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Binhas ou Brassard ou ......autres???
21/11/2010 à 10h16
J'envisage de faire une formation de communication et besoin de conseils ,quelle formation
vous a aidé??MERCI
--
cile
21/11/2010 à 10h39
Bonjour,
Si tu cherches une réponse particulière,
Je suis disponible, joignable en mp.
Sinon Binhas, c'est très bien, très efficace, tu as juste à lire les fiches, appliquer les fiches, suivre les fiches et les conseils qui te seront dispensés selon ses observations générales et beaucoup de confrères en sont satisfaits.
Bonne journée.
21/11/2010 à 19h19
grinchodonte écrivait:
----------------------
> Pour une excellente formation, il y a Pascal Binchard.
...je pourrais avoir les coordonnées de cette formation ...merci
--
>
--
cile
21/11/2010 à 21h42
grinchodonte écrivait:
----------------------
> Salut Ngcile
> Pour une excellente formation, il y a Pascal Binchard.
> Depuis que je l'ai faite, j'ai triplé mon chiffre d'affaire,je travaille enfin
> avec plaisir et ma femme et mes deux maitresses sont comblées.
> J'envisage de prendre ma retraite à 55 ans.
> Ne pas hésiter....
Vraiment une excellente formation, tellement que moi je suis déjà à la retraite ( 30 ans) et j'ai une maitresse de plus que toi.
21/11/2010 à 21h47
ngcile1 écrivait:
-----------------
> grinchodonte écrivait:
> ----------------------
>
> > Pour une excellente formation, il y a Pascal Binchard.
>
>
> ...je pourrais avoir les coordonnées de cette formation ...merci
> --
> >
>
> --
> cile
Evitez les taquineries les garçons...
Pascal Binchard = Pascal Steichen+Binhas+Brassard
22/11/2010 à 10h20
Damned! Pascal Binchard est dévoilé!
Bon, sérieusement, j'ai fait une formation avec Binhas et c'est pas mal du tout. On garde une certaine éthique.
Pour les autres, n'ayant pas assisté à leur formation, je ne peux pas me prononcer mais j'avoue avoir quelques réticences lorsque je lis l'indépendentaire.
22/11/2010 à 12h21
Pfffffffffffffffttttttttttttttttt ces garcons
Merci Modo ,oui j'avoue j'ai pas vu celle la LOL
--
cile
23/11/2010 à 07h16
ngcile1 écrivait:
-----------------
> J'envisage de faire une formation de communication et besoin de conseils
> ,quelle formation
>
> vous a aidé??MERCI
>
> --
> une bonne ecole de commerce ....
02/01/2011 à 19h43
d'après les avis pris auprès de plusieurs confrères,la formation de Binhas est très chère par rapport aux connaissances enseignées
02/01/2011 à 19h48
que pensez vous de ce qui est "suggéré" par la revue Indépendentaire dans ses rubriques?
avez vous le sentiment qu'on peut trouver des informations plus intéressantes sur le management en général dans les revues en vente dans le commerce?
02/01/2011 à 20h11
mire écrivait:
--------------
> que pensez vous de ce qui est "suggéré" par la revue Indépendentaire dans ses
> rubriques?
>
> avez vous le sentiment qu'on peut trouver des informations plus intéressantes
> sur le management en général dans les revues en vente dans le commerce?
Mire , t'es en pleine dépression !
Le pédant dentaire c'est de la m*rde en branche . Un torchon à peine bon pour te faire croire qu'il y a des confrères qui gagnent x ou Y kilos euros en bossant 2 demi-journées , ayant 4 assistantes , prenant 4 mois de vacances par an , avec un taux horaire à faire se suicider Bill Gates .
Ca fait b*nder l'abruti de service qui se fait prendre en photo , en manque de reconnaissance professionnelle , plus la quiquette est petite , et plus la voiture est grosse ...
Tu es dentiste , pas représentant , encore moins manager , et tu vas finir par nous faire un site à la c*n où tu indiqueras que tu fais des composites , des détartrages , etc , etc .
La réponse est non à tout .
Bisous.
02/01/2011 à 20h20
alapex, je ne suis pas du tout d'accord avec toi. Il y a aussi des consoeurs qui se font prendre en photo dans leur cabinet du mois.
