received subgingival debridement, and sites in the 4th received methylene blue incorporated into a slow-release device of a biodegradable collagen alginate vicryl composite. All sites showed improvements in clinical and microbiological parameters. However, no statistically significant differences between treatment types were found for clinical measurements. Although plaque index tended to increase after week 1, gingival index was reduced, as was the papilla bleeding index. Probing depth reductions were approximately 1.2 mm for all treatments. Microbiological variables showed an increase in cocci and a decrease in motile organisms for all groups, the latter reaching statistical significance for subgingival debridement. The reductions in spirochaetes were significant for subgingival debridement and methylene blue by slow-release. Culture demonstrated an increase in the aerobe:anaerobe ratio for all groups, which was statistically significant initially (weeks 1 and 4) for subgingival debridement. Methylene blue was also effective statistically in improving this ratio, both by irrigation and slow-release (week 4). Methylene blue also significantly reduced the numbers of black-pigmented anaerobes during the trial period, both by irrigation and slow-release, which sterile water and subgingival debridement failed to do. No serious adverse experiences were seen, however, significantly greater morbidity was associated with subgingival debridement. These results clearly demonstrate that in altering the microflora to one that is more compatible with periodontal health, methylene blue treatment is comparable, or even better, than the currently standard treatment of subgingival debridement, and is better tolerated.


Audi tt 2007 jzsdts - Eugenol
sbire

26/05/2005 à 01h19

N'en jetes plus... pas l'temps là...

Salut Rhune.


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

26/05/2005 à 01h42

sbire regarde au moins celui là

[Experimental study on the pathogenesis of Entamoeba gingivalis]

[Article in Chinese]

Liu GY, Chen JF, Wen WR, Chen WL, Lin LQ, Hong H.

Department of Parasitology, Department of Clinical Microbiology, Laboratory of Electron Microscopy, Fujian Medical University, Fuzhou 350004.

OBJECTIVE: To study the pathogenesis of Entamoeba gingivalis (E. g.) and its relation to periodontal diseases. METHODS: Rats were treated with immuno-inhibitor for one week and the neck of incisor teeth of the rats was bound with steel wire. They were randomly divided into three groups: the first group was infected by E. g. in the periodontal tissue, the second group was infected by symbiotic bacteria (s. b.), and the third group was given physiological saline as control. Observation on the periodontal inflammation was made for each group of rats, and the purulent secretion from periodontal abscess was examined for living pathogens. RESULTS: The incidence of periodontal diseases in rats infected by E. g. was higher than that of symbiotic bacteria group and that of control (P < 0.05), the incidence of periodontal diseases in rats infected by s. b. was higher than that of control group (P < 0.05). Living pathogens were found in the abscess liquid. CONCLUSION: E. g. is an opportunistic pathogen, which, together with synergistic symbiotic bacteria, can cause periodontal diseases in hosts with low immunity.


phil

26/05/2005 à 01h47

Rhune tout a fait d'accord avec toi le fond du problème est de savoir pourquoi un individu ( une bacterie , un virus , un parasite ) devient pathogène et exprime ses facteurs de virulence et evidemment le milieu est sans doute determinant sachant qu'avec les amibes nous ne sommes pas dans les postulats de kohr ( orthographe ) peut être .
De même le retour à la santé est aussi j'en suis intimement persuadé est comme tu le soulignes lié à une modification de ce mileu pathogene
c'est non seulement interessant pour la guerison mais aussi pour la prevention puisque en evitant les modif du milieu on evite l'expression de la virulence ... tout cela on le sait mais il n'est pas facile de mettre en place des stratégies d'actions car il y a de nombreuses influences liées au PH par exemple mais à la competition bacterienne , la nature des biofilms , la reponse de l'hote composantes elles même en interaction avec les facteurs environnementaux ? En outre il existe differentes maladies donc peut être differents ecosystèmes et qui plus est vraissemblablement qui vaient selon les endroits de la bouche

je pense que si l'objectif du travail peut être ce que tu dis , il n'en demeure pas moins qu'il faut travailler sur plusieurs fronts et par etape .
donc pour les amibes:
-1 il faut faire un resumé bibliographique de ce qui est dit sachant que entamoebia gingivalis est plutôt considérée comme non patho a l'inverse d'histolycica. Pourquoi et sur quelle bases
- 2 revoir et comparer les differences entre histolycica et entamoebia gingivalis et voir les facteurs de virulence si c'est possible car l'agression caractérisée des PMN en direct par entamoebia gingiv se fait se poser des questions ,sachant aussi que dans certains cas il y a beaucoup d'amibes mais parfois seulement gingivite et pas forcemment parodontite ...qu'est ce qui fait que pour un patient ca casse et pas l'autre .. le mileu surement mais peut être la presence d'autres organismes
- 3 coupler le recherche des amibes avec la recherche des autres pathogènes connus...
- 4 voir l'influence du milieu sur l'expression de la pathogénicité et la peut être l'etendre aux bacteries et à la reponse immunitaire
- 5 developper un protocole de traitement et de prevention si necessaire

a chaque point un domaine de recherche

j'attend toujours le coup de fil du labo pour avoir les coordonnées du specialiste des amibes .......


phil

26/05/2005 à 01h51

l'article que tu cites sur EG je l'ai déjà lu ...on parle d'organisme opportuniste et de terrain deficient ... les 4 conditions de socransky ...on ne parle pas de pathogène au sens strict


Bya 80 80 kuagpy - Eugenol
Rhune

26/05/2005 à 02h21

il y a aussi le domaine électromagnétique.

Parasites et bactéries doivent bien émettre sur une fréquence qui leur est propre !
Si l'on trouve cette fréquence il suffit de l'inverser en phase pour les stopper.

Une bonne lecture à ce sujet: biologie de la lumière dr Fritz A.POPP resurgence.

Ensuite tu colles la fréquence sur un générateur de champs magétique et tu regardes les résultats.
çà marche déjà pour la régénération osseuse avec un champs magétique pulsé de fréquence 220 HZ je crois. Procédé TINY SCAN.


phil

26/05/2005 à 10h43

oui bien sur c'est ce que je disais il y a bien des domaines a etudier mail il ne pas trop s'eparpiller ....


Amibien

26/05/2005 à 14h01

phil a écrit:
-------------------------------------------------------
> oui bien sur c'est ce que je disais il y a bien
> des domaines a etudier mail il ne pas trop
> s'eparpiller ....

Franchement, cela ne doit pas être compliqué de s'intéresser à ce domaine... cela reste à vérifier...

Décidément Rhune nous donne du pain sur la planche...


phil

26/05/2005 à 14h20

oui il y a du pain sur la planche ! et justement il faut trouver des personnes competentes dans ces domaines et la c'est souvent plus complexe car nous sommes des cliniciens avant tout . Le dire c'est bien mais le faire c'est mieux !
j'ai rappelé ce matin pour l'étude .. j'ai un numero de telephone pour quelqu'un qui connait très bien les amibes et j'appelle dès que possible . Je vous tiens au courant .

Rhune je te promets je parle de tout ce que tu as dit


Amibien

27/05/2005 à 14h40

phil a écrit:
-------------------------------------------------------
. Le dire
> c'est bien mais le faire c'est mieux !

et entre dire et faire, il y a la mer...


phil

27/05/2005 à 15h18

que dire l'ocean et ses grandes profondeurs , recifs et ecueils mais aussi mondes nouveaux !


Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

27/05/2005 à 17h01

Et nos copains les tricho, y font quoi, au juste?

Aïe Aïe je m'ai vendu... je sais pas ce que font ces bestioles à part fureter avec leurs antennes....