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Revue de presse
01/06/2015 à 16h03
"Nous ne voulons pas d'une médecine de la surveillance" (Marisol Touraine) 13:58
PARIS, 1er juin 2015 (APM) - La ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, Marisol Touraine, a exprimé lundi son "attachement" à la liberté et à l'autonomie des malades, assurant qu'"il s'agit de favoriser l'observance" et "non pas de la contraindre" ou de s'orienter vers "une médecine de la surveillance".
Remarque : une "conférence-interview" intéressante !
L'IGAS doit faire un rapport sur ce thème et faire des propositions visant la pertinence de l'évolution des prises en charge des traitements.
"Encore faut-il que les pratiques au quotidien évoluent. Et c'est probablement l'une des difficultés les plus fortes que de faire tomber les citadelles des habitudes et des traditions culturelles". Il faut aller vers une démarche participative.
Il ne s'agit pas de "contraindre" mais de faire reculer la mauvaise observance et ses conséquences parfois graves et importantes au niveau sanitaire et financier. Il faut inventer une voie de citoyenneté sanitaire.
Remarque 2 : C'est une suite d'une brouille avec des associations de patients qui ont fait sauter un texte de la sécu sur les prises en charge de l'apnée du sommeil : chaque patient choisit le traitement qu'il veut, et la sécu doit tout rembourser, même le traitement dépassé fonctionnant mal. Chaque patient a sa propre idée, a sa propre volonté de gérer sa maladie et son soin. La sécu n'aurait plus le droit de guider les soins et la pertinence d'un soin, et son remboursement.
On souhaite la liberté et l'autonomie personnelle, mais le financement vient du cadre collectif.
Le ministre souhaite conserver la liberté personnelle... si la personne a conscience du cadre collectif, et des conséquences de toute décision personnelle car il existe des conséquences personnelles et des conséquences collectives.
01/06/2015 à 16h14
ameli écrivait:
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Il faut aller vers une démarche
> participative.
Le toubib de ma belle mère ( elle s'est fait bouler 3 fois des urgences alors qu'elle faisait un AVC) lui a dit que des cas comme ca ( patients atteints de pathologies graves boulés aux urgences) il en voyait 2 par semaine.
Le système s'effondre et tu nous parles de "démarche participative" ? -)))))
01/06/2015 à 16h16
Soignants : savoir se passer le relais dans l'intérêt du patient
Réaliser correctement un geste technique c'est aussi penser que l'on n'exerce pas seul, et qu'en cas d'échec, un autre soignant réussira le geste.
Savoir ou oser passer la main n'est pas une simple affaire de délégation de tâches. C'est, pour chaque situation clinique, avoir en tête qu'un autre soignant fera peut-être mieux ce que l'on n'est pas en capacité de faire correctement à un moment donné. C'est intégrer la dimension pluriprofessionnelle et collective des soins dans sa pratique quotidienne, pour en faire bénéficier les patients.
revue "Prescrire".
02/06/2015 à 09h23
Pour info :
Arthrose : il n'existe pas de médicament modifiant l'évolution de l'arthrose.
Divers médicaments dits "antiarthrosiques" sont commercialisés en France. Mais ils n'ont pas d'action démontrée ni sur les symptômes ni sur l'évolution de l'arthrose, alors qu'ils exposent à des effets indésirables.
Ils sont à base de chondroïtine (Chondrosulf° ou autre), de diacéréine (Art 50° ou autre), de glucosamine (Voltaflex° ou autre), ou d'insaponifiables d'avocat et de soja (Piasclédine°).
Depuis mars 2015, ces médicaments ne sont plus remboursables. En pratique, ces substances ne sont pas utiles pour les patients. Il n'y a pas grand-chose à en attendre au-delà d'un effet placebo.
Quand il s'agit de soulager les douleurs de l'arthrose, d'autres options sont à choisir, quand un médicament par voie orale paraît souhaitable : le paracétamol en première ligne, et certains anti-inflammatoires non stéroïdiens tel l'ibuprofène (Brufen° ou autre) ou le naproxène (Naprosyne° ou autre). Ils ont une efficacité démontrée au-delà d'un effet placebo et un profil d'effets indésirables acceptable à condition de maîtriser leur posologie.
