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Hollande
15/06/2012 à 00h35
Valérie Trierweiler est-elle coupable de complicité de détournement de fonds publics ?
Voici une question pertinente, librement adaptée par moi.
L’Etat a-t-il le droit d’entretenir la concubine du Président ? Valérie Trierweiler est-elle coupable de complicité de détournement de fonds publics ?
Le Président normal n’a pas hésité à profiter du vide constitutionnel qui pèse sur ce sujet atypique, François Mitterrand ayant été plus secret dans la prise en charger par nos impôts de sa double vie.
Valérie Massonneau, épouse Trierweiler, ne jouit d’aucun statut juridique au côté de François Hollande, le PACS n’ayant pas encore été étendu aux copines. Et puis François Hollande l’a déclaré, il est contre le mariage (sauf pour les homosexuels).
Dès lors, Trierweiler ne dispose d’aucun droit à bénéficier d’avantages tels que ceux qui viennent de lui être octroyés : un directeur de cabinet et plusieurs membres de « cabinet », payés non pas par l’Etat, qui n’a pas d’argent, mais par les contribuables.
Cela vaut bien entendu pour Patrice Biancone. L’ancien journaliste de RFI a été nommé directeur de cabinet de Valérie Trierweiler, a-t-il annoncé dimanche 20 mai.
C’est un ami de longue date de Valérie Trierweiler, journaliste de Direct 8 et Paris Match, et le couple présidentiel a passé une partie de ses vacances d’été 2011 à Hossegor (Landes) où il possède une maison.
Le journaliste a précisé que le cabinet de Mme Trierweiler compterait 4 à 6 personnes.
Les premières dames ont souvent eu par le passé un secrétariat ou un cabinet à l’Elysée, pour gérer notamment leur courrier, les interviews, etc. C’était le cas pour Bernadette Chirac et Carla Bruni-Sarkozy, des épouses légitimes. Mais la première petite amie ?
Que dit le code pénal ?
Article 432-15, modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 – art.3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002:
« Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, un comptable public, un dépositaire public ou l’un de ses subordonnés, de détruire, détourner ou soustraire un acte ou un titre, ou des fonds publics ou privés, ou effets, pièces ou titres en tenant lieu, ou tout autre objet qui lui a été remis en raison de ses fonctions ou de sa mission, est puni de dix ans d’emprisonnement et de 150.000 euros d’amende »
Valérie Trierweiler serait dépositaire de l’autorité publique sans que nous en ayons été informés ? Est-elle chargée d’une mission de service public ? Elle a embauché un ami intime du couple, à moins que François Hollande ai trempé dans la combine ?
La tentative de délit, prévu à l’alinéa qui précède, est punie des mêmes peines.
Pouvez-vous, Madame Taubira, Garde des Sceaux, éclairer notre lanterne ?
Car dans un an, lorsque la Cour des comptes aura présenté la facture aux Français, il sera trop tard pour pleurer.
Valérie Trierweiler nous la joue causette avec son métier de journaliste qu’elle doit conserver pour nourrir ses enfants, et elle embauche six personnes – six salaires – pour continuer à aller toucher sa paye à Paris Match ?
C’est ainsi que l’on fait les comptes, chez les socialos ?
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Henry Flecher, adaptation Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
15/06/2012 à 05h24
Tu remarqueras que Johnny est d'une autre pointure, qu'il lui lui a fallu des années de résidence métropolitaine pour se faire une place(belge à l'origine), et qu'il se tait maintenant à ce sujet car ça craint sur son chiffre d'affaire tout ceci. Noah surfe sur la boboïtude et ne peut faire autrement, c'est un grand couillon qui devait se casser il y a 5 ans si sarko était élu, grand champion en tennnis, grand couillon en politique.
15/06/2012 à 05h51
mark écrivait:
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> Je n'ai pas inventé le terme de concurrence faussée.
> C'est une notion réservée aux "socialauds"?
L'interprétation que tu lui donnes l'est!
La seule entité qui peut fausser la concurrence,c'est à dire la liberté de contracter, c'est l'entité qui peut limiter la liberté. Tu en connais d'autres à part les Etats ou leurs ersatz que sont les mafia?
