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CCM antérieures en surcontour à refaire
01/06/2018 à 20h25
oui il m 'en fait encore , ce qui est beaucoup moins bien que les armatures fraisées .
02/06/2018 à 07h08
junior® écrivait:
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> Le Vulpi il nous a même raconté une fois qu’il s’etait Tapé la voisine de palier
> de son cabinet ou de son appartement (m’en rappelle plus) . Je me rappelle plus
> de l’histoire. Mais si on est gentil avec lui peut être qu’il peut nous la
> raconter à nouveau :))) ou je sais plus si c’est la voisine mais bon c’etait
> bien rigolo à lire :))
ça doit être ça, c'est long pour une histoire de 3/4 mois, il y a une suite, je laisse ce week end. C'est le texte brut, j'ai pas relu.
C'est la suite qui est rigolote et authentique :-)) voir le post suivant.
« Dis-moi Christophe, tu te souviens de Virginie ? »
« Virginie, ton ex ? Oui, bien sûr. Tu as des nouvelles ? »
« Houlà non ! Ça date nous étions étudiants, l’époque de la coloc. »
« Et du kart ! »
« Et du kart ! C’était chouette »
« Virginie aussi elle était chouette, même très très chouette. Tu te faisais pas chier mon salop ! »
« Faut reconnaitre, j’étais bien servi, aussi canon que givrée ! C’est fou tous les copains que j’avais… invité de partout… ça ouvre des portes, y a pas à dire. J’ai mis du temps à comprendre que c’était pour se la croquer dans mon dos. Comme elle faisait des journées porte ouverte Virginie, y a du avoir quelques heureux… Enfin passons. »
« Et alors Virginie ? »
« Virginie… Ah oui, la coloc, les études, presque 25 ans… C’qu’est bien, c’est que toi et moi on a pas trop changés, parce que les autres, pardon… tapés de chez tapés ! Des vieillards. Tiens à l’ADF, je fais semblant de pas les reconnaitre, c’est mieux pour tout le monde. »
« J’ai mis du temps à comprendre pour virginie… je te l’ai jamais dit, mais les journées porte ouverte… les extras… tiens un jour elle m’a ramené des parasites, oh pas gênée la fille,
- Le docteur a dit qu’il fallait que l’on prenne ça, tous les deux, un traitement de trois semaines, et des préservatifs… fallait être con ou amoureux, ou les deux à la fois.
Enfin, comme elle avait des horaires décalés, c’était bien pour réviser tranquillement. Mes examens c’est un peu grâce à elle, jamais là avant 23heures, avec le recul je me pose des questions… Elle était sympa cette coloc, la salle à manger, le salon, en bas. Nous étions six, deux couples, deux célibataires. A l’étage, il y avait nous, et juste en face Isabelle, qui est arrivée vers la fin. Elle était timide cette Isabelle, avec Virginie elles ont sympathisé, c’était sympa, on faisait des soirées Playstation, je jouais de la guitare, c’était ma période Morrison, j’avais une dégaine !
Après le diplôme on est restés. Je révisais plus, finalement quand on est habitué, ça manque presque. En attendant Virginie, le soir, on s’est mis à faire des grandes sessions jeux vidéo, ou magnétoscope avec Isabelle… Mais alors en toute innocence. Le plus marrant, quand on entendait le bruit de la voiture de Virginie. Isabelle retournait dans sa chambre… La peur de déplaire.
C’était simple à l’époque, collaboration, karting, Virginie. Argent facile, soirées, que du bon. Ce qui est fou c’était que je bossais le samedi, dernier patient 20 heures, avec le retard ça faisait du 21 heures 30 facile, plus personne le fait aujourd’hui. Déjà bosser le samedi… après ils se plaignent de rien gagner…
Et puis il y a eu cette soirée. Jour de l’an ? Je ne sais plus. On avait dû ce fritter avec virginie parce qu’on était chacun de notre côté. Dans une pièce il y avait un petit groupe, et une guitare électrique, il y avait aussi isabelle… alors elle est venue m’écouté jouer, mon seul et unique morceau, « hell’s bells ». Elle était habillée avec une robe que lui avait passé une amie, pour le coup ce devait être une vrai amie, parce que la robe… comme un gant… Je ne l’avais jamais envisagé avec ces yeux là… Une drôle d’idée… Un truc qu’on sème et qui pourrait bien germer.
