Cookie Consent byPrivacyPolicies.comLa COP 21 démarre sur les chapeaux de roue ! - Eugenol

La COP 21 démarre sur les chapeaux de roue !

Utilisateur banni

04/01/2016 à 20h11

Rien à voir avec une quelconque morale. Tu mélanges la notion de "c'est bien" avec la notion de réalité.
Ensuite, tu est tellement englué dans tes certitudes que pour toi, ceux qui s'expriment parlent de sujets qu'ils ne connaissent pas du simple fait qu'ils ne pensent pas comme toi. Le libéralisme sauce Wakrap n'est pas le libéralisme.

Les contre arguments, tu ne les entends jamais, de qui que ce soit, mais tu désespères qu'il n'y en ait pas. Orobouros !
Sais tu ce que c'est qu'un libéral au juste ? Il ne semble pas.


Utilisateur banni

08/01/2016 à 17h02

Tiens, un cours d'économie de base en neuf minutes : "Spéculation et épuisement des ressources énergétiques".
http://www.pauljorion.com/blog/2016/01/07/nicefuture-15-paul-jorion-comment-la-speculation-nuit-a-leconomie-a-lausanne-juin-2015/

Plus de la moitié de l'activité financière c'est de la spéculation. Ce n'est pas une question de morale ni d'éthique, on ne peut tout simplement plus se le permettre.
Nous utilisons 1,6 planète chaque année. Au temps de Condillac évoqué par quelqu'un plus haut, avec sept cent million d'habitants, ils avaient encore des réserves, ce qui n'est plus le cas.

Nous avons greffé notre économie sur un grand casino mondial.
La spéculation permet de faire des paris. Un prix spéculatif est un prix qui n'est pas allé se placer au bon endroit et c'est à chaque fois le contribuable qui paye. C'est la ponction de la finance sur l'économie.


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wakrap

09/01/2016 à 00h40

Guady écrivait:
---------------
> Rien à voir avec une quelconque morale. Tu mélanges la notion de "c'est bien"
> avec la notion de réalité.
> Ensuite, tu est tellement englué dans tes certitudes que pour toi, ceux qui
> s'expriment parlent de sujets qu'ils ne connaissent pas du simple fait qu'ils ne
> pensent pas comme toi. Le libéralisme sauce Wakrap n'est pas le libéralisme.
>
> Les contre arguments, tu ne les entends jamais, de qui que ce soit, mais tu
> désespères qu'il n'y en ait pas. Orobouros !
> Sais tu ce que c'est qu'un libéral au juste ? Il ne semble pas.



Donc ta réponse à ma demande d'exemple de contre argument est au dessus.

J'ai beau chercher je ne vois pas un seul argument, rien que des attaques et pétitions de principe.

Quant à : "Rien à voir avec une quelconque morale. Tu mélanges la notion de "c'est bien"
> avec la notion de réalité".
Ah, exemple?

Je n'ai pas parlé de morale mais de raisonnement de ta part consistant à juger les choses sur leur but et finalité et non sur le fait que les règles sont respectées ou non (en gros DDH 1789).


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wakrap

09/01/2016 à 00h42

Guady écrivait:
---------------
> Tiens, un cours d'économie de base en neuf minutes : "Spéculation et épuisement
> des ressources énergétiques".
> http://www.pauljorion.com/blog/2016/01/07/nicefuture-15-paul-jorion-comment-la-speculation-nuit-a-leconomie-a-lausanne-juin-2015/
>


J'ai coupé le reste du message qui consiste à reprendre les bêtises de Jorion. Je viens donc de passer donc 9 mn la tête entre les deux mains, triste et pathétique.

Il semblerait que tu ne sois pas au courant et depuis l'université a même porté plainte contre lui tellement il est nul: https://www.liberaux.org/index.php/topic/52711-paul-jorion-vir%C3%A9-de-la-vub/

On ne va pas tirer sur une ambulance.


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wakrap

09/01/2016 à 00h59

Sinon son discours que tu reprends est basé sur une prémisse fausse: on consomme 1.6 planète. C'est simplement faux et n'a pas de sens car toujours ce refus de prendre en compte ce qu'est une ressource, ce n'est pas un objet mais le fruit d'une action humaine qui peut se déplacer d'objet et qui se déplace dans l'histoire des hommes et de leurs inventions en fonction de choix et d'opportunités.
Ceci résumé dans cette fameuse phrase: "l'âge de pierre ne s'est pas terminé par manque de pierres" et pourtant on consommait selon le calcul 1.6 bien plus de 1.6 planète en pierre à l'âge de pierre.(on en consommait bien plus que la planète n'en fabriquait chaque année).

Il ne sert à rien de continuer à asséner encore et toujours cette prémisse fausse de la fin des ressources, cela a toujours été montré faux, toutes les prévisions à ce sujet ont toujours été fausses.