Ensuite ton inculture économique fait que tu confonds concurrence faussée et concurrence parfaite qui est une idéologie et une invention socialiste justifiant l'intervention étatique pour tendre vers cette utopie de concurrence parfaite.
>
> Que resterait-il il de notre industrie lourde ou spécialisée sans le soutien de
> l'Etat depuis la fin des trente glorieuses?
>
> Tous les entrepreneurs français ne s'en plaignent pas. Pas plus que leur
> personnel.
Elle se porterait beaucoup mieux si l'Etat n'était pas intervenu par des millions de pages de droit du travail, par des impôts monstrueux et par des réglementations à n'en plus finir.
Il ne fait aucun doute que les entrepreneurs qui vivent de la réglementation sociale et fiscale se régalent. Ce sont des parasites de l'action étatique.
>
> Qui a chiffré le "retour" économique de cet aspect du budget national?
Il est chiffré négatif. Cf théorie des choix publics.
>
> Sans parler des socialistes, quel gouvernement dit de droite, de De Gaulle à
> Sarkozy, n'a pas utilisé ce levier afin de limiter les dégâts d'une balance
> commerciale déséquilibrée ou d'une dépendance énergétique?
Aucun, et c'est pour cette raison que l'on est dans la mouise.
>
> Hors le délire libertarien de notre illuminé, il y a de la marge entre une
> minarchie et un Etat sévèrement contrôlé par les citoyens, n'en déplaise à
> certains allergiques aux putes et au champagne. :)))))
>
> On peut lire des livres et les débiter comme d'autres les versets de la Bible,
> du Coran ou du Capital, attendre le Messie, le Grand Soir ou la Révolution
> Libertaire.
>
> On peut aussi se défendre avec les moyens que sont la Loi, le vote ou le
> corporatisme... voire le lobbying... Les libéraux les moins obtus s'y essaient
> bien... ;)
Oui, à défaut de mieux, ils font du socialisme de marché, ou du capitalisme de connivence, appelle le comme tu veux.
C'est incroyable, réalises tu que tous tes arguments sont ad populum. Aucune réflexion sur le fond, de droit de justice de logique. Aucun argument autre que: c'est comme ça.
Avec cette puissance morale on en serait encore à l'esclavage, parce que c'est comme ça et que si on l'avait pas les entreprises employant des esclaves feraient faillite. Tu te rends compte, comment faire pour donner à manger à tous ces esclaves si il fallait en plus les payer.
Tu veux un exemple de socialiste qui comprend et sait que l'Etat c'est de la mouise en économie: la nouvelle Zélande où le gouvernement travailliste a décidé du jour au lendemain de supprimer toute subvention agricole. Résultat une agriculture qui s'est réformée toute seule sans aucune aide en quelques années, et qui a conquis le monde dans les années 90. C'est un exemple propre net et sans bavure.
L'Etat était la plaie de l'agriculture, il s'en est désengagé brutalement et totalement et le résultat a été une très forte progression de ce secteur économique.
En Europe, on en est encore à la PAC, tout le monde s'en plaint et tout le monde veut la garder dans l'illusion qu'elle assure la base par ses subventions.
Tu vas dire que je suis un illuminé si j'affirme qu'il faut la liquider. Et pourtant l'exemple néo-zélandais montre que c'est la solution.
Tu écris que je suis un illuminé car j'affirme que je sais mieux que toi ce qui est bon pour moi, que je le sais mieux que ce pauvre type de hollande ou que ayraut ou que tout ministre et que j'affirme que chaque homme libre et en conscience sait mieux que son voisin ce qui est bon pour lui même.
Toi tu affirmes par ton idéologie que des hommes sont suffisamment instruits et omniscients pour savoir mieux que quiconque ce qui est bon pour les autres. Et c'est moi l'illuminé!
15/06/2012 à 12h32
mark écrivait:
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> growler écrivait:
> -----------------
> Que resterait-il il de notre industrie lourde ou spécialisée sans le soutien de
> l'Etat depuis la fin des trente glorieuses?