Et puis c’est tout… la vie… la routine… les soirées Playstation… rien de changé… juste plus de plaisir à regarder Isabelle, et le besoin de faire le beau… plus de bavardage… c’est fou tout ce que l’on avait à se raconter… et puis le bruit de la voiture de virginie, retour dans sa chambre… RAS. La vie de couple habituelle.
Six mois comme ça, à se croiser à trois, rien ne bouge… Y a un truc, quand tu joues trop à la console, tu as la nuque raide, en tout cas isabelle ça lui faisait ça. Mon idée ça a été les massages. Alors on a de moins en moins joué, et j’ai de plus en plus massé. Relevé ses longs cheveux bruns, et massé cette nuque, cette peau dorée, longuement, en débordant sur les épaules, effleurant les bretelles de son soutien-gorge. Le tout réchauffé par mon souffle. Et puis la voiture de virginie, hop séparation… « Devoir conjugal »… Une petite vie pépère et bien innocente… Rien à me reprocher finalement. Et puis ce qui était pratique c’est que c’était juste à côté.
Et là le truc pas croyable, isabelle a eu un accident de voiture, une dent de cassée, réparée par bibi et puis quelques courbatures, alors forcément les massages… mais différents, à l’horizontal, allongé sur notre lit, celui de virginie et moi. Dire Strait en fond sonore, pas de lumière et des massages de la nuque et du dos. Nous étions en juillet. La lumière déclinante, brother in arms, les massages, plutôt des caresses pour être précis, le soutien-gorge, la barrière de la ceinture du pantalon en bas, et un dos joliment musclé. Cela fait un bien fou ! Et à tout le monde ! J’avais la trique, mais comme je suis un garçon sérieux pas de ça, c’était pour rendre service en quelque sorte. En plus en juillet virginie rentrait plus tard, nouveaux horaires, minuit, dès fois une heure, alors forcément fallait bien s’occupé en l’attendant.
Ça la détendait bien isabelle, alors en plus du dos on a fait le ventre, la musique planante, la chaleur des nuits d’été… je me demande bien à quoi je pensais. Mais attention ! Le tout de façon respectueuse, en contournant le soutien-gorge, et puis toujours la barrière de cette ceinture du jean… Comme elle respirait amplement mes doigts pouvaient un peu se glisser dessous, pour caresser plus amplement le bas de son ventre, c’était une douce torture que de résister à la tentation, j’adorais lui faire ça, j’aurais aimé plus… bien plus… mais quand on est un type bien, fidèle, il y a des limites à ne pas franchir.
C’était la belle vie ! Vraiment j’aimais bien. Entre mes deux filles c’était un peu plus froid. Pour une raison que j’ignorais isabelle faisait la tête à virginie. Enfin isabelle est partie en vacances, pendant un mois j’ai connu les tourments de la jalousie, et si elle rencontrait quelqu’un en mon absence. D’un autre coté ce qui était bien, c’est que pour le coup j’étais un type bien, avec rien de rien à me reprocher.
Ce fut un mois d’aout tranquille, calme, normal, il a fait beau… C’est pas que je me suis ennuyé, mais… attendre le soir tout seul devant sa télé, c’est… calme. Ça me travaillait de pas pouvoir surveiller isabelle, si en revenant elle m’annonçait le grand amour, et son départ. Bien sûr il n’y avait rien entre nous, et puis au final cela aurait peut-être été plus simple, plus sain… Je dois l’avoué j’étais un peu attiré, amoureux ? Non quand même, j’étais un type bien avec une copine canon. Tout le monde m’enviait,
« c’est ta copine ? Toi ? Mais comment tu fais ? »
Ben je ferme ma gueule quand elle me fait chier, et en ce moment, je sais pas pourquoi, c’est souvent. Une sorte d’entre deux.