(idem : revue "prescrire")
02/06/2015 à 09h50
chicot29 écrivait:
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> Le système s'effondre et tu nous parles de "démarche participative" ? -)))))
A vrai dire, ce n'est pas moi qui en parle, c'est le ministère !
Mais la question aborde un sujet sociologique réel. Le ministère a raison.
Une société, c'est un système, une nation, une somme d'individus. Si chaque individu ne cherche qu'à s'occuper de sa propre volonté et son propre bonheur, comment conserver un système qui repose sur une volonté collective ? et comment conserver des liens sociaux ?
Et on peut aller plus loin : pourquoi le système s'effondre-t-il ?
Si on privilégie l'intérêt personnel et le choix personnel sans accorder d'importance à l'intérêt de son voisin ou à l'intérêt collectif, y a-t-il encore un état, une nation, une société, une sécurité sanitaire ?
Si les médecins libéraux sont davantage intéressés par leurs revenus et leurs loisirs et n'assument plus les urgences dominicales ou nocturnes, sont ils encore médecins ?
Si le système s'effondre, c'est parce l'individualisme a avalé la liberté personnelle et a oublié la liberté des autres.
02/06/2015 à 10h43
Tiers payant: création de l'association commune des complémentaires 18:00
PARIS, 1er juin 2015 (APM) - Les principaux représentants des trois familles de complémentaires santé (CTIP, FFSA et FNMF) ont annoncé lundi la création de l'association chargée de piloter leur future plateforme de tiers payant.
Remarque : les premiers tests auront lieu en fin d'année, avec pour but de bonifier le 1/3 payant au maximum pour qu'il soit opérationnel dès son installation chez les professionnels à la date décidée.
A noter que ce groupe des "3 familles" ne voulait pas d'une plateforme commune, mais la construit tout de même... en espérant conserver une souplesse. Le texte sera rendu archi-définitif par un vote politique en automne.
Enfin, les professionnels de santé seront, selon cette "association", les véritables décideurs et constructeurs de cette plateforme : les 3 familles accepteront tous les choix des professionnels de santé.
02/06/2015 à 10h57
Le nombre de pharmaciens est resté quasi-stable en 2014 10:05
PARIS, 2 juin 2015 (APM) - Le nombre de pharmaciens exerçant en France est resté quasi-stable en 2014, une année marquée par le vieillissement continu de la population, une progression du niveau d'"évaporation" des jeunes diplômés et une concentration des structures d'exercice, montre le recensement annuel publié mardi par l'ordre des pharmaciens.
02/06/2015 à 12h04
ameli écrivait:
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> Si les médecins libéraux sont davantage intéressés par leurs revenus et leurs
> loisirs et n'assument plus les urgences dominicales ou nocturnes, sont ils
> encore médecins ?
Les ARS ont interdit les urgences de nuits aux libéraux dans pas mal de zones et pour ce qui est du dimanche, ni les urgences avec le 15, ni les patients vont chez les libéraux.
Un petit rappel, les service d'urgences à 250 euros la passe qui font plus de 80% de soins de ville sont à peine à l'équilibre financier dans la plupart des hôpitaux. Leur retirer des patients est inacceptable pour eux car cela reviendrait à fermer ces services si ils devaient perdre leur fond de commerce.
02/06/2015 à 14h40
http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2015/05/cir_39646.pdf
La DSS publie une circulaire de synthèse sur l'attribution des indemnités journalières pour maladie 12:27
PARIS, 2 juin 2015 (APM) - Une circulaire de synthèse de la direction de la sécurité sociale (DSS) sur les modalités d'attribution des indemnités journalières pour maladie a été mise en ligne lundi soir sur le site circulaire.legifrance.gouv.fr.
Remarque : cette circulaire est une mise à jour nécessaire car ces attributions ont beaucoup changé ces dernières années, à cause de modifications réglementaires et surtout à cause de jurisprudences successives qui rendaient le texte illisible !