24/06/2011 à 15h03
Je suis allé hier à une soirée Steichen sponsorisée par Arseus.
je fais un résumé de la soirée :
Mettre en évidence les différents aspects de l'activité dentaire qui font que tu gagnes plus ou moins.
Topo sur l'offre de soins :
1650 "vieux" confrères quittent le circuit chaque année remplacés par 950 nouveaux arrivants.
Parmi les nouveaux 60% de nouvelles dont la moitié s'arrêtera de bosser en dentaire (maternité, réorientation). Assez élevé comme chiffre (à vérifier).
Les anciens faisaient 2200 heures annuelles, les nouveaux 1300, génération travail des fifties et génération glande, euh, bien-être.
Donc cela fait au final 650 entrants pour 1650 sortants qui travaillaient plus.
Topo sur la demande :
La population croît, l'indice CAO baisse mais le niveau d'exigence est plus élevé.
Ratio offre-demande :
Hormis les Paris intra-muros et les Niçois, ce n'est pas nécessairement parce qu'on est bon qu'on a le carnet blindé mais parce qu'il y a un déficit dans l'offre de soins.
On le savait déjà mais poser les chiffres c'est mieux.
Rentabilité :
CA moyen national : 220k€, 300 pour les praticiens IDF, on en arrive à 150€/h.
Répartition du CA horaire d'un même praticien de disons 700€/h lorsqu'il fait un bridge à 60 s'il fait deux détartrages ou soins équivalents.
La productivité baisse si on fait des heures supp pour des raisons de fatigue et de pénibilité.
Elle augmente si on fait des séances longues :
Le temps de travail productif donc en bouche représente 30% de notre temps de travail.
Les 70% perdus le sont en recherche de matériel, ouverture de tiroirs, bonjour, comment va votre dent, votre chien, la carte Vitale, rentrer les infos sur l'ordi, faire payer, faire des anesthésies (c'est en bouche, nécessaire mais non productif si on doit en refaire lors d'un autre rendez-vous pour le même secteur).
Donc il faut augmenter à deux-trois heures les séances car on économise du temps. Ex: 10 rdv avec 10 min de perdus à chaque fois ça fait 1h40 chaque jour. 3 rdv plus longs avec 10 min de perdus, ça fait une demi-heure chaque jour.
Chiffrage des soins en bouche :
Il y a 4 à 5000€ de soins dentaires en moyenne par personne.
Ce chiffre baisse à 2500 pour un Cmu.
Il ne s'agit pas d'en mettre pour tout ça dans la bouche mais de faire tout ce qui est nécessaire comme si on soignait une personne de sa famille, on va tout lui remettre au propre.
Plusieurs soins permettront de mettre en place un groupage d'actes qui fera économiser du temps non productif.
La peur pour le dentiste de présenter de gros devis :
Notre principal frein est psychologique.
Les € à faire sortir, soit le bonhomme les dépense dans sa bouche soit il le fait pour sa caisse, son canapé, etc.
On en revient à l'aspect "mauvais vendeur" du dentiste qui valorisera moins son travail pourtant plus essentiel pour la personne prise en charge que le vendeur de bagnoles
Or il y a un paradoxe car nous sommes dans une société qui valorise le paraître et le bien-être et que nous sommes au croisement des chemins.
Donc à nous de savoir si notre boulot vaut mieux que l'option cuir étendu de la dernière Mégane au mazout ou pas et de rendre attractif ce qui est essentiel à l'individu : sa santé.
Il faut ôter cette barrière de faire des petits soins non rentables pour favoriser la réhabilitation complète, la fameuse approche globale.
Que faire de ceux qui ne veulent pas suivre le devis global ?
Doit-on s'accommoder avec les patients en leur faisant les (petits) soins qu'ils veulent faire ? Faut-il faire le chien ?
Steichen prend l'analogie de l'ostéopathe auquel on n'aurait pas idée de demander de faire son boulot de telle manière et non de telle autre. Il s'agit pourtant de l'attitude qu'on adopte quotidiennement. On fait plaisir. Rend-on service si on commence des endos qui ne seront pas couronnées ? Rend-on un réel service si on ne fait que ce que le patient est prêt à faire ?
On se trouve à mon avis au carrefour d'intérêts contradictoires : notre activité de soignant doit-elle s'adapter au patient (ce qu'on fait tous) ou est-ce au patient de s'adapter ?