Septembre.
C’est toujours ballots les retrouvailles, surtout dans notre situation. Bises, banalités, ni isabelle ni moi n’osant aborder la vrai question.
Les premières soirées furent chacun de son coté, à guetter les bruits, l’occasion de se croiser dans le couloir, l’occasion tout court.
Et puis forcement l’occasion arrive, discuter des vacances, de notre vie, de tout. Ça on savait faire. Ne pas aborder les sujets qui pourraient fâcher, de part et d’autre. Et puis… Elle est là assise dans un fauteuil… effleurer ses cheveux… sa joue… sa nuque … mon cœur qui bat plus vite… du plaisir… la voiture de virginie… et puis c’est tout. Merde j’aurais dû m’y mettre plus tôt. Une autre fois qui sait.
C’est long une journée quand on attend le soir pour retrouver une amie, attention pas une petite amie, loin de là ! Bien que, à la réflexion, un air de famille. Il y avait tout de même quelque chose qui m’échappait.
Le lendemain forcement ce fut plus « rapide ». Séquence relaxation horizontale, massage, soutifs, ceintures, et nouveauté Rolling stones, Angie c’est sympa, et le must Led Zeppelin, stairway to heaven, le truc qui tue. Mais toujours dans le plus grand respect d’isabelle et de virginie. Des caresses pour la détente. Et pour ne pas attraper de crampes je m’allongeais de plus en plus contre elle. Quand on y pense, c’est beau d’être fidèle et respectueux. Une situation pareille aurait pu vite dérapée. Ah oui ! Un autre truc, à force d’être détendus, le risque c’était de somnoler. S’endormir ainsi aurait pu prêter à interprétations.
Isabelle semblait apprécier ces instants, elle ne demandait rien de plus, les yeux clos, elle se détendait. Vraiment c’était très bien. Et puis la voiture… Et à demain… Une vie bien réglée en quelque sorte.
Un détail, oh rien, isabelle n’avait pas encore dix-huit ans, j’en avais vingt-huit. Rien de grave, elle avait la majorité sexuelle, mais pas la majorité tout court, elle était là pour ses études, et rentrait le week-end chez sa mère. Et c’était plutôt bien le coup du dimanche, vu que virginie ne travaillait pas ce jour… Je sais même pas pourquoi je pensais à tout cela.
Le lundi retrouvailles, isabelle faisait la tronche parce que j’avais passé le dimanche avec « l’autre » et probablement fait bien des choses… Soirée pas facile, il fallait à nouveau l’apprivoiser, recréer le contact, les cheveux, la joue… le lit. Et puis la peur qu’elle ait trouvée ailleurs. Ailleurs que quoi ? On avait pour ainsi dire rien fait. Que c’était excitant. Je ne savais pas où j’allais mais s’était bon de se laisser porter par les flots, mollement, passivement. Il finirait bien par ce passé quelque chose, bien ou mal. Et puis deux femmes dans sa vie, c’est plaisant, surtout quand il n’y a que le couloir à traverser. J’avais un peu de peine pour virginie, mais pas tant que ça, il ne s’était rien passé de sexuel, ce n’était pas joli joli, mais rien de grave, un jeu, une bonne blague. Non l’important c’était qu’elle n’en sache rien, elle se serait imaginée je ne sais trop quoi. Le scandale. Le drame probable vu qu’elle était caractérielle. Oh mais c’est vrai ça, il y avait danger, pas se faire gauler, elle y aurait pas cru au coup des massages. Tout de suite elle aurait imaginé des saloperies, des coucheries. Les femmes sont ainsi elles imaginent n’importe quoi.
Bon on va faire attention, surtout que dans la coloc il n’y avait pas que nous, alors les portes qui s’ouvrent, les chuchotements, il y avait matière à suppositions. Les gens sont tellement médisants, toujours prêts à faire du mal. Gaffe donc.