02/06/2015 à 14h46
http://www.arretsurimages.net/breves/2015-06-02/Capital-M6-protege-bien-ses-clients-id18958
"......
Capital : M6 protège bien ses clients
Par la rédaction le 02/06/2015 - 12h57 - vu
On l'avait compris, mais c'est désormais officiel. Invité du Supplément de Canal+ dimanche 31 mai, le patron de M6, Nicolas de Tavernost, a confirmé que les magazines de la chaîne, dont Capital, n'avaient pas une totale liberté éditoriale : "Je ne peux pas supporter qu’on dise du mal de nos clients". Un sujet sur le mobile était notamment passé à la trappe en 2012.
Au moins, les journalistes qui s'apprêtent à passer un entretien d'embauche pour travailler sur M6 sont prévenus : l'indépendance éditoriale est à géométrie variable. Sur le plateau du Supplément de Maïtena Biraben, Nicolas de Tavernost a été très direct : "Je ne peux pas supporter qu’on dise du mal de nos clients". Et le patron de M6 d'expliquer : "A un moment donné, l'émission Capital a fait une émission sur la téléphonie. Or, nous, nous sommes partie prenante puisque nous faisons M6 Mobile avec Orange…" Conclusion : soit M6 faisait un sujet favorable à Orange, donc forcément suspect, soit une émission à charge, et Tavernost n'en voulait pas pour ne pas "se fâcher" avec un client. Le sujet n'a donc jamais été diffusé :
Tavernost fait référence à une enquête sur Free Mobile de septembre 2012 qui n'a jamais été diffusée sur M6 (@si vous en parlait ici). A l'époque, on soupçonnait Xavier Niel, le patron de Free, d'être intervenu auprès de la direction de M6. Dans les couloirs de la chaîne, il se murmurait que l'enquête était à charge contre l'opérateur. Niel avait démenti toute intervention, et M6 avait invoqué un "problème éthique", voire "déontologique" étant donné qu'elle était partie prenante du secteur du mobile. Alors pourquoi avoir commandé ce sujet ? Sur Europe 1, le responsable du magazine Capital à M6, Vincent Régnier, reconnaissait avoir "fait une mauvaise interprétation de la position de l'entreprise". En clair, Tavernost ne voulait pas du sujet. Une position d'autant plus étonnante que quelques mois plus tôt, l'émission 100% Mag (M6) avait consacré un reportage aux forfaits de téléphonie mobile low cost.
..........."
02/06/2015 à 15h10
L'ordre des pharmaciens mise sur une facilitation des transferts d'officines grâce au projet de loi de santé 14:28
PARIS, 2 juin 2015 (APM) - Le projet de loi "de modernisation de notre système de santé" va faire évoluer l'exercice et la mobilité officinale, notamment en facilitant les conditions de transferts et de regroupements, a indiqué mardi lors d'une conférence de presse la présidente du Conseil national de l'ordre des pharmaciens (Cnop), Isabelle Adenot.
Remarque : à noter que les professionnels de santé commencent à regarder cette loi à la loupe, et commencent à voir les effets positifs.
1 pharmacie sur 6 est liée contractuellement et financièrement avec une autre pharmacie. Le nombre de pharmacies en SEL augmentent de 9% en un an. Le nombre global de pharmacies est correct (nombre moyen de patients par pharmacie en légère hausse), bien réparties sur le territoire, mais certaines ferment... et d'autres se déplacent ou s'allient avec d'autres. C'est dans le monde rural que les alliances sont les plus nombreuses et où les déménagements augmentent (mais le nombre ne bouge pas).
02/06/2015 à 15h11
http://www.argusdelassurance.com/acteurs/optique-pourquoi-la-justice-a-condamne-optic-2000.88879
avec un petit rappel,
http://www.acuite.fr/actualite/profession/11537/ppl-le-roux-pour-optic-2000-la-constitution-des-mutuelles-en-reseaux-est
"C'est historique, Optic 2000, depuis de nombreuses années s'est positionné en partenaire des complémentaires santé. Elle a mis en place, à ce jour, plus de 400 conventions de partenariat négociées et une forte représentation dans les réseaux agréés. Pour ces raisons, il apparait à l'enseigne que la possibilité offerte aux mutuelles de constituer des réseaux de soins est légitime.