Or dans un cas le patient gagne provisoirement financièrement mais au niveau médical ce n'est pas sûr mais le praticien ne peut plus mettre en place une stratégie visant à optimiser son temps par le biais de rendez-vous longs.
Comment est mise en place ce traitement global ?
Par une proposition de devis global avec acompte.
Le refus de ce devis est compensé par la charge de travail supplémentaire représentée par les devis globaux acceptés.
Devis présenté, signé et payé non par vous mais par une personne dédiée qui va "vendre" le bout de gras, pas forcément l'assistante dentaire d'ailleurs, selon lui trop formatée social et médical, mais par une commerciale (le Rubicon est franchi), prédatrice aux crocs aigüs, et qui saura expliquer au patient.
Aparté : on ne sait pas expliquer au patient les plans de traitement aux patients qui n'ont pas notre bagage technique. Ma femme qui m'aide au cab' me le répète à chaque fois. On croit qu'on a tout expliqué, c'est ce qu'on a fait, mais en face le type il enregistre : douleurs, sourire, bonne mastication, etc, des choses simples en somme. Ce qu'on lui dit ce n'est pas qu'il s'en tape, mais il y pige 15%.
Comment éviter une défection bien plus pénible quand on a réservé 3 heures ?
On la limite avec l'acompte, le rappel systématique la veille et ne donner qu'un rendez-vous à la fois.
Va-t-on épuiser le pool de patients susceptibles de répondre favorablement ou ces patients satisfaits on l'espère vont-ils en faire venir d'autres convertis à cette nouvelle façon de procéder ?
Les techniques d'organisation : tubs, 4 mains
Je suis fort curieux de ces "techniques" Binhas & co et espère vous avoir fait un compte-rendu de la soirée qui vous aura dévoilé le "côté obscur" de la dentisterie version Steichen.
24/06/2011 à 15h28
IL n'y a rien d'obscur là de dans: pour l'ensemble tous les coach defoncent des portes ouvertes. C'est nos habitudes et nos craintes qui ferment ses portes. Nos limitations aussi: on ne " vend " pas qqchose qu'on ne sait pas faire. et on vend mal une dentisterie qu'on fait mal. Donc si nos endos sont des bouses, on aura du mal a tranquillement demandé des sommes qui nous semblent importantes.
Si tu penses ( à tort ou à raison ) que tu fais bien ton metier en general ça te pose moins de PB de demander de l'argent pour ça.
pour le reste ( un seul RV/RV longs ce sont des evidences organisationelles renforcéees par le tarif dessoins ) .
et si dans ta pratique, ton bilan n'est pas tout ce qui t'interesse; je ne vois pas pourquoi tu devrais virer un patient qui te dis " là, non, je peux pas " Tu fais ce qu'il peux . Un stellite fait correctement c'est mieux que pas de dents.
Pour le reste, soigne ton acceuil en terme de deco comme de rapports humains.
Tu viens d'economiser 16 000 Euros. Bon WE ;)
24/06/2011 à 15h36
CQFD Hallboy .
PS: J'aime quand des non professionnels , (oui oui Binhas est dentiste je sais , mais les autres , les autres et ceux qu'il emploie?) se mêlent de connaitre , savoir et enseigner à des professionnels . Ça m'éclate toujours autant .
En marge de ça , un jour il faudra faire des stages pour s'occuper de nos femmes et le reste , va savoir .
24/06/2011 à 15h45
J'ai fait le calcul des gains des consultants : ça, c'est de la productivité !
Steichen a affirmé hier approcher les 1000 praticiens coachés.
À 100.000 balles (désolé les jeunes) l'unité, ça fait 100 millions, ok, 15 millions d'euros pour 20 ans d'exercice, soit 700k€/an. Remarquez que je ne suis pas envieux (si, un peu quand même) mais que je trouve ça très bien si il aide des prats à renflouer le navire.
Quand je faisais une recherche de cabinets, j'ai constaté que tous ceux qui faisaient plus de 250k€ étaient passés par ces types de formations.
24/06/2011 à 16h01
Arnaud Go écrivait:
-------------------
> Je suis allé hier à une soirée Steichen sponsorisée par Arseus.