Là, avec isabelle nous avons innové, de temps en temps j’allais lui rendre visite dans sa chambre. Un jour chez toi, un jour chez moi, enfin nous, puisqu’à bien y compter nous étions au moins deux. J’aurais même dis trois, mais pas aux mêmes heures. Je commençais sérieusement à me demander où j’allais.
Cela avait un inconvénient, et de taille, de sa chambre on entendait beaucoup moins bien arriver la voiture de virginie. De la nôtre il suffisait de laisser entrebâillée la fenêtre, et comme je fumais à l’époque… forcément la nécessité d’aérer, c’était pratique.
Mais cela avait un énorme avantage, isabelle me recevait en chemise de nuit, en dessous elle ne gardait que sa culotte. Elle se mettait sur le ventre et j’avais toutes latitudes pour la détendre des pieds à la tête, à l’exception des quelques centimètres carrés de tissu formant le dernier rempart de l’innocence de notre histoire. Il y avait là aussi de la musique douce, j’étais bien. Honnêtement je ne me pensais pas capable de tant de résistance, et oui ne pas avoir glissé jusque-là, la grande classe !
Virginie fumait, comme moi. Plus même ! Et pas que du tabac. C’était au poil, parce que cela affectait son odorat. Pour une raison mystérieuse isabelle avait tendance depuis peu à choisir des parfums assez puissant et très reconnaissable.
Il y avait un truc, une question. Forcément. Je suis lent, j’aime rendre service, détendre, mais tout même, c’était pas un peu anormale cette histoire d’amitié ? Chez vous c’est comme ça ?
Enfin voilà, comme à la fin d’une longue et chaude journée on a soif, là on avait comme des idées, des envies…
Un soir où je jouais en extérieur, dans sa chambre donc, je saurais dire comment, mais à force de lui caresser le dos, je me suis retrouvé avec un sein dans ma main… C’était sympa, juste la taille, une bonne sensation. Pourquoi j’ai dit ça, dès fois tu te demandes,
« Ne pense pas que je vais quitter Virginie pour toi… », Et je suis retourné dans ma chambre. Alors là, j’ai l’habitude de faire des trucs illogiques, mais là ! Qu’est-ce qui m’a pris ? Pourquoi, la peur ? Mauvaise conscience ? L’envie de rester un type bien ? Ça je ne crois pas.
Enfin voilà, malgré tout j’étais à nouveau un mec admirable, fidèle et tout et tout, avec une Virginie canon, et tant à mon goût… cela valait bien quelques sacrifices.
Bon, le lendemain j’étais moins sûr, et le surlendemain, bin… les avirons pour rattraper le coup. La vie à trois au final… pas si mal.
C’est pas facile, expliquer que finalement c’était pas si catégorique que cela… que peut-être… un jour… au final… enfin peut-être quoi, autant continuer nos petits rendez-vous bien innocent, le temps de … réfléchir, quoi de plus naturel.
Pas facile, papoter, renouer le contact, la kinésithérapie, les bonnes habitudes, enfin faut croire qu’Isabelle voulait bien encore m’accorder son amitié. J’étais heureux.
C’était très rapproché comme massage, du body body, mais moyennement dénudé, et oui les convenances tout de même, une histoire d’amitié. Pour pimenter le tout on avait ajouté des petits bisous, trois fois rien, une manière de se dire bonjour, le cou, les paupières, la nuque, mais pas la langue, ça ne portait pas à conséquence, rien d’anormal.
02/06/2018 à 07h10
Il y avait une suite, texte brut... pas de corrections, ponctuation aléatoire...
A suivre… la suite .
Résumé : l’honnête Philippe Renar vit en colocation avec la jolie Virginie. Pour des raisons professionnelles Virginie rentre le soir entre 22h30 et 1h du matin. Par le plus grand des hasards la voisine de palier de Renar et Virginie, la belle Isabelle est tout à fait disponible pour venir jouer aux jeux vidéo sur ce créneau horaire. A la suite de circonstances malheureuses, et bien malgré lui, le pauvre Renard se retrouve quasi obligé à avoir des relations intimes avec Isabelle, les femmes quand elles ont un truc en tête, on finit toujours par y passer.