.........."
02/06/2015 à 15h36
ameli écrivait:
---------------
> Enfin, les professionnels de santé seront, selon cette "association", les
> véritables décideurs et constructeurs de cette plateforme : les 3 familles
> accepteront tous les choix des professionnels de santé.
Bin voyons, qui pourrait en douter ?
03/06/2015 à 13h48
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/06/03/97002-20150603FILWWW00173-sante-la-cmu-c-doit-etre-plus-controlee.php
"pour autant, si la CMU-C et l'ACS répondent à une sorte de "constat d'échec" de la couverture de la Sécu, les dispositifs doivent montrer une "transparence de diamant" car ils sont financés par les assurés sociaux. Sous l'effet du relèvements successifs des plafonds de ressources, le nombre de ses bénéficiaires a gonflé (5,2 millions pour la CMU-C, 1,2 pour l'ACS) et les perspectives financières du fond CMU se dégradent avec, à situation inchangée, un possible déficit vers 2017-2018, s'alarme la Cour. Et si tous les éligibles faisaient valoir leurs droits entre 1,2 et 2 milliards devraient être mobilisés, selon M. Durrleman.
"La question de la légitimité est aussi essentielle que la question de la soutenabilité", dit-il.
03/06/2015 à 14h42
Deux-Sèvres: une nouvelle maison de santé à Moncoutant
L'établissement d'une superficie de 680 mètres carrés accueille 14 professionnels de santé, dont quatre généralistes, deux dentistes, deux sages-femmes et deux infirmières, mais aussi un ostéopathe, un psychologue et un neuropsychologue.
Celles de Nueil-les-Aubiers et de Cerizay, également montées sous l'égide de l'agglomération, devraient ouvrir leurs portes dans le courant de l'année.
03/06/2015 à 15h07
Vaccins: la Spilf répond point par point à la pétition alarmiste du Pr Joyeux 13:09
PARIS, 3 juin 2015 (APM) - La Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf) a répondu point par point aux arguments développés par le Pr Henri Joyeux dans une pétition alarmiste énumérant les dangers supposés du vaccin hexavalent Infanrix* Hexa (GlaxoSmithKline), dans un communiqué de presse diffusé mercredi.
L'auteur utilise comme argument une suite d'inexactitudes voire de contre-vérités scientifiques qui joue de façon indigne sur les interrogations et les émotions des parents de nourrissons. (texte extrait du communiqué de presse)
Remarque :
Le Pf Joyeux était parti à la charge et attire les non-connaisseurs naïfs, et les spécialistes répliquent durement. Le problème pour Joyeux, c'est que la science, la pharmacie et la médecine lui donnent tort... et que son image qu'on oublie provisoirement est mauvaise.
En effet, au prochain coup de semonce de Joyeux, ça va être particulièrement méchant, car on ressortira son passé religieux très marqué par sa lutte contre l'avortement et contre la contraception. Il peut admettre la pilule, sous réserve, si son usage ne dépasse pas 2 ans ! ... bref, il est devenu un moraliste catholique qui oublie la science. Dieu décide, et pas les toubibs.
A noter que lors d'une conférence de presse de la ministre, ce sujet religieux avait été plus ou moins évité, mais avait été poliment abordé.
04/06/2015 à 09h23
Indemnités journalières: la Cnamts envisage un plan d'actions pour maîtriser leur progression 17:12
PARIS, 3 juin 2015 (APM) - La Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts) envisage un plan d'actions structuré en trois axes pour maîtriser la progression des dépenses d'indemnités journalières (IJ), selon une note qui sera examinée jeudi par son conseil
Remarque : Il y a des "prescripteurs" d'IJ plus importants. Les 3 axes sont :
- amélioration de la pertinence de la prescription (vérification de sa nécessité par les médecins conseil et entretien avec le prescripteur)
- optimisation de la gestion des IJ par les Caisses (repérage amélioré)
- programmation d'une série d'actions avec les entreprises (?)