>
> je fais un résumé de la soirée :
> Mettre en évidence les différents aspects de l'activité dentaire qui font que tu
> gagnes plus ou moins.
>
> Topo sur l'offre de soins :
> 1650 "vieux" confrères quittent le circuit chaque année remplacés par 950
> nouveaux arrivants.
> Parmi les nouveaux 60% de nouvelles dont la moitié s'arrêtera de bosser en
> dentaire (maternité, réorientation). Assez élevé comme chiffre (à vérifier).
> Les anciens faisaient 2200 heures annuelles, les nouveaux 1300, génération
> travail des fifties et génération glande, euh, bien-être.
> Donc cela fait au final 650 entrants pour 1650 sortants qui travaillaient plus.
>
> Topo sur la demande :
> La population croît, l'indice CAO baisse mais le niveau d'exigence est plus
> élevé.
>
> Ratio offre-demande :
> Hormis les Paris intra-muros et les Niçois, ce n'est pas nécessairement parce
> qu'on est bon qu'on a le carnet blindé mais parce qu'il y a un déficit dans
> l'offre de soins.
>
> On le savait déjà mais poser les chiffres c'est mieux.
>
> Rentabilité :
> CA moyen national : 220k€, 300 pour les praticiens IDF, on en arrive à 150€/h.
> Répartition du CA horaire d'un même praticien de disons 700€/h lorsqu'il fait un
> bridge à 60 s'il fait deux détartrages ou soins équivalents.
> La productivité baisse si on fait des heures supp pour des raisons de fatigue et
> de pénibilité.
> Elle augmente si on fait des séances longues :
> Le temps de travail productif donc en bouche représente 30% de notre temps de
> travail.
> Les 70% perdus le sont en recherche de matériel, ouverture de tiroirs, bonjour,
> comment va votre dent, votre chien, la carte Vitale, rentrer les infos sur
> l'ordi, faire payer, faire des anesthésies (c'est en bouche, nécessaire mais non
> productif si on doit en refaire lors d'un autre rendez-vous pour le même
> secteur).
> Donc il faut augmenter à deux-trois heures les séances car on économise du
> temps. Ex: 10 rdv avec 10 min de perdus à chaque fois ça fait 1h40 chaque jour.
> 3 rdv plus longs avec 10 min de perdus, ça fait une demi-heure chaque jour.
>
> Chiffrage des soins en bouche :
> Il y a 4 à 5000€ de soins dentaires en moyenne par personne.
> Ce chiffre baisse à 2500 pour un Cmu.
> Il ne s'agit pas d'en mettre pour tout ça dans la bouche mais de faire tout ce
> qui est nécessaire comme si on soignait une personne de sa famille, on va tout
> lui remettre au propre.
>
> Plusieurs soins permettront de mettre en place un groupage d'actes qui fera
> économiser du temps non productif.
>
> La peur pour le dentiste de présenter de gros devis :
> Notre principal frein est psychologique.
> Les € à faire sortir, soit le bonhomme les dépense dans sa bouche soit il le
> fait pour sa caisse, son canapé, etc.
> On en revient à l'aspect "mauvais vendeur" du dentiste qui valorisera moins son
> travail pourtant plus essentiel pour la personne prise en charge que le vendeur
> de bagnoles
> Or il y a un paradoxe car nous sommes dans une société qui valorise le paraître
> et le bien-être et que nous sommes au croisement des chemins.
> Donc à nous de savoir si notre boulot vaut mieux que l'option cuir étendu de la
> dernière Mégane au mazout ou pas et de rendre attractif ce qui est essentiel à
> l'individu : sa santé.
> Il faut ôter cette barrière de faire des petits soins non rentables pour
> favoriser la réhabilitation complète, la fameuse approche globale.
>
> Que faire de ceux qui ne veulent pas suivre le devis global ?
> Doit-on s'accommoder avec les patients en leur faisant les (petits) soins qu'ils
> veulent faire ? Faut-il faire le chien ?
> Steichen prend l'analogie de l'ostéopathe auquel on n'aurait pas idée de
> demander de faire son boulot de telle manière et non de telle autre. Il s'agit
> pourtant de l'attitude qu'on adopte quotidiennement. On fait plaisir. Rend-on
> service si on commence des endos qui ne seront pas couronnées ? Rend-on un réel
> service si on ne fait que ce que le patient est prêt à faire ?