C’était bien organisé au final, Isabelle venait pour papoter et puis en fonction des vents souvent favorables, et pour ne pas la contrarier, bah je cédais à ses avances, oh avec des remords, j’étais rongé par un fort sentiment de culpabilité.
Quand on entendait arriver la voiture de Virginie, hop ! Isabelle quittait le lit, traversait le palier et retournait chez elle. C’était pas à faire, mais finalement, nous n’étions que deux au courant, cela ne faisait de tort à personne. Une sorte de coutume et puis voilà !
Enfin bien organisé… faut voir… depuis quelques temps Isabelle rechignait à retourner chez elle. Elle trainait, franchement je vois pas bien ce qu’elle cherchait, c’était comme ça, c’était comme ça ! J’allais pas changer toutes mes habitudes, et puis la peine que cela aurais fait à Virginie. Et oui ! Faut y penser à ces trucs ! Non, le mieux, pour tout le monde, c’était de continuer ainsi. Tant pis je prendrais sur moi. On s’y habitue à voir double.
Et puis un soir, Isabelle… le lit… la voiture de Virginie… Isabelle traine, et puis part, ouf ! Arrive Virginie. Je fais semblant de dormir, c’est mieux. Virginie a faim, elle descend à la cuisine.
ET LA ! La porte de la chambre s’ouvre, et c’est Isabelle ! Le pas décidé elle se dirige vers le lit. Alors comment dire ? « Au secours ! » peut-être, parce que là, euh je sais plus trop, ça m’échappe totalement. Putain !, je l’avais pas vu venir. A moins qu’elle soit amnésique ou somnambule, je ne vois qu’une raison à sa venue. Le scandale, l’explication entre femmes. Moi ça m’arrange pas ce truc. En plus Virginie c’est une furie, le genre du sud, mais de l’Italie. Oh putain !
Si j’avais su, j’aurais pas venu ! Ça m’apprendra à être gentil avec tout le monde, me voilà bien récompensé !
Mais qu’est-ce qu’elle fout Isabelle ! L’œil vague elle ouvre le lit ! ça s’arrange pas mes affaires. Faut l’avoir vécu pour comprendre. Qu’elle injustice, une vie entière dans le droit chemin, une réputation… J’étais innocent pour ainsi-dire. C’était pas ma faute, J’avais rien fait pour ainsi dire! Moi j’voulais pas ! j’voulais pas être là en tout cas. Je pouvais pas sauter par la fenêtre, me serais fait mal. Faire semblant de dormir ? Oui, d’accords, mais serait-ce suffisant ? Jouer l’étonné au réveil, la faire passer pour une folle, c’était p’t’être jouable ?
Mais elle déraille total Isabelle, elle fouraille dans le lit, m’ignore… c’est pas banal ce soir… d’un coup elle se tourne vers moi, me fait un smack, « j’avais oublié ma bague », et puis elle retourne dans sa chambre.
Eh ! Je l’ai échappé belle, ça tiens à peu de chose ! Putain ! J’étais… soulagé. Virginie est remontée, j’ai fait semblant de dormir, la routine. C’est bien la routine.
« Faute avouée, à moitié pardonnée… »
02/06/2018 à 08h12
je reviens à ton cas , Daryl .
il y a un instrument magique pour ton problème .
pcq ç est bien bo de vouloir replacer une limite plus haute , mais à cause du tissus inflamatoire , on y voit rien et ça pisse le sang du coup ,:
- ç est difficile de refaire une jolie ligne de collet bien arrondie
- ce qui comme tu l'as vu , ç est chiant ne serait ce que pour pouvoir rebaser le prov .
alors le mieux ç est d'y voir clair et ce sans saignement .
cet outil ,ç est le gingiprotect , et en plus ç est 1 confrere qui l'a fait , ç est comme mon frère et il est aussi con que moi :-) j en profite pour lui faire de la pub .
