Tous les forums
Hollande
03/06/2013 à 14h30
ameli écrivait:
---------------
> Les libéraux jouent un jeu très dangereux.
Piqûre de rappel de mon post précédent, en réponse à ta réflexion ci-dessus. Qui joue un jeu dangereux ?
Il ne faut jamais oublier les nombreux visages, tous hideux et monstrueux, du socialisme au cours de ces deux derniers siècles : le socialisme terroriste de Robespierre, le socialisme antibourgeois de Marx, le socialisme national de Hitler, le socialisme fasciste de Mussolini, le socialisme communiste de Lénine, de Staline, de Mao et autre Pol-Pot.
03/06/2013 à 19h04
>elle a bon dos l’Europe.....
avant d’écrire ce genre de discours démagogiques, il faut un peu lire ou étudier! <
demolay!!!!!! Voltaire n'aurait pas osé ces jugements de valeur avec Rousseau!!!!:-)
Dernières Nouvelles : on vient de me signaler que la bibliothèque d'ameli a brûlé; on n'a pas pu sauver les 3 Picsou magazine.
03/06/2013 à 19h56
Guadeloupe écrivait:
--------------------
> Piqûre de rappel de mon post précédent, en réponse à ta réflexion ci-dessus. Qui
> joue un jeu dangereux ?
> Il ne faut jamais oublier les nombreux visages, tous hideux et monstrueux, du
> socialisme au cours de ces deux derniers siècles :
Etait-ce du vraiment du socialisme ?
Mais où vois-tu du socialisme dans la politique menée aujourd'hui en Europe ?
De Gaulle était bien plus socialiste que le parti socialiste !
Mais je pense qu'on se comprend mal : je ne défends pas les idées socialistes. Que les socialistes le fassent, ce n'est pas mon problème.
Par contre, ce qui m'offusque, c'est l'imprudence libérale-capitaliste qui réveille fort logiquement les réflexes de l'électorat très attaché aux liens sociaux, identitaires, communautaires... et donc les ultra-nationalistes xénophobes qui les récupèrent.
A l'opposé du libéralisme qui fonde sa philosophie sur l'individu, le socialisme la fonde sur la collectivité. On peut dire que l'un et l'autre ont raison, car l'Homme est un individu qui a besoin du collectif. Dès lors, si l'un de ces deux aspects est cassé, il y a une réaction pour rétablir l'équilibre. On en est là : le besoin de liens collectifs est pressant...
03/06/2013 à 20h34
ameli écrivait:
---------------
> ... ce qui m'offusque, c'est l'imprudence libérale-capitaliste qui
> réveille fort logiquement les réflexes de l'électorat très attaché aux liens
> sociaux, identitaires, communautaires... et donc les ultra-nationalistes
> xénophobes qui les récupèrent.
> ... l'Homme est un individu qui a besoin du collectif.
> ... le besoin de liens collectifs est pressant...
Mais ne peux tu sortir de ce discours formaté ? Tu parles toujours d'animal social, de lien social, et tu en fais une addition arithmétique qui doit donner comme résultat "l'équilibre".
C'est ce qu'on faisait avec les malades au Moyen Age, quand on les soignait avec une saignée mais qu'ils allaient toujours de plus en plus mal : "On ne vous pas guéri ? Pas de souci, on va vous refaire une saignée". Et le patient trépassait, mais on lui avait donné sa dose de saignées, mission accomplie.
Toujours plus de la même chose Améli. "Vous reprendrez bien un peu de lien social pour votre santé ?" Voilà ce qu'on nous sert, du bougli blougla jusqu'à la nausée. Une langue de bois qui ne veut plus rien dire.
Tu parles d'imprudence libérale capitaliste, mais tout le monde sait que les lobbys financiers nous amènent vers la catastrophe économique et que tout ce petit monde refuse de renoncer à ses privilèges (argent et pouvoir), à commencer par toute cette caste actuelle au pouvoir.
Ensuite, tu prétends craindre les ultranationalistes xénophobes, mais en même temps tu ne cesses de dire qu'on est envahis par les étrangers, sans faire aucune nuance dans tes propos, ce qui génère maintes confusions.
03/06/2013 à 21h56
ameli écrivait:
---------------
> Mais je pense que tu vas finir par admettre mes idées : j'ai besoin des idées socialistes.
> Que les socialistes le fassent, c'est ton problème.