>
Probablement la même chose qu'aujourd'hui: pas grand chose.
15/06/2012 à 14h47
Chers Confrèrtes, avec toutes les théories économiques développées, qu'attendez vous pour tous vous reconvertir ...
les élections seront passées et vous ne vous étes pas présentés ...
15/06/2012 à 14h58
Tandis que certains briguent nos suffrages
D'autres nous promettent brisants et naufrage.
15/06/2012 à 21h55
Bonne question tropézienne.
Ce qui compte c'est la diffusion des idées, et que ces idées parviennent aux décideurs. Elles sont parvenues aux décideurs de NZ du Canada, de Suède, d'Angleterre, des pays de l'Est, et d'ailleurs.
J'ai lu récemment un article racontant qu'en 1959 deux dictateurs ont pris le pouvoir : Castro à Cuba dans une île prospère et Lee... à Singapour dans un île miséreuse.
Deux totalitaires, un avec des principes économiques maxistes et l'autre des principes économiques libéraux du genre abolition unilatérale de toute contrainte douanière ou réglementaire à l'importation. On voit le résultat après un demi siècle.
Le pouvoir est une affaire de personnes pas claires dans leur tête; à mon sens il faut être un peu ou beaucoup malade pour souhaiter diriger les autres.
16/06/2012 à 00h58
wakrap écrivait:
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> J'ai lu récemment un article racontant qu'en 1959 deux dictateurs ont pris le
> pouvoir : Castro à Cuba dans une île prospère et Lee... à Singapour dans un île
> miséreuse.
> Deux totalitaires, un avec des principes économiques maxistes et l'autre des
> principes économiques libéraux du genre abolition unilatérale de toute
> contrainte douanière ou réglementaire à l'importation. On voit le résultat après
> un demi siècle.
>
Pour ceux qui sont allé à Cuba, les magnifiques vestiges de la richesse d'antan amènent à se poser bien des questions, au delà des livres d'histoire
Pour Singapour qualifiée de Suisse de l'Asie, les contrastes sont saisissants. L'argent est roi, les boutiques de luxe n'ont rien à envier à nos beaux quartiers parisiens. Le culte de l'argent est assumé.
Qui a raison, qui a tort ?
Ce qui ne fait aucun doute, à Singapour le peuple n'est pas agglutiné sur les façades des hôtels de luxe réservés aux touristes, sans avoir droit d'y pénétrer. Ils ont un haut niveau d'éducation et leur ambition n'est pas de fuir le régime.
Le culte de l'argent pour l'argent n'est pas un idéal, mais à choisir, il n'y a pas photo. D'un côté il y a de l'espoir et de l'avenir, de l'autre un monde qui s'est figé dans des idéologies qui génèrent beaucoup de frustrations.
16/06/2012 à 01h22
Lettre ouverte à Valérie Trierweiler
Madame,
Lorsque vous êtes apparue aux côtés de François Hollande, après qu’il eut quitté Ségolène Royal, les citoyens français ont accepté votre présence, certains avec interrogation, d’autres avec un petit sourire, mais la plupart avec gentillesse. En France, l’amour est roi et les nouveaux couples qui se forment, surtout en politique, attirent plutôt la bienveillance.
Nicolas Sarkozy avait bénéficié de cette même « grâce » lorsque Cécilia était partie. Il s’en était expliqué, peut-être un peu trop, en conférence de presse et s’était marié avec Carla Bruni. Autre temps, autre mœurs, diriez-vous. Effectivement, qu’il s’agisse du général de Gaulle avec « tante Yvonne », de Giscard d’Estaing et d’Anne-Aymone, de François Mitterrand et de Danielle ou même de Jacques Chirac et de Bernadette, ces femmes versaient plutôt dans le caritatif discret que vers l’émergence people tapageuse.
Il est vrai cependant que la presse, pour François Mitterrand, a laissé tomber un manteau de discrétion sur sa double vie qu’il n’a révélée qu’à ses dernières heures. Déjà, il paraissait (mais qui a osé en parler ?) tout à fait anormal que sa deuxième « épouse » et sa fille soient prises en charge par l’État : appartement officiel sur le Quai Branly, voitures, chauffeurs, gardes du corps, cuisines et cuisiniers.