> On se trouve à mon avis au carrefour d'intérêts contradictoires : notre activité
> de soignant doit-elle s'adapter au patient (ce qu'on fait tous) ou est-ce au
> patient de s'adapter ?
> Or dans un cas le patient gagne provisoirement financièrement mais au niveau
> médical ce n'est pas sûr mais le praticien ne peut plus mettre en place une
> stratégie visant à optimiser son temps par le biais de rendez-vous longs.
>
> Comment est mise en place ce traitement global ?
> Par une proposition de devis global avec acompte.
> Le refus de ce devis est compensé par la charge de travail supplémentaire
> représentée par les devis globaux acceptés.
> Devis présenté, signé et payé non par vous mais par une personne dédiée qui va
> "vendre" le bout de gras, pas forcément l'assistante dentaire d'ailleurs, selon
> lui trop formatée social et médical, mais par une commerciale (le Rubicon est
> franchi), prédatrice aux crocs aigüs, et qui saura expliquer au patient.
> Aparté : on ne sait pas expliquer au patient les plans de traitement aux
> patients qui n'ont pas notre bagage technique. Ma femme qui m'aide au cab' me le
> répète à chaque fois. On croit qu'on a tout expliqué, c'est ce qu'on a fait,
> mais en face le type il enregistre : douleurs, sourire, bonne mastication, etc,
> des choses simples en somme. Ce qu'on lui dit ce n'est pas qu'il s'en tape, mais
> il y pige 15%.
>
> Comment éviter une défection bien plus pénible quand on a réservé 3 heures ?
> On la limite avec l'acompte, le rappel systématique la veille et ne donner qu'un
> rendez-vous à la fois.
>
> Va-t-on épuiser le pool de patients susceptibles de répondre favorablement ou
> ces patients satisfaits on l'espère vont-ils en faire venir d'autres convertis à
> cette nouvelle façon de procéder ?
>
> Les techniques d'organisation : tubs, 4 mains
>
> Je suis fort curieux de ces "techniques" Binhas & co et espère vous avoir fait
> un compte-rendu de la soirée qui vous aura dévoilé le "côté obscur" de la
> dentisterie version Steichen.
Bon ben là y a tout pour pas un rond...et quand on n'a pas besoin de ça, on fait comment? ^^
24/06/2011 à 16h27
alapex écrivait:
----------------
>
> En marge de ça , un jour il faudra faire des stages pour s'occuper de nos femmes
> et le reste , va savoir .
ça existe déja
http://www.lille-biodanza.com/actualite/65-stage-qle-plaisir-au-femininq
ou t'as ça aussi
http://www.clair-de-femme.com/categorie-11485518.html
alpexenretard... trop pas top.(ça fait djeuns hein pour ça aussi t'as des stages)
ceci étant j'ai fait partie des stagiaires binhas et au risque de me répéter on peut s'y rendre compte que tout le monde ne démarre pas du même endroit mais... n'ira pas non plus au même endroit (stage de philo aussi)
en attendant le stage de plongée :-)))
--
.
24/06/2011 à 16h33
Mais c'est bien sur ! et paf!
En france la bonne méthode s'appelle : "départ en retraite des praticiens non remplacés", on se retrouve avec des patients très demandeurs de traitements et il faut vraiment être un manche à co...es pour ne pas avoir une acceptation des devis...quand je pense qu'il y a des cabinets qui ne marchent pas; c'est hallucinant! la demande de soins n'a jamais été aussi forte...
24/06/2011 à 17h20
Fouilla regarde j'ai déjà tout exploré .
En préambule , boh , j'avais mis nonol , mais tu peux l'appliquer à la dentisterie .
Celui là est assez complet .
T'as ça .
Ca .
Hé, hé .
Le reste , tu vas sur youtub...)))
24/06/2011 à 17h22
C'est gratuit , pis quand t'as fait ces conneries t'as pas besoin des autres .
24/06/2011 à 17h43
Vu à la télé :
http://www.topsante.com/sante-au-quotidien/maux-du-quotidien/Les-bons-criteres-pour-choisir-votre-medecin/Un-premier-contact-primordial
C'est simple mais on oublie souvent les fondamentaux, toutes activités confondues