> Par contre, ce qui m'offusque, c'est libérale-capitaliste qui
> réveille fort logiquement mes peurs très attaché aux liens
> sociaux, identitaires, communautaires...> xénophobes, qui les récupèrent?
> A l'opposé du libéralisme qui fonde sa philosophie sur l'individu, le socialisme
> la fonde sur la collectivité. On peut dire que l'un et l'autre ont raison, car
> je suis un individu qui a besoin du collectif. Dès lors, si l'un de ces deux
> aspects m'est retiré, j'ai une réaction pour rétablir l'équilibre. On en est là :
> mon besoin de liens collectifs est pressant...
03/06/2013 à 22h20
Il faut rester simple avec ameli et sa bouillie cérébrale :
"A l'opposé du libéralisme qui fonde sa philosophie sur l'individu, le socialisme
> la fonde sur la collectivité. On peut dire que l'un et l'autre ont raison,"
C'est sa prémisse et je rappelle aux lecteurs ici, que quand la prémisse est fausse tout le reste est faux.
Le libéralisme a pour méthode de raisonnement ce que l'on appelle l'individualisme méthodologique. Cette méthode d'analyse ne nie en rien la collectivité mais considère qu'elle est le résultat des choix des individus, que les décisions prises en commun ont une importance cruciale sur les comportements des individus et que la majeure partie de ces décisions font partie d'une tradition collective que l'on retrouve dans les morales individuelles observées dans les différentes sociétés.(Hayek est le plus facile à lire )
Le socialisme ne se fonde pas sur la collectivité. Le socialisme est une idéologie qui a un objectif et qui va utiliser les outils de coercition disponibles sur l'individu, pour contraindre l'individu à se plier à la collectivité de son idéologie. Et l'outil de contrainte est le pouvoir, de la dictature individuelle à la collective sous la forme du totalitarisme démocratique.
Le socialisme ne peut accepter une société libérale, il va la contraindre.
Le libéral se satisfait d'une société socialiste si il est libre de ne pas en respecter les contraintes, si il est libre de ne pas y adhérer. Bref le libéral n'est pas dérangé par les kibboutz communistes ou socialistes, le socialiste interdira tout kibboutz libéral.
04/06/2013 à 10h37
Tiens donc ! on se découvre "aisé" tout d'un coup ? Quand l'argent des autres commence à devenir le sien c'est pas la meme messe ! 30 % d'impots en plus pour ce couple de fonctionnaires, j'adore !
http://www.itele.fr/france/video/quest-ce-qui-va-changer-pour-les-familles
04/06/2013 à 14h18
Guadeloupe écrivait:
--------------------
> Mais ne peux tu sortir de ce discours formaté ? Tu parles toujours d'animal
> social, de lien social, et tu en fais une addition arithmétique qui doit donner
> comme résultat "l'équilibre".
Il n'est pas question d'additions. Il est question d'anthropologie. L'Homme est ainsi, libre et social. Sa liberté ne l'enferme pas dans une bulle, il a des liens avec les autres, sa famille, ses amis, ses coréligionnaires, ses concitoyens, ses clients, etc.
Il a besoin de ces liens.
> "Vous reprendrez bien un peu de lien social pour votre santé ?" Voilà ce qu'on nous sert, du bougli blougla jusqu'à
> la nausée.
Aujourd'hui, ces liens sont distendus. La famille est moins présente, la protection sociale est en faillite, les services publics sont en faillite, les frontières sont abolies, la solidarité s'éteint. Les hommes sont en concurrence les uns contre les autres.
Du coup, par réflexe, les électeurs sont désemparés, ils ressentent le manque, s'abstiennent ou se tournent vers les seuls qui en proposent, les extrémistes de droite (car l'offre communiste n'existe plus).
Or, je ne pense pas que les divers liens sociaux puissent être catalogués de "droite" ou de "gauche". Ils sont normaux, banalement humains et non exclusifs d'un camp.
> Ensuite, tu prétends craindre les ultranationalistes xénophobes, mais en même
> temps tu ne cesses de dire qu'on est envahis par les étrangers, sans faire
> aucune nuance dans tes propos, ce qui génère maintes confusions.
J'admets l'objection ! mais je ne pense pas que le maintien d'une société conviviale soit un thème politique réservé aux nationalistes extrémistes.
Je crains tous les excités, qu'ils soient libéraux, communistes ou nationalistes. Tout est dans la mesure.