Bref ! Les frasques de François Mitterrand, gardées secrètes par des journalistes complices, ont coûté quelques 8 à 10 millions d’euros au budget de l’État
Carla Bruni n’a pas agi dans ce sens ni Bernadette Chirac. Mais vous voilà arrivée et avec vous, comme le dit la gauche, la modernité, ringardisant tout ce qui s’est passé avant.
Après tout, François Hollande a le droit d’avoir comme amie qui il veut et le temps qu’il le désire. Quant au titre de « première dame », il est usurpé. Ce statut n’existe pas et a été monté de toutes pièces par des journalistes avides de sensationnel. Vous n’avez, Madame, aucune existence légale d’autant plus que vous n’êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d’un président de la République qui accumulerait les « premières dames » comme on accumule des amies ou des flirts ?
Vous avez néanmoins exigé d’avoir autour de vous une équipe composée d’hommes et de femmes qui vous suivent, qui vous aident, qui travaillent avec vous et qui sont payés par l’État. Au nom de quoi l’État doit-il s’occuper de votre secrétariat pléthorique ? Ce n’est pas, je pense, pour vous aider à écrire des articles dans votre journal « Paris Match ».
Voici un autre problème. Vous vous réclamez, à juste titre, du statut de journaliste et vous désirez continuer à écrire. Au début de la campagne présidentielle et même, si je ne me trompe, dès l’élection de François Hollande, vous avez clamé haut et fort que vous ne renonceriez pas à écrire dans l’hebdomadaire « Paris Match » et vous avez même annoncé que vous alliez interroger les grands de ce monde pour faire des papiers de politique étrangère ! Journaliste oui, mais journaliste politique non !
Il me semble que ce métier est incompatible avec la fonction que vous aimeriez avoir, même si elle n’est pas officielle. Vous avez donc décidé de faire du journalisme de bavardages pour bien montrer votre autonomie par rapport à votre ami François Hollande. Vous avez néanmoins accepté, demandé, peut-être même exigé de l’accompagner dans ses voyages officiels. A quel titre ? Simplement d’amie !
Il y avait et il y a toujours un obstacle : Ségolène Royal ! Vous ne la supportez pas, elle qui est pourtant mère des 4 enfants de François Hollande. Il semblerait qu’à la Bastille, lorsque François Hollande a « claqué une bise » sur les deux joues de Ségolène Royal, vous ayez exigé qu’il vous embrasse sur la bouche pour montrer la différence de statut ! Cet acte était sinon puéril du moins cruel.
Voici maintenant qu’en femme moderne, vous tweetez. Vous avez réussi, par vos bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France.
Ségolène Royal est candidate, certes parachutée, en Poitou-Charentes. Elle affronte Monsieur Falorni, implanté localement depuis de nombreuses années et ami de François Hollande. Il était naturel que les caciques du Parti socialiste viennent à son secours, elle qui avait été la femme candidate à l'élection présidentielle de 2007.
Il était peut-être moins évident que le président de la République se mêle de ces élections. En Président « normal », il avait annoncé qu’il n’y participerait pas. Les Français avaient d’ailleurs compris que le petit mot de soutien à Ségolène Royal était plus affectif que politique. Elle avait été sa compagne pendant si longtemps.
Mais vous ne la supportez pas, taraudée par la jalousie. Après le ridicule de « embrasse moi sur la bouche » que, semblait-il, vous aviez prononcé, voici maintenant la trahison ! En effet, de quoi vous mêlez-vous en soutenant Monsieur Falorni qui, au demeurant, reste très sympathique ? Est-ce en tant que journaliste politique que vous prenez position pour un candidat ?
