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Me too dentaire
27/04/2025 à 13h32
Non moi je me sens agressé par ceux ( hommes ou femmes) qui pensent que la justice ne sert à rien parce que eux, ils savent.
27/04/2025 à 14h40
bouboule écrivait:
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> Non moi je me sens agressé par ceux ( hommes ou femmes) qui pensent que la
> justice ne sert à rien parce que eux, ils savent.
Je crois que tu ne fais pas la différence entre un ordre professionnel et l'Amicale des pêcheurs à la mouche de Montcuq.
27/04/2025 à 14h54
Bouboule est à deux doigts de toucher le graal et de comprendre qu’il existe ici deux juridictions distinctes.
La déontologie n’attend pas que le pénal se prononce
Confondre tout, c’est souvent le premier pas vers dire n’importe quoi.
Mais rassurez-vous, ça finira peut-être par venir je l en crois capable lui.
Ps mon post croise celui d olieve
27/04/2025 à 15h25
Quel est la légitimité d’un confrère à juger d’une plainte à caractère pénal?
Un ordinal c’est quelqu’un comme moi. Un confrère élu par ses paires. Je n’ai AUCUNE compétence en droit, encore moins en droit pénal. Je le répète, si notre confrère est blanchie par la justice, l’ordre devra revenir sur sa décision…. Sauf à imaginer que le simple fait d’être dénoncé par 3 ou 4 personnes ( Elgy c’est combien le bon nombre?) suffise à contrevenir à l’obligation de déontologie et nuire à l’image de notre profession?
Que l’ordre juge ce qui concerne la profession et sa pratique ok, c’est bien normal. Casa n’avait pas a oublier sa garde ou à carotter le confrère en reprenant l’adresse gratos. Ça ok, ça concerne nos pratiques. Mais que l’ordre commence à s’imaginer une mission de droit commun…
Quels qualifications ont les confrères pour juger d’un acte relevant du pénal? Que l’ordre dise: untel a été condamné définitivement pour agression sexuelle par la justice, nous prenons acte en radiant définitivement le confrère ok. L’inverse fait froid dans le dos…
27/04/2025 à 15h35
Tu touches le fond Bouboule…
T’inquiète, t’as zéro risque… sauf peut-être de croiser une michtonneuse en quête de fortune. Cela dit, vu que tu roules en Tesla, c’est pas exactement le piège à minettes ultime… à moins que tu fasses ton marché du côté des EHPAD.
27/04/2025 à 15h53
ELGY écrivait:
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> Tu touches le fond Bouboule…
> T’inquiète, t’as zéro risque… sauf peut-être de croiser une michtonneuse en
> quête de fortune. Cela dit, vu que tu roules en Tesla, c’est pas exactement le
> piège à minettes ultime… à moins que tu fasses ton marché du côté des EHPAD.
Commentaire lunaire qui confirme tout le bien que je pense de toi…t’as vraiment le jugement facile, vla ty pas maintenant venir Elgy le sachant qui déduit de ta caisse la vie affective que tu mérites. En 3 lignes le cliché du mec qui attire les nana grâce à son pognon ( pas très féministe). Le cliché de la bagnole qui servirait, en fonction de la taille du moteur, d’arme de séduction massive ( pas très féministe) et enfin le jugement de valeur sur l’âge du partenaire ( un peu de gérontophobie ça fait pas de mal). T’es un vrai progressiste, y a pas à chier.
Et du coup j’attends toujours ma réponse, combien de témoignage il faut pour être coupable?
Tiens je finis avec tes mots : « Incapable d'aborder des sujets complexes autrement que par la violence ou l'injure. »
27/04/2025 à 16h00
Quelle bande de bras cassés.
https://www.relyens.eu/fr/newsroom/blog/quand-lordre-des-medecins-sanctionne-ce-quil-faut-savoir
Bah, voilà, hors déontologie, il faut une infraction pénale, et pour quelle existe il faut quelle ait été établie.
Tout ceci est effarant.