Ce que je souhaiterais, c'est que l'Homme ne se coupe pas de ses racines, qu'il soit libre ET social, que le balancier soit équilibré. Aujourd'hui, il ne l'est pas, on penche vers l'individualisme libéral, ce qui entraine des dérives.
Je n'ai rien contre les étrangers, mais je suis opposé à ceux qui les attirent en leur faisant croire au miracle pour réduire les couts de main d'oeuvre (c'est clairement la philosophie économique de Hayek qui l'a reprise d'Adam Smith : liberté de circulation des biens et des personnes afin que l'offre s'ajuste à la demande).
D'une part on ne peut accueillir dignement tout le monde, contrairement à ce que prétendent les libéraux car notre société n'a pas cette capacité d'accueil. D'autre part, le déracinement de ces immigrés est une souffrance qui crée des communautarismes isolationnistes dangereux pour une société déjà installée : même en Suède ça a pété il y a quelques jours. Une amplification de ces problèmes (liés au libéralisme) est inévitable.
Je ne dis pas qu'il faut fermer les frontières. Je dis qu'il faut de la mesure. A défaut, on a de la démesure destructrice et violente.
04/06/2013 à 14h54
ameli écrivait:
---------------
> Aujourd'hui, ces liens sont distendus. La famille est moins présente, la
> protection sociale est en faillite, les services publics sont en faillite, les
> frontières sont abolies, la solidarité s'éteint.
Et les millions de français qui donnent au moins une journée par semaine entière de leur temps à des associations te disent merde ;))) Et, ah oui, y en a de plus en plus des gens qui vont aider dans les associations, c'est con quand les fait contredisent tout ton argumentaire à la con hein ?
Seulement voilà, tous ces gens n'ont pas besoin de l'Etat et des hordes de parasites pour aider leur prochain, donc ça fait vachement tâche dans ta religion étatique ;)
La fête des voisins ? cet horrible truc qui n'a pas eu besoin de l'Etat pour se lancer spontanément ? C'est forcément une horreur libérale mangeuse d'enfant donc ça n'existe pas.
Les restos du coeur ? La croix rouge ? Les petits frères des pauvres ? Toutes les autres ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_organisations_de_solidarit%C3%A9_internationale_fran%C3%A7aises
D'abominables gens qui osent aider leur prochain sans avoir besoin de l'Etat, mon dieu, quelle horreur, il faut pendre ses abominables infidèles rejetant la religion étatique ! Seul l'Etat devrait avoir le droit d'aider les hommes ! Abomination ! Horreur ! Scandale absolu ! Mais bon, l'honneur est sauf, l'Etat vole tellement d'argent aux honnêtes citoyens que ces derniers ne peuvent pas trop en donner aux associations, elles ont donc besoin d'aller récupérer l'argent où il a fini: dans les caisses de l'Etat (qui en a gaspillé la majorité au passage mais chuuuuut, il faut pas le dire).
Sur ce, je vais me faire un café.
04/06/2013 à 16h06
ameli écrivait:
---------------
> les
> frontières sont abolies
Les frontières sont faites pour séparer ou rassembler ?
>se tournent vers les seuls qui en proposent, les extrémistes de
> droite (car l'offre communiste n'existe plus).
Mélanchon sera heureux d'apprendre qu'il est d'extrême droite !
> même en Suède ça a pété il y a quelques jours. Une amplification de ces
> problèmes (liés au libéralisme) est inévitable.
Ca l'air vachement dangereux le libéralisme, qu'est-ce qu'on attend pour l'interdire !?
> Je ne dis pas qu'il faut fermer les frontières. Je dis qu'il faut de la mesure.
Et donc ?
04/06/2013 à 16h40
ameli écrivait:
---------------
> Je n'ai rien contre les étrangers, mais je suis opposé à ceux qui les attirent
> en leur faisant croire au miracle pour réduire les couts de main d'oeuvre
Quand les missionnaires de l'état sont partis haranguer les banlieues en leur disant qu'ils n'aimaient pas les riches et en leur faisant miroiter le droit de vote pour les immigrés, c'était totalement désintéressé sans doute ?
Le problème ce ne sont pas les immigrés étrangers mais ces hordes de barbares qui pillent avec la bénédiction de l'état qui leur fait croire au miracle, comme tu dis si bien.
Par contre, je reprends cette phrase bien volontiers "D'où qu'ils viennent, les gens de qualité doivent être partout bienvenus."
Mais les gens de qualité sont extrêmement plus rares que les barbares.