Des fiches-repères à destination des médecins et des recommandations sont en cours d'écriture à l'HAS. Elles serviront de base de travail.
04/06/2015 à 09h24
Les fumeuses, même passives, ont besoin de plus grandes quantités d'anesthésiques 19:16
BERLIN, 3 juin 2015 (APM) - Les fumeuses, mais aussi les femmes exposées au tabagisme passif, nécessitent une plus grande quantité d'anesthésiques et d'antalgiques pour atteindre le même niveau d'anesthésie que les non-fumeurs, selon une étude turque présentée mardi au congrès Euroanaesthesia à Berlin.
04/06/2015 à 09h27
Comparer le taux de port de bijoux des soignants selon les services permet de réduire significativement cette pratique à risque 09:00
TOURS, 4 juin 2015 (APM) - Comparer le taux de port de bijoux des soignants entre services permet de réduire efficacement cette pratique à risque dans les établissements de santé, selon une expérience menée en Basse-Normandie et rapportée sur poster lors du 26ème congrès de la Société française d'hygiène hospitalière (SF2H).
Remarque et évidence : le port de bijoux est une pratique à risque.
04/06/2015 à 09h57
Le risque de Clostridium difficile directement lié aux céphalosporines de troisième génération (étude française) 09:00
TOURS, 4 juin 2015 (APM) - Le risque d'infection par la bactérie intestinale Clostridium difficile était directement lié à la consommation des antibiotiques de la famille des céphalosporines de troisième génération, dans une étude du CHU de Caen.
Remarque : sont visés : la clindamycine, les macrolides, l'amoxicilline+acide clavunique, et les fluoroquinolone.
Piste de travail : une meilleur maîtrise de l'utilisation des antibiotiques, et une surveillance pour éviter des transmissions.
A noter que les victimes les plus nombreuses sont statistiquement les patients agés de plus de 65 ans...
04/06/2015 à 13h59
Un tiers des cabinets dentaires refuseraient de soigner les patients séropositifs (association Aides) 11:51
PARIS, 4 juin 2015 (APM) - Environ un tiers des cabinets dentaires opposeraient un refus direct ou déguisé de soigner des patients séropositifs, selon une opération de "testing" effectuée par l'association Aides dont les résultats ont été publiés jeudi.
04/06/2015 à 14h06
ameli écrivait:
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> Un tiers des cabinets dentaires refuseraient de soigner les patients
> séropositifs (association Aides) 11:51
> PARIS, 4 juin 2015 (APM) - Environ un tiers des cabinets dentaires opposeraient
> un refus direct ou déguisé de soigner des patients séropositifs, selon une
> opération de "testing" effectuée par l'association Aides dont les résultats ont
> été publiés jeudi.
>
citation de ouest france : "Pour les besoins de l'enquête, l'association a testé 440 praticiens (1). Ainsi, des militants d'Aides ont demandé, par téléphone, des rendez-vous pour un détartrage ou un frottis en déclarant qu'ils étaient séropositifs. "
Pas la peine de dire qu'on est séropositif, moi je refuse 100 % des gens qui veulent un frottis.
ça sent le sérieux ces articles
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"araignée du gratin, machin"
05/06/2015 à 09h33
Ah ah, merveilleux le protocole du testing.
Il y a un gros biais de confusion: le refus de soins n'est pas associé à la séropositivité des patients, mais à la pathologie psychiatrique qu'ont supposée les praticiens à l'écoute de leurs demandes.
La conclusion est donc fausse.
Ils auraient dit "bonjour, je veux un rendez-vous et j'ai une voiture bleue", le résultat aurait été similaire.
05/06/2015 à 09h43
http://www.ticsante.com/story.php?story=2416&ustory=3eAyhkQHj4XfdFWUI_NH9Q..
à propos des DCI, obligatoires depuis le début de l'année, et peu appliquées... Je pense que le ton va monter.