Et sinon, pour le sans couilles, la partie faible dans ce type d'affaire est clairement le praticien et non les accusatrices qui ne risquent strictement rien, même si tout ceci est établi faux, l'expérience des nombreuses affaires de ce type ont établi que d'éventuels faux temoignages ne portent à aucune conséquence. L'exemple de Bayou est le dernier, de notoriété public, en date.
Quant à la tribune, celles qui n'ont pu assumer le coût "politique et économique"de leur prise position ont retropedalé pour survivre professionnellement.
Quand le droit civil n'est plus là, c'est effectivement la loi du plus fort, et cela devient celle des plus laids ici présents.
27/04/2025 à 16h02
Tu n’as même rien pas compris l’humour. T’es en mode relou.
Il faut quoi pour te faire rentrer le règlement dans la tête ?
Après, si tu ne veux pas de juridiction ordinale qui pourrait te juger un jour, tu peux toujours changer de métier et faire…mécanicien…
27/04/2025 à 16h46
Bah, ainsi que je l'avais suggéré il y a quelques temps, dépasser deux mots pour un concept peut poser des soucis.
Nous parlons de l'existence factuelle de 'justice ordinale pénale', et pour certains deux mot suffisent et traduisent 'justice ordinale'.
27/04/2025 à 17h06
croc1765 écrivait:
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> Bouboule est à deux doigts de toucher le ...
ELGY écrivait:
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> Tu touches le fond Bouboule…
Ahh ... ahh ... 🤩🤩
27/04/2025 à 17h57
wakrap écrivait:
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> Quand le droit civil n'est plus là, c'est effectivement la loi du plus fort, et
> cela devient celle des plus laids ici présents.
Dixit le mec plus proche de l’âge du silex que celui du smart phone et qui prône la pendaison à ceux qui lui déplaisent .
27/04/2025 à 19h11
Bouboule
Est ce que l’ordre ne peut pas sanctionner des faits identiques à ceux qui, au pénal, constitueraient du harcèlement sexuel?.
Car Perso je pense que le terme harcèlement sexuel ne doit même pas être mentionné dans le rendu de la chambre disciplinaire car si c’est le cas rien ne serait plus facile en appel pour contester.
C’est l’article qui utilise ce terme .
Voilà le def légale du harcèlement
I. - Le harcèlement sexuel est le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle ou sexiste qui soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.
Voilà d’après l’article les conclusions de l’ordre
Dans sa décision, la chambre disciplinaire parle "de manquements à la déontologie dentaire qui justifient la peine, eu égard à leur nature, leur gravité et leur répétition". La juridiction professionnelle estime que le docteur "ne s'est à aucun moment préoccupé du choc émotionnel et des traumatismes qu'il pouvait infliger par ces manquements aux assistantes dentaires".
27/04/2025 à 19h38
comparativement, la position de l ordre face a la dentiste neo-nazi de lyon en 2020:
27/04/2025 à 19h48
Croc, je n’ai absolument aucun problème avec l’idée que l’ordre sanctionne durement ce type de comportement, bien au contraire. Je dis juste que le timing n’est pas le bon.
Par sa décision l’ordre a prononcé la mort professionnel du confrère. Sans doute aussi sa faillite s’il a par exemple des prêts personnels sur le dos. S’il a une famille à charge, l’ordre a aussi détruit celle-ci.
Excuse moi de penser que vu les enjeux, l’ordre aurait été bien inspiré d’attendre le jugement définitif rendu par ceux dont c’est le métier.
Imagine une seconde qu’il soit blanchi… c’est peut être moins probable que l’inverse, mais encore une fois pas impossible.
En tant que dentiste je me sens capable de juger d’un boulot dentaire ( et encore je n’ai pas de formation d’expert). Par contre juger d’une affaire à caractère pénale, même pas en rêve.
27/04/2025 à 20h16
L’ordre n’a pas pour mission d’attendre qu’un juge pénal se prononce : il agit pour protéger la profession et ceux qui nous font confiance.
Le confrère n’a pas été « détruit » par l’ordre ; il s’est détruit lui-même en trahissant les exigences élémentaires de notre métier. L’impact sur sa vie personnelle, aussi tragique soit-il, découle directement de ses propres actes.