IMG_1264_tje5sx_perswx.jpg
02/06/2018 à 09h32
Oups ai répondu ailleurs...
https://www.eugenol.com/sujets/420380-besoin-d-aide-sur-le-triangle-noir?page=2#post_977349
--
On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!
02/06/2018 à 10h01
bill écrivait:
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> vulpi écrivait:
> -----
> Dire Strait en fond sonore, pas de lumière et des massages de
> > la nuque et du dos. Nous étions en juillet. La lumière déclinante, brother in
> > arms...
>
> Aïe... Dire Straits... là c'est un signe, ça va déraper... ;-)
02/06/2018 à 15h41
enlaye écrivait:
------
> je reviens à ton cas , Daryl .
> il y a un instrument magique pour ton problème .
Merci enlaye de revenir sur mon cas, oh toi notre grand maître à tous et toutes ( sans rire , vraiment !! )
Toi: le suceur inégalable de trognons idéals et futur polisseur de chinoiserie...:))
Que ne donnerais je pour avoir eu la chance de te croiser dans les couloirs du Faro ( je crois que c'est ça le nom )???
Je t'aurais entraîné même contre ton gré, dans les recoins sombres , les couloirs déserts ou tout simplement dans la salle radio alors que la méchante Françoise me poursuivait en criant : " mais où elle est encore cette bille de petite verdure !!"
Et ouais passque moi avé l'accent, j'aurais compris ça , beaucoup plus charmant que "fille de ma petite vertu"...
Bref, je m'égare , pardon à toi le varois blond, je reviens immédiatement au noeud du problème...
Ainsi, sérieusement j'ai recherché le GingiProtect et je l'ai trouvé... Ca m'a l'air super ce truc mais il y a 3 tailles... Alors je le prends lequel ? J'hésite entre le 4,3 ou le 3,7mm ??
Voilà, enlaye j'espère ne pas t'avoir offensé :)))
02/06/2018 à 16h20
Daryl écrivait:
> Bref, je m'égare , pardon à toi le varois blond, je reviens immédiatement au
> noeud du problème...
Hé oh, tu laisses le noeud du varois tranquille, t'es gentille !
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Su-Père Pervers
02/06/2018 à 16h23
Et alors Pervers, c'est bien Faro le nom de là où vous avez pécho à tout va ???? :)))
02/06/2018 à 16h41
Pharo Daryl, « Ph », le phare en grec car Marseille, le savais tu?, est une ville fondée par les grecs il y a 2600 ans.
Phocée, puis Massalia, puis Massilia (ou l’inverse) puis Marsiho.
Seule ville sous Louis 14 ou 15 à avoir un fort à l’entrée du port, comme un peu à La Rochelle mais dont les canons étaient tournés vers la ville..... déjà pas fiables au yeux des parigots y’a des siècles.....
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On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!
02/06/2018 à 16h45
Bo, ai bien compris maintenant, merci Algi :))
Mais moi, jcroyais que Faro c'était pour Faculté d'Anatomie Royale et d'Odontologie ou un truc comme ça !!!
02/06/2018 à 17h08
Daryl écrivait:
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> Mais moi, jcroyais que Faro c'était pour Faculté d'Anatomie Royale et
> d'Odontologie ou un truc comme ça !!!
Non c'est, c'était plutôt,
Place Hostile Aux Rabat-joie Occupés
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Su-Père Pervers
02/06/2018 à 17h12
Daryl écrivait:
" Ainsi, sérieusement j'ai recherché le GingiProtect et je l'ai trouvé... Ca m'a
l'air super ce truc mais il y a 3 tailles... Alors je le prends lequel ?
J'hésite entre le 4,3 ou le 3,7mm ??
Voilà, enlaye j'espère ne pas t'avoir offensé :))) "
:-)))
He ç est qu il faut les 3 pour etre bien , en fait .
Je le sais pcq j en ai qu 1 . Et il me manque tjs 1 sou pour faire 1 franc quand j en ai besoin .