04/06/2013 à 17h11
Au black alors, la main d'oeuvre car meme un smic charges comprises coute un bras.
04/06/2013 à 18h03
king_zoulou écrivait:
---------------------
> Et les millions de français qui donnent au moins une journée par semaine entière
> de leur temps à des associations te disent merde ;)))
Je fais partie de ceux-là aussi. Et ça démontre bien mon argumentaire : l'homme est un animal social, il a un besoin réel de communication et ne peut vivre isolé dans son individualisme. Si l'état ne remplit plus ce rôle, la société le reprend à son compte, mais elle n'a pas les mêmes moyens.
Or toute la politique libérale cherche à rendre l'Homme isolé, individuel, sans racines, et sans culture, sans passé.
Lorsqu'on dit "liberté de circulation et d'installation", c'est bien le déracinement qu'on défend, pour que l'homme devenu producteur de richesse soit en mesure de suivre son usine ; qu'il soit "flexible", pour ne pas dire "courbé". On le coupe de son passé et de sa culture : il est devenu lui-même une marchandise qu'on déplace en fonction des besoins. Et on présente ça comme une liberté !
wakrap, s'il n'est pas pour une fois de mauvaise foi, te confirmera que le libéralisme est une philosophie individualiste, et dans son excès, le libéralisme est le contraire du collectivisme. Donc, contre toute association, corporation, religion, groupe social, pouvoir local, commune, nation, syndicat, etc. : tout doit se mélanger dans le même droit et dans un grand monde fait d'additions d'intérêts personnels. Pourquoi ? parce que l'homme doit pouvoir circuler en fonction des besoins, donc, il ne doit pas se lier.
L'homme est un pion. Ou une marchandise (Debord, la société du Spectacle). C'est une vision utilitariste de l'homme qui ne me convient pas, et l'homme, pour survivre, n'a pas le choix : il doit se déplacer.
C'est une vision qui prétend défendre la liberté, cette obligation ?
04/06/2013 à 18h19
ameli écrivait:
---------------
> l'homme
> est un animal social, il a un besoin réel de communication et ne peut vivre
> isolé dans son individualisme. Si l'état ne remplit plus ce rôle, la société le
> reprend à son compte, mais elle n'a pas les mêmes moyens.
> Or toute la politique libérale cherche à rendre l'Homme isolé, individuel, sans
> racines, et sans culture, sans passé.
>
C'est tout l'inverse, l'homme ne peut donner un sens à sa vie et s'épanouir qu'en devenant autonome, en symbiose avec son environnement et les autres, libre de choisir ses propjets, ses clans, ses amis, ses connivences, ce sont les lois de la vie. Sans cela il n'y aurait tout simplement pas de vie et nous ne serions pas la pour en débattre. Ce que tu voudrais, c'est un homme formaté, craintif, assisté, hypocrite, peu importe s'il devient médiocre pourvu qu'il soit soumis et obéissant. Bref, un pion facile à utiliser par l'état tout puissant, cet état que tu veux absolument faire passer pour ce qu'il n'est pas.
04/06/2013 à 20h03
Bouffon et troll: le libéralisme n'est pas le contraire du collectivisme.
Le libéralisme est basé sur la liberté qui nécessite propriété et responsabilité.
Le contraire est l'esclavage si tu veux, mais pas le collectivisme.
Les collectivistes d'ailleurs bouffonnent comme toi avec le mot liberté.
04/06/2013 à 20h06
Sinon, pour reprendre le fil de l'enflure fromagère, un très bon article de contrepoint de ce jour sur sa lâcheté fiscale qui traduit son racisme social: insulter les riches en disant "je n'aime pas les riches" et se comporter comme un petit minable quand il faut payer ses impôts. Il me rappelle mon ex beau père.
http://www.contrepoints.org/2013/06/03/126479-optimisation-fiscale-le-maitre-hollande-depasserait-il-leleve-cahuzac
04/06/2013 à 20h07
Un bon youtube sur Cahuzac et l'hypocrisie politique
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=lYZij-wnnmo
04/06/2013 à 20h12
C'est ancien (2011) mais on mesure à la lumière d'aujourd'hui combien la classe politique est pourrie, totalement pourrie pour avoir refusée de tous bords la signature des accords de Rubik: il faut choisir qui sera épargné
http://maviemonargent.info/2011/imposture-de-la-posture-la-france-ne-signera-pas-les-accords-rubik/
04/06/2013 à 21h26
ameli écrivait:
---------------
dans son excès, le
> libéralisme est le contraire du collectivisme. Donc, contre toute association,
> corporation, religion, groupe social, pouvoir local, commune, nation, syndicat,
> etc.