Attendre une décision pénale reviendrait à tolérer, dans l’intervalle, qu’un professionnel gravement compromis continue d’exercer en continuant son harcèlement . C’est inacceptable.
La profession repose sur l’exemplarité. Celui qui s’en écarte gravement ne peut pas attendre d’elle une indulgence coupable.
Il ne s’agit pas de juger pénalement, mais d’assumer notre propre devoir d’intégrité sans faiblesse. C’est une juridiction ordinale. Tu confonds tout…
Le président de la chambre disciplinaire de première instance est un magistrat (article R. 4126-7 du CSP).
Je vais te le remettre car tu n’as pas compris:
https://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/wp-content/uploads/2024/09/ONCD-LA-LETTRE-216-v2.pdf
27/04/2025 à 20h39
Hokusai écrivait:
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> bin la preuve il a fait appel et il continue de travailler...
Seul…
27/04/2025 à 21h54
Il comprends vite mais il faut lui expliquer longtemps et puis tu comprends il est traumatisé parce que ses voisins lui avait fait une mauvaise réputation et qu'il était blanc comme neige ,donc voilà , qui sommes nous pour juger ce cher confrère , et quoi ,comment peut-on enlever le droit de faire ce noble metier pour des trucs qui ne sont même pas vérifiables ? il n'a mutilé aucune dent ? et en plus il se dévoue pour bosser dans des patelins paumés : quelle injustice , quelle indignité .... N'empêche le gars il va devoir revendre sa Porsche ( et je ne plaisante pas ..) et se refaire une dignité vis à vis de sa femme et de ses enfants ! c'est dur , très dur mais tu as raison Elgy , il s'est condamné tout seul . et effectivement , il me semblait bien qu'il y avait un magistrat dans le lot mais c'était il y a longtemps !
Heureusement PP veille
27/04/2025 à 22h00
Bouboule
Il faut donc refaire la loi
Conseil d’Etat dans une décision du 30 décembre 2014.
« Le juge disciplinaire ( comme l’indique elgy est un magistrat administratif article R. 4126-7 du CSP)peut se prononcer sur une plainte sans attendre l’issue d’une procédure pénale en cours concernant les mêmes faits. Si le juge disciplinaire peut décider de surseoir à statuer, lorsque cela paraît utile à la qualité de l’instruction ou à la bonne administration de la justice, il n’est pas tenu de le faire. »
Donc La juridiction disciplinaire peut mais n’a PAS à attendre le jugement pénal .
Voilà c’est clair
27/04/2025 à 22h07
casa écrivait:
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> N'empêche le gars il va devoir revendre sa Porsche ( et je
ne plaisante pas ..)
Ah, une Porsche… Comme quoi tout n’est pas encore perdu. Il a bon goût. Si tu m’avais parlé d’une Tesla, j’aurais poliment souri en pensant très fort : « encore un dragueur d’EHPAD »
27/04/2025 à 22h12
croc1765 écrivait:
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> Bouboule
> Il faut donc refaire la loi
> Conseil d’Etat dans une décision du 30 décembre 2014.
> « Le juge disciplinaire ( comme l’indique elgy est un magistrat administratif
> article R. 4126-7 du CSP)peut se prononcer sur une plainte sans attendre l’issue
> d’une procédure pénale en cours concernant les mêmes faits. Si le juge
> disciplinaire peut décider de surseoir à statuer, lorsque cela paraît utile à la
> qualité de l’instruction ou à la bonne administration de la justice, il n’est
> pas tenu de le faire. »
> Donc La juridiction disciplinaire peut mais n’a PAS à attendre le jugement pénal
> .
> Voilà c’est clair
Ce à quoi je te réponds ce que j’ai déjà écrit plus haut : « Excuse moi de penser que vu les enjeux, l’ordre aurait été bien inspiré d’attendre le jugement définitif rendu par ceux dont c’est le métier. »
Casa et Elgy vous êtes vraiment bizarres avec vos fixettes sur les bagnoles…
27/04/2025 à 22h19
'Tain fait chier , peux plus rien fair' 😞
C'était mieux avannnt 👨🦳
Ce monde est foutu 😭