Pcq le mien , tu penses bien que je ne l ai pas acheté , c est 1 proto .
D ailleurs je vais lui redemander qu il m en envoie 1 tonne de toute les tailles .y me dit tjs oui s'tenc , et rien :-) .qué bouchasse , m en fout j ai sa piiinche aouale en otage dans mon garage , si ça ne vient pas je sens que que je vais m ennerver et lui greffer 1 foil dessus :-)
Ce truc appellé Bitin au depart , devient une reference de matos pour les encoleurs du dimanche quand ils font les facettes , les one again de la fixe pour tailler meme fil en place , les endo quand ils veulent voir s il y a 1 fissure , et meme les autres que je ne sais pas ce qu il en font.
Bref ç est le genre de merdier qu il faut avoir systematiquement dans le plateau . quand tu ne l a jamais utilisé ça ne te manque pas , mais si t y a gouté , t es mort :-)
02/06/2018 à 17h20
enlaye écrivait:
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> y me dit tjs oui s'tenc , et rien :-) .qué bouchasse ,
Encore un blond !
J'ai toujours dit que c'étaient des bouches ces varois ;-)
--
Su-Père Pervers
02/06/2018 à 17h24
Ok alors jvais acheter les 3.. Surtout que je suis une obsédée des fêlures... Jsuis toujours en train de suspecter le moindre trait , surtout dès que je suis en retraitement endo .. Je trifouille à l'intérieur et en sous gingival avec lumière, loupes et sondes hyper fines...
07/06/2018 à 09h15
Vulpi , je reviens sur l histoire des Richmonds :
ce qui détermine mon choix décisionnel ce n est pas que la dent est fracassée , bien au contraire mais l'occlusion existante ou à venir .
le cas type ç est les vieux ( ou moins vieux :-) ) qui on 1 stellite derriere . donc ou tu sais qu'il faudra raboter en palatin au fur du temps de l usure de l appareil .
j'ai dit bien au contraire pcq'il faut quand meme une bonne collerette de dent restante tout azimut pour asseoir la couronne et avoir 1 bonne étanchéité .
_MG_1457_bitigu.jpg
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07/06/2018 à 09h46
quand j'étais étudiant on faisait un plateau + biseau et au final bandeau métal :-(( , je dois avouer que j'ai toujours fais plateau+congé.
J'ai commis une richmond sur une 13 le mois dernier, j'étais en avance sur l'actualité:-)
07/06/2018 à 11h44
D'ailleurs un truc qui m'intrigue. Si tu es très bas en lingual et qu'il te reste une belle parois en Vre, tu fais un plateau au niveau du palatin ou bien tu conserves le plus en vre et tu harmonises le truc (c'est ce que je fais, ça n'est plus un plateau).
En fait je réalise très peu de couronnes pour les blocs antérieurs.
07/06/2018 à 13h09
reposes moi la question différemment , Vulpi , que je ne répondes pas à coté .
j ai pas bien saisi ta problématique .
07/06/2018 à 13h20
T'as vu! J'ai une pensée complexe, j'aurais pu être président ou prof en occluso :-)) En plus suis à l'eau claire depuis 15 jours... affûtage... 1 kilo en trop!-( alors encore plus difficile de me suivre, effets secondaires :-))
C'est plus une réflexion qu'un problème. Si tu es raz de gencive en Pn et très "haut" en vestibulaire est-ce que tu égalises en mettant tout au niveau de la dent en palatin, tu auras un plateau horizontal bas, comme sur ta photo. Ou bien est-ce que tu fais un plateau en pente afin de conserver un max de tissu en Vre. Voir un décroché avec deux demi plateaux.
07/06/2018 à 13h46
ahhh , ayé j ai compris .
ben de la notion de plateau , je n'en connais que pour le fromage ou les moules ... :-)
non , je taille comme une couronne et tout ce qui est trop fin , je le supprime , ç est tout .
pour ça que j ai dit que , plus il reste de la dent , mieux ç est .
comme pour 1 endo couronne .