Bien mieux écrit ici : http://h16free.com/2012/11/25/18781-si-nous-vivions-tous-comme-les-americains-il-faudrait-4-planetes


Utilisateur banni

09/01/2016 à 02h51

Mais oui bien sûr, il lui est arrivé la même chose quand il lançait l'alerte de la crise des subprimes. On l'a pris pour un illuminé mais c'est pourtant bien arrivé et c'était un des rares à l'avoir prévu. La finance ne s'en est jamais réellement remise. Nouvelles bulles à l'horizon.

L'histoire de l'université, viré pour motif de ne pas bien parler anglais alors qu'il parle mieux anglais que français, a enseigné à Cambridge, a vécu 20 ans dans les pays anglophones ... Les lanceurs d'alerte dérangent tout simplement, surtout quand ils sont lucides.
Mais bref, là n'est pas le sujet.

Quant à tes définitions des ressources et de la spéculation, je ne sais pas où tu vas chercher ça, mais ça n'a pas de sens.
.............

Je viens de lire l'article en lien que tu signales et je reprends la conclusion qui est d'une bêtise sans nom. Parfois il vaut mieux s'abstenir, on ne peut pas raconter n'importe quoi à propos de la science de l'environnement. Quant à la guerre des ressources que tu ne comprends pas, tu finiras bien par t'en rendre compte malgré toi.

Je cite ces âneries :
" ce dont l’humanité a le plus besoin, c’est d’énergie. Et cette énergie existe, en quantité infinie au regard de ce dont l’humanité a besoin (que ce soit le charbon, le pétrole, le gaz, le nucléaire, le solaire). Le travail pour aller la chercher, l’exploiter, la rendre utilisable est grand, mais il l’est d’autant moins qu’on sera nombreux pour le faire, intelligemment organisés, et correctement formés. Et les défis futurs sont là, et non dans une hypothèse malthusienne tant de fois démontée."


Utilisateur banni

09/01/2016 à 07h41

wakrap écrivait:
----------------

> Ceci résumé dans cette fameuse phrase: "l'âge de pierre ne s'est pas terminé par manque de pierres"

"L’âge de pierre ne s’est pas terminé par manque de pierres, et l’âge du pétrole se terminera bien avant que nous ne manquions de pétrole"
Sheikh Yamani, ministre saoudien du Pétrole de 1962 à 1986.


http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/l-arabie-saoudite-veut-devenir-le-leader-mondial-des-energies-renouvelables-486406.html


Pa050055 igyagy - Eugenol
mark

10/01/2016 à 19h09

Voir la fiction "Occupied" après avoir noté que la Norvège anticipe l'après-pétrole en privilégiant l'exportation en direction des abrutis qui ne misent que sur cette ressource.

Le libéro-capitaliste n'intègre pas la notion d'épuisement de quelque ressource que ce soit car il se nourrit de spéculation pour engranger ses valeurs et qu'après lui le déluge.

Rien à foutre de ceux qui sont exposés aux conséquences des fluctuations du marché des matières premières et de la surproduction, puisqu'il vit dans un temps court, celui de sa courte et petite vie de merde enrubannée d'or.


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

11/01/2016 à 17h58

https://reflets.info/climat-des-voix-scientifiques-contre-lemballement-politique/


"........


Le consensus scientifique asséné par le GIEC commence à agacer des climatologues pourtant engagés de longue date dans la défense du caractère anthropique du réchauffement/changement climatique. L’un d’entre eux est Judith A. Curry :

Judith A. Curry est une climatologue américaine, présidente de la School of Earth and Atmospheric Sciences (École des sciences de la Terre et de l’atmosphère) au Georgia Institute of Technology. Ses domaines de recherche comprennent les ouragans, la télédétection, les modèles atmosphériques (en), le climat polaire, les interactions air-mer et l’usage de drones pour les recherches sur l’atmosphère. Elle est membre du Comité de recherche climatologique (Climate Research Committee) du Conseil américain de la recherche1.

Judith Curry est coauteur du livre Thermodynamics of Atmospheres and Oceans (1999) et coéditrice de l’Encyclopedia of Atmospheric Sciences (2002). Elle est également auteur ou coauteur de plus de 140 articles scientifiques. Au nombre des distinctions dont elle a été honorée figure le Henry G. Houghton Research Award, qui lui a été décerné par la Société américaine de météorologie en 1992. (Source : wikipedia)

Judith A. Curry est intervenue en avril 2015 au Congrès américain pour apporter ses doutes sur l’emballement politique en lien avec le caractère anthropique du changement climatique. En tant que scientifique, madame Curry ne peut plus cautionner le discours du GIEC sur les causes de ce réchauffement — qui n’augmente quasiment plus depuis 1998 — par les gaz à effet de serre dont au premier chef, le CO2.