Il s’agirait là d’une déviation intolérable de la neutralité politique d’un journaliste. Voyez-vous Monsieur Jean-Michel Apathie, Madame Ruth Elkrief, Monsieur Alain Duhamel prendre position pour qui que ce soit ? Ils devraient rendre immédiatement leur carte de presse, s’inscrire à un parti politique et ne plus parler. Certes, beaucoup de journalistes, beaucoup de journaux, sont à gauche et l’ont montré lors de ces dernières élections. Mais vous, Madame, journaliste à « Paris Match », vous n’auriez jamais dû prendre position. Ce n’est donc pas comme journaliste que vous avez envoyé ce tweet, vous êtes trop intelligente pour tomber dans un tel piège.
Est-ce pour affirmer votre indépendance vis-à-vis de votre compagnon ? Peut-être aussi pensiez-vous affirmer l’importance de la liberté de la femme ? Je ne le crois pas non plus car je ne suis pas sûr que la liberté consiste à faire des gaffes. Peut-être ce mot est-il trop faible ? Il s’agit d’une faute grave. En réalité, vous ne pouviez pas imaginer une seconde que Ségolène Royal, élue, puisse un jour arriver au fauteuil de présidente de l’Assemblée nationale. « Comment cette femme, qui était avec mon ami auparavant, qui a vécu si longtemps avec lui, peut-elle revenir en pleine lumière ? ».
Mais, pire encore, vous imaginiez, dans vos rêves les plus épouvantables, dans les cauchemars les plus terribles, les cérémonies officielles présidées par François Hollande obligatoirement accompagné par Ségolène Royal, en tant que quatrième personnage de l’État. Vous cauchemardiez à l’idée de voir ces grands dîners à l’Elysée, ces dîners officiels où votre place était équivoque, alors que Ségolène, rayonnante, aurait été proche de votre ami par la grâce du protocole. D’ailleurs, c’est pour cette raison déjà qu’à La Rochelle, vous aviez exigé, semble-t-il, que François Hollande parle de vous comme de « son unique amour ». Petite flèche empoisonnée dans le dos de Ségolène Royal.
La France, par ce tweet, a été ridiculisée dans le monde entier. Une si petite phrase ayant de telles conséquences ! Vous avez non seulement desservi la France où vous n’avez aucun rôle à jouer même si vous avez accompagné François Hollande dans ses voyages officiels à l’étranger (ce qui, déontologiquement, diplomatiquement, était déjà une extravagance), mais vous avez desservi le président de la République élu par une attitude grotesque de femme jalouse qui se mêle de politique pour entraver la carrière de son ami ou compagnon.
Vous avez ridiculisé et humilié les femmes des autres présidents français qui, elles, faisaient de l’humanitaire. Vous avez, semble-t-il, balayé d’un revers de la main ces actions remarquables qu’elles avaient menées et, par conséquent, vous avez méprisé tous ceux qui, en France ou ailleurs, ont consacré leur vie aux enfants, aux handicapés, à ceux qui étaient atteints du SIDA, etc.
Bref, ce petit tweet de rien du tout a été le révélateur, Madame, d’un malaise que les Français n’osaient pas admettre, qui mélange la faiblesse du président de la République et la méchanceté de sa compagne.
Acceptez, Madame, mes sentiments mêlés de tristesse, de rage et de surprise.
Pr. Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris
16/06/2012 à 02h34
wakrap écrivait:
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> Bah, c'est vrai, mais bon, un mot aurait suffit: socialaude.
Et ça va repartir pour un tour :)))
Mark va surenchérir et ceux qui suivent vont compter les points.
Ca me fait penser au film "Un poisson nommé Wanda"
16/06/2012 à 02h51
Celui où le mec renifle dans les bottes de Jamie Lee Curtis? Cette scène est grandiose!
16/06/2012 à 03h27
malimor33 écrivait:
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> Celui où le mec renifle dans les bottes de Jamie Lee Curtis? Cette scène est
> grandiose!
Plutôt quand Otto devient fou de rage à chaque fois qu'on prononce un certain mot ...
Ici c'est le mot "socialaud", pour Otto c'est le mot "débile" qui le courrouce.
Et pour ma part j'aime bien ce mot ancien, courroucer. Il est moins agressif que ses synonymes.