Autre petite piqure de rappel :
1864 : Une première loi reconnaissant le droit de grève est adoptée grâce au gouvernement du libéral Emile Ollivier, premier ministre et ministre de la justice.
1876 Le député libéral Edouard Lockro dépose une loi autorisant les syndicats et les conventions collectives. Mais elle est combattue pendant 8 ans par les socialistes et les bourgeois conservateurs.
1884 Les syndicats sont autorisés sur proposition du ministre libéral Waldeck-Rousseau.
1906 Le député libéral Gaston Doumergue dépose un projet de loi autorisant la création de conventions collectives. Cette loi est combattue par la CGT
( source: le libéralisme pour les débutants)
Edit: Pierre Marie René Ernest Waldeck-Rousseau, est un homme d'État libéral français. Il est célèbre pour avoir participé à la légalisation des syndicats (loi Waldeck-Rousseau de 1884) ainsi que la loi 1901 sur les associations ( source wikipédia)
05/06/2013 à 00h41
Je pense que l'avenir "proche" c'est la troisième révolution industrielle.
L'Allemagne a créé des milliers d'emplois en convertissant l'immobilier énergivore en immobilier "vert".
Sacré challenge mais je pense que la sortie de crise passera par une prise de conscience collective.
Nos politiques ont-ils la volonté "collective" ou tracent-ils chacun pour leur "pomme" ?
05/06/2013 à 01h40
Avec son quotient familial je me fais pigeonner de 1000 euros...et ça continue!!!
Je ne regrette pas d'avoir arrêté de bosser et de quitter ce pays l'année prochaine si tout va bien ...
Vive le socialisme!
on encourage les cas sociaux à faire des gosses pour vivre sans bosser et on décourage l'"élite" d'en faire en supprimant l'aide par le quotient familial.
Elle va être belle la France de demain.
En plus on va dire aux gosses des cas soces bercés par la télé, la malbouffe etc qu'ils sont des filles et des garçons à la fois ou au choix.
Quel bordel ce pays.
Elle va être belle la France.
05/06/2013 à 01h44
Sans compter le fait que le quotient familial avait déjà été diminué par ces mêmes bouffons en octobre 2012 ( de 300 et quelques ).
Bon courage à vous chers confrères pères de famille, vous serez toujours plus pigeonnés.
Vous êtes les méchants il faut vous prendre votre argent.
05/06/2013 à 06h30
Bouffon second vient de connecter un deuxième neurone.
Le Premier ministre a reconnu pour la première fois que le chômage ne pourrait baisser qu'à la condition que la croissance revienne.
http://lexpansion.lexpress.fr/economie/inversion-de-la-courbe-du-chomage-fin-2013-ayrault-met-une-condition_387503.html
05/06/2013 à 13h39
lezard écrivait:
----------------
> Autre petite piqure de rappel :
Très vrai, comme quoi les définitions "Droite" et Gauche" changent !... et le libéralisme change.
De même, Bastiat votait en général avec les socialistes, et Thiers le Versaillais était considéré de centre gauche et loué par Zola, qui était très à gauche. Les "libéraux" de l'époque" étaient classés à gauche : ils ne défendaient pas le capitalisme, ils défendaient la liberté.
Tu aurais pu citer aussi la loi de 1889, adoptée par un gouvernement républicain "de gauche", qui abolissait la vaine pâture et instaurait le droit de cloture, autrement dit le droit individuel de propriété devenait plus fort que le droit d'usage collectif d'envoyer brouter des vaches sur les pâtures inexploitées, ce qui allait à l'encontre de l'usage collectif de la paysannerie française. (oui, les paysans français pratiquaient activement le communisme sans le savoir, et cloturer un champ ou une pâture était considéré comme une incorrection égoïste nuisant au village entier)
En allant encore un peu plus dans le passé, la loi "Le Chapelier" qui interdisait le droit d'association (au nom de la priorisation de la liberté individuelle) était une loi libérale, et Le Chapelier était un Jacobin ! soupçonné de tendresse avec les révolutionnaires mous, il fut étété (c'est plus joli quand on marque la liaison)... Cette loi libérale fut abolie par le libéral Ollivier. Il y a des libéraux intelligents : ceux qui considèrent que la société n'est pas un ennemi de l'Homme. Ils sont devenus rares.