Résumé de son intervention (traduction originale sur http://pensee-unique.fr et vidéo originale en fin d’article) :

Le changement climatique anthropique est une théorie dont le mécanisme de base est bien compris mais dont l’amplitude est hautement incertaine. Nous savons que le climat évolue naturellement sur des échelles de temps allant de décennies aux siècles mais nous n’avons pas d’explication pour un grand nombre de variations répertoriées au cours de l’histoire ou vues dans les données paléo-climatiques. Ces dernières incluent le réchauffement de 1910 à 1940, le refroidissement de la moitié du 20e siècle et les hiatus observé au début du 21e siècle. Les désaccords au sujet du changement climatique résultent de l’incertitude reconnue au sujet de la variabilité naturelle du climat.

Les projections des modélisations du climat pour le 21e siècle voient leur crédibilité s’amenuiser à cause de :
• L’échec des modélisations dans la prédiction du hiatus du réchauffement de la surface au début du XXIe siècle.
• L’incapacité de simuler l’organisation et le timing des oscillations océaniques multidécennales.
• L’absence de la prise en compte des variations solaires futures et des effets indirects du soleil sur le climat.
• L’apparente exagération de la sensibilité vis à vis de l’augmentation des gaz à effet de serre.

.............."


Bon désolé, mais c'est un site très à gauche.


Utilisateur banni

11/01/2016 à 18h22

Mais oui, il faut dépasser ce besoin de pointer systématiquement du doigt un coupable (comportement très typique de l'humain : il faut un bouc émissaire quand on ne maîtrise plus la situation. Là où excellent les politiques de tous bord avec leur pseudo démocratie qui bat de l'aile depuis longtemps).
Raisonnablement, on sait tous que l'on doit changer de comportement, et plus globalement, changer de paradigme car tout est lié. Mais les dérives sont autant du côté des climato sceptiques forcenés, que de leurs opposants, GIEC et autres.


Capture d  cran 2015 03 12 12.28 - Eugenol
chicot29

11/01/2016 à 18h38

mark écrivait:
--------------
> Voir la fiction "Occupied" après avoir noté que la Norvège anticipe
> l'après-pétrole en privilégiant l'exportation en direction des abrutis qui ne
> misent que sur cette ressource.

Non, c'est pas pour ca c'est pour financer son régime socialiste. -)))

les abrutis qui misent sur le renouvelable, en plus de se retrouver dans la merde comme les autres à la fin du pétrole le seront doublement les poches vides.
Tu peux m'expliquer pourquoi les apotres des énergies renouvelables bombardent l'ambassadeur d'Arabie saoudite président du panel du conseil des droits de l'homme ? Hein ?

http://www.valeursactuelles.com/monde/lambassadeur-de-larabie-saoudite-nomme-president-du-panel-du-conseil-des-droits-de-lhomme-de


Utilisateur banni

26/04/2016 à 14h13

EDF et la dérive nucléaire en quelques lignes de synthèse.
La France est confrontée à l'ébranlement de l'un de ces secteurs d'excellence, l'électronucléaire, avec la terrible crise financière et technologique qui secoue à la fois Areva et EDF.
Devenu le numéro un mondial de ce secteur dans les années 70-80, notre pays se retrouve soudain avec deux entreprises écrasées sous le poids des dettes et menacées de perdre pied dans une compétition mondiale qu'elles écrasèrent longtemps de leur puissance et de leur savoir-faire.

Au début des années 90, Areva se lance seul dans la construction en Finlande d'une centrale de nouvelle génération, l'EPR.
Près de 25 ans plus tard, l'EPR n'est toujours pas en service. Plus de neuf ans de retard et des charges financières qui mettent Areva à genoux. La leçon aurait dû servir. Non, on continue avec EDF qui, forte de ses 58 centrales nucléaires, se lance dans la construction d'un EPR à Flamanville en France. Nouveau désastre: retard, échec technologique, dépenses considérables. En outre, on part à la conquête du monde, on investit à tour de bras, tandis que se succèdent des présidents d'EDF plus politiques qu'industriels...

La politique a pris le pas sur l'industrie et l'économie.
Et la catastrophe arrive: 37 milliards de dette aujourd'hui, une filière en panne technologique qui n'a plus de carte de visite puisque les réacteurs EPR en construction ne fonctionnent toujours pas. Des retards qui continuent à s'accumuler. Un Etat qui, durant toute cette période, prend ses dividendes d'actionnaire -20 milliards d'euros!- pour combler ses propres trous et laisse faire...

La France doit relever l'énorme et coûteux défi de mise aux normes des centrales existantes (de 50 à 100 milliards d'investissement).
Les décisions ne sont-elles pas purement prises dans une perspective électorale?
Peut-on avoir confiance après tant d'année d'errements? Certes, Emmanuel Macron tient des propos rassurants sur cette opération mais tout reste à démontrer: si EDF échoue, les coûts seront énormes et cette industrie plus qu'en danger.
...................
Plongée au coeur de Tchernobyl, 30 ans après
Les photos de la désolation. Le Césium 137 mettra 300 ans pour disparaître presque complètement. Cela explique bien pourquoi la zone reste désertée aujourd'hui.
http://www.lepoint.fr/monde/plongee-au-coeur-de-tchernobyl-30-ans-apres-26-04-2016-2034956_24.php