16/06/2012 à 21h22
Eh, les mecs, un lien à se tordre :
http://www.contrepoints.org/2012/06/16/87168-le-pouvoir-nest-pas-sexuellement-transmissible
16/06/2012 à 21h24
Guadeloupe écrivait:
--------------------
> malimor33 écrivait:
> -------------------
> > Celui où le mec renifle dans les bottes de Jamie Lee Curtis? Cette scène est
> > grandiose!
>
> Plutôt quand Otto devient fou de rage à chaque fois qu'on prononce un certain
> mot ...
> Ici c'est le mot "socialaud", pour Otto c'est le mot "débile" qui le courrouce.
> Et pour ma part j'aime bien ce mot ancien, courroucer. Il est moins agressif que
> ses synonymes.
enfin pour ma part, j'ai acheté "Parler italien en 15 jours"
16/06/2012 à 22h41
J'ai assisté malencontreusement à une manif ce qui arrive très rarement dans mon secteur. Du coup Hollande & cie me font craindre au pire une guerre civile...je dis cela aussi car récemment un homme plein de sagesse m'a fait part de ses inquiétudes à ce sujet.
18/06/2012 à 01h34
et face à la défaite, ils se turent TOUS ...
18/06/2012 à 03h05
Hélas. Rendez vous dans cinq ans pour le bilan, mais peut-être dans peu de temps pour la marche arrière toute sur les promesses de campagne auxquelles les rêveurs ont cru.
18/06/2012 à 06h06
wakrap écrivait:
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> Eh, les mecs, un lien à se tordre :
>
> http://www.contrepoints.org/2012/06/16/87168-le-pouvoir-nest-pas-sexuellement-transmissible
et oui, hollande a des couilles.... qui l'entourent
18/06/2012 à 10h45
Bien au contraire !
On va pouvoir s'exprimer pendant les 5 ans prochaines années de galère et on ne va pas les louper ...
C'est tellement confortable d'être passé dans l'opposition !
letropezien écrivait:
---------------------
> et face à la défaite, ils se turent TOUS ...
18/06/2012 à 12h58
letropezien écrivait:
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> et face à la défaite, ils se turent TOUS ...
La défaite ? Quelle défaite ?
La seule défaite qui vaille le coup de prendre en considération, c'est la faillite de lehmann brothers. Et la seule élection qui avait de l'importance hier, c'était les législatives grecques (d'ailleurs, 45% des français semblaient être au courant. ou alors c'est qu'il faisait beau, je ne sais pas)
Croire que l'alternance politique va changer quoique ce soit aux conséquences de cette faillite qui ne se sont pas pleinement exprimées et assez touchant de naïveté. Hollande fera la politique qu'aurait fait Sarkozy: fermer sa gueule et faire avaler les couleuvres qu'il n'aura pas le choix de faire avaler.
Enfin, je suis mauvaise langue car accessoirement, il y a eu des défaites qui valaient le coup hier: celles de nadine morano, ségolène royal et jack lang: aux chiottes les TACHONS :p
18/06/2012 à 13h01
malimor33 écrivait:
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> Hélas. Rendez vous dans cinq ans pour le bilan, mais peut-être dans peu de temps
> pour la marche arrière toute sur les promesses de campagne auxquelles les
> rêveurs ont cru.
le rasoir fiscal socialiste va raser plus près que prévu. Il y en a qui vont être surpris.
18/06/2012 à 14h46
Sujet du bac S en philo cette année: "serions nous plus libres sans l'Etat ?"
18/06/2012 à 15h57
Les doctrines se confrontent. Comme les modes, certaines dominent un certain temps en chassant les anciennes.
Le marxisme a réussi en moins d'un siècle à se propager dans les esprits de la planète entière. Avec toutes les horreurs que l'on sait.
Doctrine élaborée par la pensée d'un seul homme, impressionnant !
Certains parlent de lui comme d'un scientifique, mais peut-on être scientifique quand on s'est trompé sur tout ?
Ca serait un bon sujet de bac aussi.
18/06/2012 à 19h58
chemin-de-fer écrivait:
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> Sujet du bac S en philo cette année: "serions nous plus libres sans l'Etat ?"
Ouch, pour avoir la moyenne, il faut absolument répondre sous le mode thèse, antithèse, foutaise.
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